Histoires Érotique Soft

Jeudi 21 janvier 4 21 /01 /Jan 14:40
Première Publication sur SexyFlirt le 19 Janvier 2010 -     

Commentez !Quarante ans et une vie de couple exemplaire.
C’est assez caricatural, non ? et pourtant…
Supposée jolie femme, les années qui ont passé me l’ont confirmé, tant par le regard des hommes au quotidien, que par le contact courtois maintenu par certains, dont je sais qu’ils se sont toujours considérés « en mode attente » vis-à-vis de moi.
Ma vie de famille est enviable puisqu’une fois passée la période ado de mes deux progénitures, pas un nuage n’est venu entacher mes journées qui au travers de ces quelques mots, vous le devinez, se dessinent d’une banalité jusqu’ici, disons le, pas trop mal vécue.
Il faut bien dire que la vie dans une grande ville, aidée d’un statut aisé au plan des moyens matériels permet quelques fantaisies qui aident beaucoup le temps à passer.
Mais est ce vraiment le but d’une existence ?
Ne pas inclure Philippe mon mari à ce paysage serait un grave oubli, puisque sa présence, ses attentions et tout simplement son amour sont un ensemble de vertus et de comportements dont beaucoup de femmes souhaiteraient se voir entourées.

Expliquer ainsi que depuis toutes ces années, je me fus satisfaite de regards attendris mais d’actes d’amours physiques quasi inexistant alors que si souvent les désirs de mon corps se soient manifestés parfois puissamment, tout cela sans que je n’en exprime le besoin auprès de mon Mari pourtant véritable complice d’antan, paraît impossible.

Alors oserai-je écrire ici mon attrait aux plaisirs des sens qui depuis longtemps ne se voit pas satisfait ?
Je ne le sais pas vraiment, tant il peut apparaître impudique de souligner ce manque dans mon existence, dont beaucoup diraient qu’il est futile en regard de choses de plus d’importance.
Je le fais pourtant, car la semaine qui vient de s’écouler, même avec le recul m’apparaît aussi étrange que surprenante.


Je dois dire que jamais le constat de mes envies de sexe ne m’est apparues comme anodin, et pour y avoir longtemps pensé, encore aujourd’hui je ne peux dire exactement ce qui les déclenche.
Peut-être davantage les ambiances et l’abstrait d’un parfum ou d’un regard croisé bien plus qu’un physique.
Mais ce que je sais, c’est que l’intimité de mes toilettes ou de mon canapé lors de mes soirées parfois solitaires sont souvent les lieux d’inavouables actes commis par mes mains malicieuses.
Mon comportement bcbg étant naturel et non feint, les contacts physiques ne font pas partie de mon ordinaire. Le plus étonnant de tout cela, c’est que les approches de mon Mari, même si elles sont rares, ne se soldent pas par des effets pourtant souhaités.

Contradictions que tout cela, et tout simplement le regret de reconnaître que je me satisfais souvent mieux des coquineries de mes mains que du contact de Philippe qui lui, ne semble souffrir d’aucun souci à ce niveau.
Puis il y eu ce concours de circonstances, cet enchaînement de faits, plutôt, qui me fit comprendre, et finalement m’alerta sur mon impérieux besoin de choses plus concrètes que mes friponneries solitaires esseulées.

C’était ce fameux matin où, restée seule chez moi , je du subir les effets d’une plomberie défaillante.
Ce genre de choses vous arrive toujours au moment où on se sert du robinet, évidemment.
Je sortais alors de ma salle de bain, juste vêtue de mon peignoir d’été version courte et à peine séchée, et voulu me faire un café, projet banal interrompu par ce foutu problème.
J’eu vite fait de passer un coup de fil à la Maintenance de ma résidence qui me fit venir un Agent de service illico, grand gaillard d’au moins 1m90, bleu de travail, sacoche d’outils à la main .

Je l’entraînai donc vers la cuisine et un peu énervée tout de même lui montrai l’objet du délit.
Les bras croisés et appuyée sur le cadre de la porte, j’attendis l’avis de l’expert qui eut tôt fait d‘ouvrir la porte du placard sous l’évier, d’en dégager les produits d’entretien pour se coucher le dos au sol et s’y engager le haut des épaules.
Des minutes passèrent, puis…
« Excusez moi », s’enquit t-il…
- Vous pourriez m’ouvrir le robinet, maintenant ?.
Instinctivement, je me déplaçai pour tourner l’objet, impossible à atteindre compte tenu de ma petite taille, autrement qu’en…enjambant ce corps d’homme sans tête allongé au sol, ce que, ayant l’esprit essentiellement pratique, je fis prestement.
C’est en posant mon pied nu au sol que me vint –violemment- à l’esprit que je n’avais pas de culotte ; J’étais, jambe écartées, la chatte à nu, placée à quelque 60 cm du regard d’un inconnu.
Bon d’accord, parfaitement épilée, la chatte, mais tout de même !
Une sorte de chaleur me monta au visage instantanément. Je n’allais tout de même pas m’excuser, ou partir en courant, ou … que sais je encore… je restai donc , penchée en avant sur cet évier en tournant le robinet.
- Alors ? fis-je .
Pas de réponse.
- Vous faites quoi , au juste ? je referme ?
- Euh… non , un instant s’il vous plait,vous allez pouvoir refermer dans une minute…
Cette certitude d’être regardée, observée sous mon peignoir avec une vue directe sur mon sexe me fit une impression curieuse, faite d’excès d’indécence certes, mais bien au-delà de cela, cette chaleur qui m’était montée aux joues tout à l’heure me descendit de façon troublante au creux de l’estomac, pour se loger au bas du ventre et s’y fixer.
Avec une voix complètement changée, il me dit de refermer le robinet, que cela n’allait pas être long.
Les sensations du corps sont quelque chose de bizarre. Il y avait une telle différence entre le froid du carreau du sol sous me pieds et la chaleur de mon ventre en cet instant, un tel contraste…
Cela dura bien 5 minutes : ouvrir et fermer le robinet , puis finalement l’ouvrir et voir l’eau couler.
La vision de cette eau s’écoulant, en même temps que la conscience d’être là, jambes écartées, parfaitement nue, avec la sensation de ma chatte ouverte sous le regard si proche de cet homme, ses mains s’affairant tout près de moi , tout cela de façon confuse alla bien au delà du trouble, au point que je restai un instant figée.
Je me retirai et fus incapable de croiser son regard quand il se releva.
J’eu hâte qu’il s’en aille, hâte d’être seule avec moi même pour me demander sereinement si le sentiment qui avait dominé en moi en ces instant était la honte, la peur, ou un certain plaisir inavouable et indescriptible.
Lorsque je refermai la porte, je m’y adossai et restai un instant ainsi, avant de placer ma main sur le bas de mon ventre nu, d’abord à plat, puis de longer mes doigts vers mon entrejambe avant d’y effleurer mon clitoris, à vif, et de me constater mouillée.
Je ne restai pas pensive longtemps, mon doigt s’animant plus que de raison, entre l’antre bien plus qu’humide de mon sexe et mon clito découverts.
Je me souviens aussi de la proximité de ce tabouret sur lequel je plaçai mon pied, me permettant d’écarter mes cuisses, et de m’adonner à une caresse bien précise, faite de passages légers du bout de mes doigts, puis de pincements de l’extrémité de mon petit bouton, le triturant, puis tour a tour l’entourant de deux de mes doigts et le pressant encore avant d’insérer mes doigts en moi.
Oui, cette fois là, je crois bien que j’allai au bout du plaisir ultime, tant mon corps était en feu.
Je gémis, retenant difficilement ces bruits inconscients et compagnons de la jouissance.
Revenant avec peine à la réalité, c’est un bruit de l’autre coté de la porte d’entrée, qui me fit atterrir vraiment, comme s’il y avait quelqu’un.
Je me hâtai, sur le bout de mes pieds nus , de regarder au travers du judas.
Mon Voyeur d’il y a un instant était là ! Après avoir vu tout à l’heure, voilà maintenant qu’il avait entendu….
Je me pinçai les lèvres et fermai les yeux en souriant, cette fois, sans doute parce que maintenant c’était clair : Il ne s’agissait ni de honte ni de peur, mais bien de plaisir que m’avait procuré cet instant.
Ce plaisir-là était palpable et très concrètement visible entre mes jambes en cet instant à quiconque y aurait placé le bout de ses doigts.
Cet incident fut un tournant à mon ressenti, un constat flagrant des besoins de mon corps, l’acceptation brute du besoin réel de l’assouvissement de mes désirs charnels.
Le fait que je n’ai plus de désir pour Philippe ne harcelait plus ma raison depuis longtemps, c’était clairement de sexe dont j’avais besoin, même pas du désir d’un homme, fut-il l’homme aimé.
L’espace d’une fulgurante seconde, je me mit à haïr ma condition de Femme bcbg, à désirer des instants de salope se faisant prendre sans autre volonté que celle de la sensation d’un sexe d’homme ferme, empli de désir et vous lâchant son sperme chaud au fond du ventre.
Les 2 journées de week-end qui suivirent furent mornes, mon conscient se promenant entre mes activités sociales, restaurant Parisien , et autres mondanités sans attrait.
Mon inconscient n’avait jamais été aussi présent, par contre, construisant avec mon accord une femme nouvelle.
Le Lundi suivant, me décidant à une séance shoping trop longtemps retardée, je décidai une expérience pour moi sans précédent.
Non seulement délibérément habillée sur le mode sexy, je m’initiai au non-port de culotte en public surmonté d’une haute zone à risque, à savoir une jupe courte, et ample bien au dessus du genou.
Mon décolleté se fit scandaleusement plongeant, et c’est armée de mon sourire et de mes désirs à fleur de peau que je m’élançai dans Paris.
Première modeste étape : l’ascenseur, accessoire qui avait le don de me stresser toujours un peu, et ce jour là d’autant plus que la descente fut interrompue l’espace d’une seconde, faisant clignoter l’éclairage.
Arrêt au 10e sans doute pour quelques passagers, j’étais à ce moment en train d’ajuster mon rimmel du bout des doigts m’aidant du miroir.
Une personne entra, et la descente reprit au moment où je me retournai pour tomber dans les yeux de…mon homme de Service de la semaine dernière !
L’un et l’autre furent figés, juste le temps de se faire surprendre par l’arrêt total de cette foutue machine, et extinction des feux.
Jamais une rencontre entre deux être n’avait été aussi monstrueuse de sens.
Et à propos de Sens… C’est immédiatement des scènes absolues qui me revinrent en tête, faites de désirs, de mouille, d’envies sans nom et de pénétrations.
Le réel rejoignit très vite l’imaginaire lorsque le plat de deux mains s’abattirent sur mes seins plus qu’ils ne se posèrent, leurs doigts glissèrent, s’insérant sans délicatesse entre ma peau et mon soutien gorges, atteignant mes mamelons et les dégageant rapidement tandis que je sentis l’humidité d’une bouche dont les lèvres me pincèrent légèrement, une langue mouillée s’enroulant autour de mon bout, ce dernier durcissant rapidement.
Je me sentis comme renversée, oubliant mes mains sur un sexe d’homme déjà étonnamment dur au travers du vêtement.

Plaquée à la paroi de l’ascenseur, et tandis que mon sein gauche faisait l’objet d’une agression sans précédent, je m’employai à déboutonner la braguette d’un bleu de travail récalcitrant, à l’opposé de son contenu, qui une fois libéré s’avéra être d’une vigueur sans pareil.
Enfin un Sexe d’homme dur entre mes doigts, il y avait si longtemps... Quelle douce chaleur m’emplissait les mains…
Je crois bien que jamais je n’avais eu le bout des seins aussi dur sous une langue visiblement experte, se faisant tout a tour câline, puis très ferme, sachant lécher, mais aussi devenir pointe dure et agressive, puis s’enroulant, enserrant, me faisant penser que je ne savais pas qu’il fut possible qu’une aussi crapuleuse activité puisse être créée autour d’un sein.
Mais ce sexe entre mes mains obsédait la fureur de mes sens maintenant, je le voulais, ma bouche le réclamais, le touché de sa fermeté sous mon palais se déclarait durement, autoritairement.
Je me fis glisser le long du torse puissant de l’homme pour sans ambages me saisir de ce membre sous mes lèvres, ne saisissant que l’extrémité du gland tout d’abord, le ressentant seulement au contact de ma peau, faisant d’abord glisser mes lèvres légèrement de gauche à droite et inversement sur cette extrémité tout en le balayant de ma langue et en serrant la tige de mes mains.
Les mains appuyées au-dessus de ma tête sur la paroi de l’ascenseur, mon Plombier lâcha un léger cri, signe que cet homme était sensible à mon expertise refoulée : C’est là que je l’engloutis.
Le Membre était fort et tendu à l’extrême.
Le contact du gland sur le fond de ma gorge se faisait répétitif, et ma position accroupie, cuisses écartées en grand me permettait un contact encore plus rapproché.
L’idée fugace de ma chatte grande ouverte et emplie de mouille en cet instant, prête à accueillir ce sexe puissant m’excita davantage, et je dois dire que mon corps était dans un état d’extrême tension que rien ne pu calmer en ces instants.
Mon partenaire devait avoir mieux que moi des notions de gestion du temps. À n’importe quel moment, le courant pouvait revenir, et notre ascenseur reprendre son mouvement. C’est sans doute pour cela qu’il descendit au sol a son tour.
D’un mouvement preste et fort, je fus littéralement retournée, positionnée, mise à genoux sur la moquette, les mains en avant, la jupette relevée, le sexe écarté de deux doigts me pénétrant, sans nul doute pour vérifier l’état de lubrification.
Il fut servi, j’étais prête, en attente, accessible, demandeuse.
Les mouvements de ses doigts furent comme une déflagration en mon bas-ventre.
Il m’écartait, me travaillait, cet homme était un manuel à nul autre pareil, mais je n’en pouvais plus d’attendre.
Je crois que ce furent mes seules paroles prononcées dans le silence de cette cabine : « Viens, mets la moi »
Langage simple et explicite.
Il s’ajusta, se mit en ligne, je me mordais les lèvres, l’attente était longue, j’avais envie, il me le fallait en moi, là maintenant.
Le plombier ne plaisanta pas.
Il ne se la joua pas fine, mais brutale.
Il me pénétra d’un coup.
Puissant.
Son long membre entra en moi jusqu'à la garde.
Je crus défaillir. D’un seul coup d’un seul, j’avais un moi ce sexe, ondoyant sa chaleur dans tout mon ventre.
Il resta au fond de moi sans bouger, me serrant les hanches de ses mains forte et faisant bouger mon bassin, le sien immobile.
C’est mon corps qui bougeait autour de lui au gré du mouvement qu’il donnait a ses bras et je n’étais en cet instant que plume manipulée, pénétrée, et clairement baisée comme une chienne de luxe sur une moquette d’ascenseur.
Puis tout changea, il plaça une de ses mains entre mes cuisses trempées et m’écarta encore puis se mit a circuler en moi, doucement d’abord, puis accélérant peu a peu.
Son rythme me fit perdre les esprits et j’avais l’impression de frôler l’évanouissement tant la sensation était au-delà de tout.
Ce dont je suis sûre par contre, c’est que je jouis comme jamais lorsque l’explosion de ce sperme chaud au fond de mon corps se fit sentir.
Des étoiles devant les yeux, ne plus savoir où est le haut, le bas, toute notion espace-temps annihilée.
Il se retira, et je restai là, à genoux, cuisses écartées, l’image à l’esprit d’avoir été prise comme une chienne, et la certitude que je le voulais ainsi.
L’atterrissage fut rude. Se relever de cela, les mains tâtonnant dans le noir vers un kleenex dans mon sac dont la mission serait de limiter l’épanchement des fluides échangés fut une tâche sans nom.
Je n’avais pas la moindre idée de l’image que je pouvais donner en cet instant.
Pour le moins décoiffée… Pas un mot ne s’échangeait. Que du ressenti.
L’éclairage qui revint fut comme une zébrure du temps et l’impression du nouveau mouvement de l’ascenseur ne fut pas agréable.
Au choc de l’arrêt du rez-de-chaussée, le contact avec le monde réel se fit par l’ouverture de la porte.
Je ne peux pas vraiment dire ici que l’apparition dans l’encadrement de mon aimé Philippe qui rentrait déjeuner fut une surprise agréable.
Par contre je trouvai indispensable de lui présenter notre Plombier et de lui dire discrètement de lui donner un pourboire conséquent en raison de ses efficaces services rendus … une semaine plus tôt.

Ryan   -  (Cliquer sur la Signature pour lui écrire)

Note de l'auteur :

Celui-ci autorise la copie et la publication (web uniquement) de ses textes à DEUX conditions expresses :

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Par Swann - Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Publié dans : Histoires Érotique Soft
Jeudi 21 janvier 4 21 /01 /Jan 14:36

Première Publication sur http://meganeryan.unblog.fr le 23 Avril 2009 -


Ce Récit m'a été demandé par Paloma amie de Julie , à qui je le dédie complètement.

Il est construit du mélange de ses réalités  toutes construites de sa vie quotidienne à Dubaï, et toujours dans le respect précis de mes dialogues avec elle sur le réseau Msn.

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 22 avril 2009

Commentez !Je m'appelle Paloma, et ai longtemps hésité avant de vous raconter mon histoire, mais ce que je vis depuis quelques temps est tellement fort que je ressens le besoin de le mettre sur papier.

Du haut de mes dix huit ans je suis une jolie fille, certes un peu rondelette, mais tout a fait désirable, le regard des hommes lorsqu’ils me caressent des yeux  étant très révélateur. 

dubai91214.jpgMa vie est un peu particulière en ce sens que je vis a Dubaï dans un milieu familial assez fermé mais aussi aisé.

Dotée d’une sexualité vierge de tout contact tiers mais cependant très présente en mon imaginaire, dois je vraiment vous le dire ?… je cultive un secret…

J’ai depuis longtemps découvert les plaisirs ressentis par mon corps, et je crée souvent des situations folles de sensualité par les attouchements de mes doigts parcourant le haut de mes cuisses et irradiant l’ensemble de mon sexe d’une tension terrible.

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La piscine de la maison estmon terrain de jeu favori, et j’aime me blottir dans un des coins ou la pompe de la piscine relance l’eau un peu tiède qui me traverse le haut des jambes. C’est souvent là que mes doigts s’oublient et que leur extrémité s’abandonnent sur le bas de mon ventre, se glissant tout d’abord autour de mon clitoris.
Je le sens durcir très vite, et j’avoue que même dans l’eau, je deviens très vite humide de l’intérieur.
J’aime ces jeux des sens où mes doigts effleurent le dessus de mon organe sensible jusqu'à sa pointe dénudée et me déclenche des torrents de plaisir lorsque le contact s'établit.

Mes parents m’élevant dans une sorte d’écosystème hyper protégé de tout, mes contacts avec l’extérieur se limitent au chauffeur, et mes déplacements souvent uniquement avec mes parents depuis des années, et plus particulièrement avec mon Père.

Ces derniers sont dans l’immobilier, et j’accompagne très souvent mon Père en avion lors de ses déplacements.
Cette promiscuité constante à laquelle s’ajoute un bouillonnement d’idées permanent en moi, faites de désir et de sexe a eu pour effet d’avoir développé des envies que certains trouveront bizarres .
Il faut vous dire que je suis en permanence en compagnie de personnes bien plus âgées que moi, que ce soit mon Maître Répétiteur qui m’accorde des cours a la maison, ou les invités fréquents qui viennent chez nous.
image3.jpg

Je me souviens de cette journée, ou, de sortie avec mon Père, je  m’étais lancé ce défi de ne pas mettre de culotte sous ma jupe. Toute l'après midi, je m’étais déplacée ainsi en jupe légère, et j’avais découvert cette douceur volatile faite a la fois du souffle des courants d’air qui parcouraient mon entrejambe, et des frottements du haut de mes jambes l’une contre l’autre, ma vulve libre de toute  empreinte.
Je goûtais au plaisir surréaliste d'être quasiment nue et offerte, le simple coton léger de ma jupe large et serrée a la taille, séparant mon clitoris mis a nu par l’excitation de ces mouvements, du regard des passants ou parfois des Clients de mon Père que nous visitions.

23 avril 2009

Le soir nous étions rentrés, et je filai a la douche assez rapidement, une furieuse envie de me caresser à laquelle s’ajoutait cette petite crispation au bas du ventre était devenue vraiment nécessaire.

tadriananue4.jpgDe plus , j’aime jouer du jet de la pomme de douche dont j’alterne le chaud et le froid autant que la pression dirigée droit sur mon sexe, générant des sensations indefinissables, faites de picotements sur tout le haut de mes cuisses, au point que parfois au summum du plaisir je sens mes genoux défaillir.

C’est en sortant de la salle de bain que mon Père rappela, a ma Mère et moi que nous recevions ce soir là des amis , ou relations de travail de mes parents.
Ces soirées ne me déplaisaient pas, car elles étaient pour moi source d’un certain petit jeu pervers dont je raffolais.

Il était déjà 20h, et j’entendais notre personnel accueillir les Dames et les Messieurs au grand salon extérieur, qui entourait majestueusement notre piscine d’intérieur.

J’ai toujours soupçonné mes parents d’avoir pleine conscience de mon hypersensualité, car beaucoup de choses m'ont toujours été autorisées librement, telles le choix de mes vêtements, et plus largement, ma façon de m’habiller, ou… pas tout a fait…
La petite séance de la douche qui avait heureusement complété mes attouchements de l’après midi ne m’avaient pas complètement calmée, et j’aimais beaucoup cette sorte d’état érotique quasi permanent dans lequel je cherchais à me maintenir sans trop de peine.

L’idée du nouveau terrain de jeu qui allait s’offrir a moi tout a l’heure m’excitait encore davantage.

Je me retrouvais maintenant dans ma chambre en peignoir de bain devant faire le choix de ma tenue avant de descendre au salon. 

Devant mon miroir en pied je me mis nue et regardai ma silhouette un instant, faite de ce mètre 58 et d’un 95B resplendissant.
C’est en regardant les pointes de mes seins encore un peu durcies par le désir non éteint et le frais de l’eau de la douche que me vint cette idée de ne pas mettre de soutien gorges ce soir là.

C’est ainsi que je descendis l’escalier, habillée d’un très léger corsage un peu déboutonné du haut, mes seins affleurant le vif du tissu et se faisant caresser par le moindre de mes mouvements, durcissant ainsi mes pointes visibles aux regards.

031.jpg

 

 

Je fis le choix d’une jupe blanche fendue sur le coté qui recouvrait un tanga vraiment très serré qui avait la particularité d’appuyer fort mon entrejambe, compressant mon clitoris, mais laissant un peu déborder mes grandes lèvres, la sensation était amusante, mais pouvait dans certaines situations créer un effet qui me réjouissait à l'avance.

 

Mes chaussures, ouvertes au bout, laissaient apparaître mes ongles vernis d’un ton pastel, et cambraient mes jambes en raison de leur petits talon, le tout enserrant mes jambes de longs lacets croisés du plus bel effet.

 

J’ai toujours aimé le léger silence que générait mon apparition dans le groupe de personnes qui étaient au salon, rompant le bruit des conversations en cours de ces gens , qui le verre à la main tournaient toutes leur regard vers moi… Mon visage , d’abord, puis tous ces yeux qui parcouraient mon corps de haut en bas me créaient l’effet d’un deshabillement lent et sensuel qui me faisait souvent tressaillir. image10.jpg

C’est en ces instants que je me disais qu’un jour, je m’amuserais certainement de multiples mains parcourant mon corps, depuis le haut de ma poitrine jusqu’en ses lieux les plus secrets, m‘amenant à des plaisirs faits d’orgasmes jusque là inconnus de mes sens.

J'ai le corps et la tête pleine de projets mettant en scène mes multiples fantasmes qui ne le resteront pas longtemps.

J'aimerais tant vous raconter les situations inavouables vécues et auxquelles mon Père n'est pas étranger.

Il faut dire que je ne lui facilite pas la vie lorsque je m'assois sur ses genoux, le corps simplement couvert et peut etre pas assez, d'un simple tee-shirt et le sexe à nu.

Est-il racontable, croyez vous, qu'en ces instants magiques je vous dise que je ressens souvent une humidité naturelle et que certains mouvement de ses jambes ont pour effet de durcir mon clitoris, si sensible à ces détails ?

Dites moi simplement si vraiment je dois continuer ici à vous décrire mon quotidien, auquel mon amie Julie n'est point absente.

Je le ferai volontiers et sans aucune décence

 

Ryan   -  (Cliquer sur la Signature pour lui écrire)

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Publié dans : Histoires Érotique Soft
Jeudi 21 janvier 4 21 /01 /Jan 14:20
Première Publication sur http://erosex.unblog.fr/  le 18 Avril 2008 -  

Commentez !Bientot les vacances d’été qui arrivent, ce qui explique sans doute l’état d'excitation des filles... Impossible de les tenir, depuis quelques temps.

Chamailleries en tous genres ne cessent depuis le matin, ce qui a pour effet d’irriter Virginie, et lui donner ce comportement nerveux que je déplore, mais que je subis sans grande peine, au bout du compte.

C’est la vie...

Ma Femme et moi formons un couple un peu hors normes, finalement, lorsque j'y pense.

Famille recomposée, comme on dit .

Mais ce n'est pas tout... Il faut dire que j'ai fait tres fort, suite a mon divorce d'il y a 5 ans déjà.

J'ai voulu tout changer ! et quand je dis tout...

Dépressif, je m'étais payé des vacances à la Guadeloupe, en célibataire tout neuf que j'étais.

Partir de Lyon un soir d'hiver, par Moins 1°, le moral à zéro, et se retrouver sur une toute autre planète, c'est un peu ce que j'avais ressenti.

La Guadeloupe : C'est là que j'ai rencontré Virginie avec ses deux filles .

Soleil éclatant, plages de rêve, cœurs disponibles, mer fabuleuse, tropiques féeriques, musiques ensorcelantes, ciel translucide, bref... je vous passe le détail...

... ou plutôt Non ! Vous aurez droit au détail, parce qu'il a bouleversé ma vie.

Mon Ex était une amie d'adolescence. Provinciaux tous les deux, nous étions d'un clacissisme épouvantable, et je voyais ma vie s'enterrer dans une tristesse sans nom, entre hivers morbides, chemins de vie tout tracés, belle-Mère hideuse, calme rural insupportable, soirées près du feu suicidaires, et sexualité inexistante.

Et puis...entendre la femme que vous chérissez vous dire quand vous l'approchez : - "Mais enfin, Daniel, ca n'est plus de notre âge, tu penses vraiment qu'à ça... ah , vous les hommes..."

...alors que vous lui faites un bisou dans le cou accompagné il est vrai de mains baladeuses, mais... après plus d'un mois de restriction, ca fait tout de même bizarre de passer pour un obsédé sexuel, a 35 ans sonnant, en pleine santé, avec dans le pantalon une Kalachnikov chargée à bloc !

C'était mon quotidien, et la tristesse dont je parlais étais faite beaucoup de cela, car j'aimais ma Femme.

Puis ce divorce..., évident, avec le recul, puis ce voyage en Guadeloupe... et puis... Virginie !

Il est vrai que notre rencontre s'est faite en zone cyclonique, et de fait... entre "Hurricane"" et "Virginie" : aucune différence.

Je me souviens encore de cette série de photos véritablement torrides vers lesquelles le hasard de nos conversations nous avait mené.

Le bout de mon objectif nous avait transporté bien au delà de représentations graphiques, et de déclics en clic-clac, les claquements de nos sens avaient fait bien plus que nous rapprocher.

Je sais bien qu'il est toujours un peu bête de comparer les femmes que l'on a aimées, mais entre mon ex-Femme et ma Tempête tropicale, il devait exister, au bas mot, 15 années lumières.

Noire comme l'ébène, grande, belle, énergique, cette femme est un Cyclone de classe 5 qui vous met en alerte rouge au premier contact, auquel vient s'ajouter une sexualité d'animal sauvage en rut une nuit de pleine Lune.

Je ne saurai jamais très bien ce qui l'a séduite en moi, mais elle est maintenant, avec ses deux filles, le centre de ma vie.

Toujours est-il que moi aussi, j'avais hâte qu'arrivent les vacances et que nous nous retrouvions sur les plages de Guadeloupe, heureux projet récurrent.

Les semaines passèrent assez rapidement jusqu'à ce départ pour Roissy.


Ce matin là Virginie était d'humeur radieuse. Le temps était au soleil tout aussi radieux, et inspirait les prémices de l'ambiance épicurienne de nos vacances à venir.

J'adorais sa tenue de voyage qu'elle avait choisie décontractée. Chaque fois que je la voyais ainsi, je bénissais le petit jésus d'avoir pour femme un Être résolument anti pantalon, déplorant cette orientation des femmes qui maintenant ne s'habillent en jupe ou robe que pour une sortie ou dans des cas particuliers.

L'ambiance estivale s'était imposée dès le voyage lui même, et bien plus qu'un parfum de bien-être, il circula une fragrance d'excitation d'un certain ordre, lorsqu'à l'aéroport, après l'enregistrement, et tandis que nous étions en salle d'embarquement, Virginie revint des toilettes un large sourire aux lèvres en me glissant dans la main discrètement ce petit objet, secret suprême du couple merveilleux que nous formions.

Je n'ai jamais su pourquoi nous l'avions appelé "John". Sans doute parce que ce mot est court, et peut être formulé devant n'importe qui sans que personne n'imagine une seconde de quoi il s'agisse.

En fait, c'est lorsque j'eus John dans la main que je considérai de plus près Virginie. Je disais sa tenue décontractée, mais en fait elle était audacieuse.

Jouant de son physique avantageux, elle avait... poussé un peu plus loin le pouvoir d'attraction de son corps ce jour là.

Un carraco d'une incroyable légèreté masquait plus que n'habillait vraiment sa poitrine qui a toujours constitué à mes yeux un véritable défi à la pesanteur, remettant en cause toutes les théories des effets de la gravité sur notre planète.

Ses longues jambes fuselées s'élevaient depuis le sol à partir de ces sandales plates aux lacets de cuir qui remontaient tout au long de ses mollets en mouvements croisés.

Elle avait mis cette jupe en jean qui lui moulait à la perfection le bas du corps, et dont la longueur s'arrêtait à mi cuisses, découvrant ces dernières, faites de ce jais colorant une anatomie d'exception.

Il n'y a pas de doute, elle s'était dessinée provocante.

D'ailleurs, Virginie était provocante, elle adorait cela. Elle me disait jouir du désir des hommes qu'elle savait manipuler avec une perversité dont je me suis souvent dit qu'elle était sans limite, poussant les tenants du sexe opposé parfois jusque dans les bas fonds les plus dépravés de leur âme.

Il m’est arrivé de la voir en action lors de nos sorties en boite de nuit, mettant certains hommes dans un état d'excitation proche de celui du Chacal en rut dans les savanes Africaines, puis allant ensuite jusqu'à se présenter à mon bras devant l'interessé pour lui dire "je te présente mon mari, j'adore quand il me fait l'amour".



Préambule aux Vacances

Nous allions passer sans doute une demi heure dans cette salle, entourée d'autres voyageurs qui, preuve de notre bonne stratégie concernant le choix de dates de prise de nos billets d'avion, n'étaient pas trop nombreux.

Les filles étaient tranquilles, et avaient même trouvé une copine avec laquelle elles se passionnaient autour de leur Nintendo DS, formidable contre-ennui pour deux fillettes de 6 et 12 ans dans une salle d'attente.

Nous étions assis sur ces fauteuils bas, Virginie lovée contre moi, le visage cotonneusement posé sur mon épaule.

Je pensais en cet instant à John que j'avais mis dans la poche de ma chemise et me réjouissais encore de cette merveilleuse idée que j'avais eue, lors d'un déplacement Parisien, de me rendre dans un sex-shop avec la bienheureuse intention de ramener à ma femme un petit cadeau de mon cru très spécial.

J'avais une idée bien arrêtée de ce que je voulais, ce jour là. Le seul problème étant de savoir si ce que mon imaginaire avait fabriqué existait vraiment.

Une agréable hôtesse m'avait, au terme de mon explication difficile, proposé ceux que j'ai appelé John, et son compagnon Buzz, fait d'un œuf vibrant à la forme un peu oblongue. Je le voulais métallique, en inox... et elle m'avait trouvé l'objet.

John et Buzz étaient bien plus sophistiqué qu'un simple sextoy, ils n'étaient pas qu'un oeuf vibrant.

Ils avaient un secret, parce qu'ils étaient deux.

La vérité était que leur recherche m'avait été inspirée d'une BD érotique connue sur le tard dont la lecture m'avait transporté, faite d'un ouvrage de Manara : "Le déclic", et je m'étais dit que la fantaisie de l'auteur n'avait d'égal que le degré de perversité relative de mon imagination érotique, qui avait par le passé déjà construit ce scénario.

Au début étonnée, Virginie avait donc essayé Buzz qui s'était révélé être une divinité.

Sa forme choisie, l'effet produit par ses vibrations réglables et l'utilisation stratégique que nous en faisions en faisait un objet béni des Dieux.

L'usage de Buzz complétait de manière heureuse les cunnis que je lui prodiguais qui devenaient dès lors très sophistiqués, lorsque sous mes lèvres je la sentais durcir, et que petit à petit, les vibrations de Buzz animaient l'orée de son sexe, où je plaçais l'objet, le faisant malicieusement coulisser lentement, augmentant peu à peu à la fois la rapidité du mouvement et l'intensité de la vibration.

Bien plus qu'une fantaisie d'un jour, John et Buzz appartenaient maintenant à notre quotidien érotique et sexuel.

Les annonces vocales de Roissy me sortirent de ma torpeur sensuelle lorsqu'il fut annoncé que nous nous apprêtions à partir, et l'embarquement s'effectua assez rapidement.

Je me souviens que je n'arrivais pas à quitter cet univers fait de douceurs érotiques et d'idées inavouables pour un Père de famille qui part en vacances avec ses protégés, mais il faut bien admettre que Virginie, en m'ayant remis John dans ma main tout à l'heure, faisait plus que participer à mon trouble, car je dois maintenant vous livrer le secret de John and Buzz.

es deux là concoctent l'aboutissement de la fusion du plaisir et de la technologie : John est une télécommande Bluetooth dotée de deux boutons : On/Off et +/- pour l'intensité des vibrations de Buzz, lui même positionné en des lieux les plus secrets qui soient. Et parmi les indiscrétions de notre complicité de couple, existe le fait que si Virginie me remet John, c'est qu'elle s'est équipée de Buzz.

Aussi, la voir se déplacer dans ce long couloir amenant à la porte de l'avion en pensant qu'elle avait sous son clitoris ce petit objet révélateur de plaisir que je pouvais à tous moment déclencher dans un rayon de 10 mètres autour d'elle me mettait dans une sorte d'état assez difficilement descriptible.

Virginie était de ces femme qui ne se donne à un homme qu'entièrement. Avec elle nulle rivalité, peu de conflits ou de désaccords, un rapport de confiance absolue, d'attention, d'écoute et d'attente constante de sa part. Les années passées auprès d'elle m'avait montrées au fil du temps que ce qu'elle aimait plus que tout en moi était justement ce choix de cultiver afin de mieux provoquer l'inattendu, pas forcément quotidien, mais régulier en tous cas, et John and Buzz en étaient un parfait exemple.

ous eumes une petite déception lors de notre Installation dans l'avion : nous étions séparés des enfants par le couloir. En effet, le coté hublot était vide, puis Virginie, puis moi, puis ce couloir, et nos jeunes pré ado dans deux des quatre sièges centraux de ce 747.

L'idée d'avoir coté hublot, jouxtant Virginie, un vieux crouton tout bouffi ne m'amusait pas, mais cela ne devait pas devenir non plus un problème majeur pendant ce vol de 8 heures.

Nous nous sommes installés confortablement en attente du décollage et... de la venue de l'inconnu(e) qui devait s'asseoir a coté de nous.

Je commençais à espérer qu'il ne viendrait personne, bénéficiant ainsi de cet espace confortable pendant le voyage pour tenter de s'allonger l'un ou l'autre, quand arriva le personnage.

Armée d'un nombre impressionnant de sacs en tous genre, nous l'aidâmes à se poser, et c'est donc cette assez jolie femme blonde qui s'assit à la gauche de Virginie.

Le temps d'échanger quelques mots avec les filles, de régler / boucler les ceintures, et le décollage se fit sans encombres, départ direct et sans escale vers les plages du Gosier, vive les vacs au soleil !



Sensualités aériennes

Virginie se mit rapidement dans une sorte de demi sommeil, ayant demandé une couverture, et s'assoupit sur mon épaule, me chuchotant qu'elle trouvait Buzz profondément inactif aujourd'hui.

Je ne répondis pas et lui glissai simplement la main entre les jambe, ce qui eu pour effet de la voir écarter les cuisses instinctivement . Sa peau douce était un véritable appel des sens, et lorsqu'elle allongea son siège en s'affalant elle même, elle prit ma main gauche et le plaça directement sur son sexe, après avoir entièrement remonté sa très minijupe sous la couverture.

Le contact de mes doigts sur son string engagea immédiatement chez moi le processus d'érection qui me faisait à chaque fois penser que l'entente physique entre Virginie et moi était vraiment faite d'une incontournable réalité.

Tandis que je la caressais très doucement, les yeux entrouverts, mon esprit divaguais...je le laissais aller où bon lui semble, un peu comme dans un rêve à moitié dirigé dans lequel s'entremêle conscient et subconscient.

e sortis John de ma poche et considérai l'objet, pensant à tous les plaisirs qu'il nous avait offert, à toutes les incroyables situations dans lesquelles nous en avons usé, les dîners entre amis, les sorties dansantes, les déplacements en voiture, et surtout à la culture de la parcimonie de son utilisation, toujours douce, jamais violente.

Mes doigts sur Virginie commettaient leur œuvre en cet instant. Son visage était tourné vers moi, et parfois d'imperceptibles froncements de sourcils me traduisaient son émoi.

Les hôtesses firent leur show concernant les informations de la traversée sur l'Atlantique, le mode d'emploi des gilets de sauvetage, etc... puis demandèrent d'abaisser les rideaux afin de diminuer la luminosité dans la cabine, et cela créa une ambiance doucereuse que je préférais.

En gestes aussi discrets que rapides et furtifs, Virginie releva ses jambes et en un seul mouvement ôta sa culotte, la faisant glisser le long de ses jambes, puis elle entrouvrit simplement les yeux, appuyant un regard chaud sur moi, enrobé d'un léger sourire, pour les refermer aussitôt.

Elle s'installa, écarta les cuisses, laissant à mes doigts un libre accès au monde du plaisir.

C'est seulement là que je la sentis humide et que mon esprit fini par se concentrer vraiment sur elle, car c'est vrai que j'étais un peu absent.

Mais je commençais à savoir pourquoi.

Je ressentais sous mes doigts maintenant le sexe mouillé de Virginie, n'ayant pas pris conscience jusque là de son excitation réelle. Mes doigts avaient entrepris un léger mouvement circulaire sur le haut de son clitoris, parfois descendant juste un peu, le temps de l'enserrer entre le pouce et l'index, qui me faisaient sentir cette légère fermeté hypersensible.

J'aimais la sentir ainsi, pressant juste un peu, puis relâchant, pour parfois engager un très léger mouvement de va et vient, sans encore toucher l'extrémité de ce petit organe magique

Elle fronçait les sourcils un peu plus souvent maintenant, et je sus que le moment était venu où Buzz pouvait, devait sans doute, manifester sa présence .

John, outre son "On/Off", était gradué de 1 à 6, et son action sur Buzz était d'une efficacité détonante, mais à condition de toujours maintenir l'intéressée sous attente lancinante.

J'engageai le "On", et positionnai le cran "1", sachant l'imperceptibilité du rendu. Virginie le ressenti aussitôt, et me le fit savoir par son sourire qui me disait quelque chose comme "enfin..."

Toujours les yeux fermés, je la savais dans un monde fait de coton, de silence et de de plaisir, en cet instant.

J'avais moi même une érection assez peu avouable, et me laissai transporter par des vaguelettes de bonheur, l'intimité de ma femme sous ma main gauche, John dans la main droite.

Mes doigts doucement actifs se saisirent du clitoris de Virginie, juste entre le pouce et le majeur, puis entreprirent une douce série de va et vient dont elle raffolait, jusqu'à le dénuder complètement entre ses cuisses maintenant bien ouvertes, puis tout en maintenant ce mouvement, je plaçai mon index sur son extrémité, le sachant hypersensible, le constatant très mouillé maintenant.

Virginie se crispa, sa main se déplaça sous la couverture, cherchant mon sexe qu'elle trouva avec une dextérité qui lui était propre.

Très rapidement, je la senti serrer mon sexe brûlant dans sa main, sans la bouger, tandis que mon index, par contre, s'agitait sur son petit bout en légers mouvements faits d'affleurements rapides et circulaires qui maintenant la transportaient, son visage alternant entre imperceptibles sourires , pincements de lèvres et froncements de sourcils.

J'aimais la maintenir en cet état, longtemps, surfant sur les vagues du plaisir sans vraiment l'atteindre encore. Elle le savait, et elle appréciait cela.

e plaçai John à 2, n'arrêtant pas mes mouvements de doigts, et l'effet fut instantané. Elle entrouvrit la bouche, ouvrant grand les yeux, me fixant, la tête penchée d'un regard fixe et vide, ses lèvres me dessinant un "oui... plus fort" sans sortir un son. Je maintint alors l'action de mes doigts en replaçant John à 1, voulant alterner les effets tantôt du plaisir clitoridien, puis du vaginal.

Je sentais sous mon bras placé sur son ventre, celui ci se durcir parfois, m'indiquant l'arrivée ou pas de vagues de plaisir ultime, et me permettant de doser la richesse des effets possibles grâce à une technique maintenant plus que rodée, à laquelle s'ajoutait une parfaite connaissance du corps de Virginie.

La pression de ses doigts sur mon sexe m'amenait des indications supplémentaires sur ses désirs, son envie de pénétration qui peu à peu se changeait en besoin.

Elle commençait à avoir des mini spasmes, au début peu perceptibles, mais qu'elle ne contrôlait pas. Je ralentis l'action de mes doigts et remis John à 2, attentif à ses ressentis, sa main se crispa légèrement sur mon sexe qu'elle devait percevoir chaud et très dur. Puis je ré-entrepris l'action de mes doigts, cette fois ci brusquement très rapides.

L'état de Virginie devint limite. Ses lèvres pénétrées par ses dents et son visage crispé m'indiqua l'avancement du plaisir que je sentais arriver par quelques spasmes du ventre, maintenant plus évidents.

Un très léger son parti de sa bouche, tout près de mon oreille... "s'il te plaît"... chuchota t-elle...

John fut placé à 3 tandis que mes doigts s'activèrent encore davantage sur son clitoris devenu très ferme maintenant, alors que l'entrejambe de Virginie était franchement trempé.

Cela ne dura que 15 a 20 secondes avant qu'elle ne serra ses cuisses l'une contre l'autre d'une terrible pression, alors que dans le même temps sa main droite comprimait mon sexe dur, et que je sentis les vagues de plaisir sous mon bras lui parcourir d'abord le ventre, avant de lui envahir le bas du corps en libérant cette chaleur si particulière qu'il lui était arrivé de me décrire, s'emparant de son sexe, et lui paralysant l'entrecuisse de tremblements à la fois rapides et parfaitement incontrôlables.

Je réduis l'action de John à 2, puis à 1, Puis lorsque l'action des spasmes s'arrêta, je mis sur "Off" en déplaçant ma main sur le bas de son ventre.

Elle resta longtemps figée,les sourcils froncés, la tête penchée vers moi, et ce n'est qu'au bout de plusieurs minutes que je sentis sa main se détendre sur mon sexe.

e crois que Virginie s'endormit brutalement, m'abandonnant à mon érection, mais aussi à l'indescriptible plaisir que je venais de ressentir à lui avoir communiqué un orgasme qu'elle me décrivait souvent être de qualité, ce qui m'irradiait de bonheur.

Toujours les yeux fermés, de sous la couverture j'enlevai doucement et discrètement sa main de mon intimité, la replaçant sur son accoudoir, et refermant ma fermeture éclair avant d'ouvrir les yeux dans la pénombre douce d'une ambiance reposante qui s'était faite dans l'avion.


Mon regard tourna vers la gauche, prenant l'axe du hublot.

Et là, j'eu un choc.



















Le regard du Témoin

Mes yeux tombèrent droit dans d'autres yeux... grand ouverts, eux.

Notre voisine de vol... Je l'avais complètement oubliée.

Elle s'était adossée au hublot, éloignée un peu de nous, et me regardait fixement avec comme un sourire mystérieux, qui n'en était pas vraiment un.

Il me rappelait celui de La Joconde. Un sourire, mais pas vraiment.

Nous restâmes longtemps ainsi. Le regard de l'un plongé dans celui de l'autre. Au moins une minute.

C'est long, une minute, dans certaines situations.

Que se disaient nos yeux en cet instant ? Je savais qu'elle avait tout vu.

Depuis quand participait-elle visuellement à notre jeu ?

Puis elle ferma les yeux la première, et se ré-installa "normalement", s'adossant à son siège dans un long soupir qui exprimait une sorte de ... sérénité, ou plaisir, quelque chose comme ça.

cela créa un sentiment bizarre en moi, rien a voir avec celui d'avoir été "pris en faute". Il y avait quelque chose de surprenant, soit, mais aussi d'agréable dans cette situation.

Virginie dormait maintenant.

La tête encore très érotisée de son plaisir atteint, et il faut bien le dire, de mon état du même ordre encore un peu actuel, je me levai pour aller aux toilettes.

Je fis un bisou léger à ma femme qui bougea un peu, et je me levai. Les toilettes étaient assez proches, de 6 ou 7 mètres, et debout en attendant mon tour je regardais de loin les trois sièges dont le mien vide, puis le visage serein de ma femme, à coté cette inconnue, allongée maintenant, avec toujours aux lèvres cet air qui ne l'avait pas quitté.

Elle était jolie cette femme : Sans doute un peu plus de trente ans, un physique tout a fait désirable. J'en étais à regarder ces deux beautés assises l'une a coté de l'autre, et à laisser à nouveau mon esprit vagabonder là où il le souhaitait, un peu comme tout à l'heure.

es doigts touchèrent John, tapi au fond de ma poche, et souhaitant ne pas quitter l'atmosphère de plaisir ans laquelle j'étais toujours, je l'actionnai au minimum. Virginie redressa la tête en souriant et elle mit ses talons sur le siège, relevant ainsi ses jambes qui étaient allongées. Elle n'avait visiblement pas non plus voulu quitter complètement notre univers et devait lutter contre l'endormissement complet. Je le voyais à son visage qui exprimait à la fois le plaisir léger octroyé par Buzz qui bougeait très faiblement en elle, et ses yeux fermés, exprimant cet état légèrement ensommeillé.

uis ce fut mon tour de toilettes, et j'en profitai pour me désaltérer, et marcher un peu, allant tout au bout de l'avion, pour d'ailleurs constater que beaucoup de sièges étaient vides. J'eus même le loisir de m'asseoir et de contempler par un hublot ce vide sous moi, jusqu'à distinguer l'océan que nous traversions.

Je pensais à l'intérêt de cet inconnue pour notre séance de tout à l'heure, et en était à me dire qu'elle n'avait rien eu dans sa réaction, de quelqu'un qui était choqué , mais plutôt de celle qui avait pris un certain plaisir à voir cela.

Je passai bien une demi heure perdu dans mes pensées avant de retourner à mon siège pour y constater Virginie, cette fois ci endormie, et considérai rapidement La Joconde, me confirmant à moi même que son physique comportait certains attraits. Elle ne dormait pas, je le voyais à sa poitrine qui se relevait en mouvement bizarrement rapides, m'amenant à penser qu'il pouvait être agréable de la toucher.

Puis je m'assit, l'esprit toujours sous légère tension érotique, celui ci m'amenant finalement à l'idée plus précise d'un fantasme que j'espérais pouvoir rendre effectif pendant nos vacances.

Virginie mit sa tête sur mon épaule, et je m'amusai du fait qu'elle murmura "- C'est bon, continue comme ça"... Ainsi poursuivait-elle sa réalité érotique dans le rêve, ce n'était pas la première fois. Je lui connaissais cette faculté, tout en dormant, à être a demi consciente de ses ressentis physique, lui ayant déjà fait l'amour dans cet état, et m'était étonné de sa passivité pendant l'acte , qui contrastait avec la précision de ce qu'elle m'en avait raconté à son réveil.

Je posai à nouveau ma main sur elle, et fut étonné que ce simple geste la fit écarter instantanément et franchement ses cuisses, tout en émettant un petit ronron de plaisir. Cette Femme était décidément insatiable, me disais-je, même dans son inconscient. Elle sortait d'un orgasme, voilà moins d'une heure, et était capable de rester, au plus profond de son sommeil, dans un état langoureux de plaisir, sans jamais le quitter pendant tout ce temps.

Je fit glisser mes doigts vers son entrejambe ouvert, en m'abandonnant , fermant les yeux.

L'effet de surprise fut de taille, j'eus le deuxième choc émotionnel de ce voyage.

Tétanisant, celui là.











D’autres mains sur ma Femme

Nom de Dieu ! Une autre main était posée sur le sexe de Virginie, dégoulinant de mouille, me faisant prendre conscience qu'elle était en fait au bord du plaisir.

J'eus malgré moi un haut le corps assez brutal qui eu pour effet, à la fois de faire réagir La Joconde vivement en retirant sa main de cet endroit qui ne lui appartenait aucunement, et de sortir Virginie de sa torpeur tout aussi brusquement.

- Qu'est ce qui se passe, me dit - elle, sans ouvrir les yeux ?.

Les yeux écarquillés je regardai notre voisine. Elle répondit à mon regard en mettant son doigt sur ses lèvres.

La pénombre régnant dans l'avion donnait à tout cela un coté surréaliste, mais aussi intimiste sans lequel un éclat de voix aurait sûrement eu lieu.

Je restai ainsi, à fixer cette femme ne me rendant pas compte de ma bouche entrouverte sous l'effet de la surprise. Elle me décontenança par un sourire qui transforma son visage en un concentré de séduction.

Je me tut.

Je ne pourrai décrire les minutes qui suivirent. Un peu dans l'état d'esprit d'un accidenté qui suite à un choc ne se souvient plus de rien. Je fini par m'endormir, moi aussi, et je crois que ce fut pendant plusieurs heures.

ne forte luminosité fut à l'origine de mon éveil. J'avais du mal à sortir de cet état. Lorsque j'atterris enfin parmi les vivants, ce fut pour constater une grand activité autour de moi.

Des enfants circulaient dans les couloirs, le repas était sur le point d'être servi, Virginie était très éveillée, conversant avec les filles par devant moi.

J'en étais à me demander si je n'avais pas simplement rêvé, et regardai Virginie, sans doute le regard un peu fixe qui lui fit me demander si ça allait. je lui répondit en hochant la tête, tout en cherchant La Joconde du regard, pour constater la place vide. Cela me mit vraiment dans une sorte de doute sur le fait que ce que j'avais vécu n'était pas réel.

Je demandai tout de même où était passée la voisine quand à ma grande surprise,Virginie me répondit "- Vanessa ? elle revient. Elle nous paye l'apéro.... Elle a été nous chercher trois verres. Euh.. pour toi j'ai demandé un petit whisky, mais je me rend compte que vu ton réveil spectaculaire, je n'ai peut être pas fait le bon choix..."

Je ne compris pas.

- Comment ça , Vanessa ? c'est qui Vanessa ?

- Notre voisine, mon Chéri. elle est charmante , tu verras. tu as dormi pendant trois heures, tu te rend compte ? ! ... On a fait connaissance, et pas mal papoté. Elle aussi, va se poser au Gosier, tout comme nous, dans la région des hôtels, mais elle vient pour affaire pendant 10 jours en Guadeloupe.

- Elle ne t'a rien dit de spécial ?

- Oh oui ! ... qu'elle te trouvait craquant, dans ton sommeil, et que nous formions un très beau couple.

Encore l'esprit marécageux, et en me disant en mon for intérieur "Quel culot ! manifesté par cette Joconde là", je glissai à l'oreille de Virginie qu'il fallait que je lui dise quelque chose.

J'ouvris la bouche pour commencer ma phrase lorsque Super Vanessa arriva, tendant un verre à Virginie, puis me regardant droit dans les yeux, et me liquéfiant du sourire N° 353 bis, modèle amélioré, s'exclama d'un "Joyeux réveil, Daniel ! "

C'est là que je compris que nous avions affaire à une Prédatrice de très haut vol.

Je lui pris le verre aux glaçons clinquant des mains sans un mot, lui laissant le passage pour s'installer.

ne conversation de femme reprit là où elle avait du s'arrêter pendant ma période comateuse, me laissant déguster mon whisky, tout en devisant avec moi même sur les différents degrés de perversion du genre féminin.

Je passai ensuite mon temps avec les filles, alternant l'élaboration de thèses diverses sur les Diddle et autres Barbies, et nos différents projets de baignade dans les eaux tropicales qui n'attendaient que nous.

L'atterrissage fut sans problème, le choc thermique ressenti lors de notre sortie de l'avion toujours aussi surprenant, accompagné de cette sensation d'humidité rappelant que nous sommes bien sous les tropiques, et que la banlieue Lyonnaise était bien loin maintenant.

Nous nous séparâmes de Vanessa dans la salle des bagages, ayant été servis très rapidement.

Je ne m'habituerai jamais à cette faculté qu'ont les Femmes de se faire la bise avec une déconcertante facilité alors que quelques heures avant elle ne se connaissait pas du tout.

J'eus droit à la même bise alors que nous n'avions quasiment pas échangé un mot, et c'est a moi qu'elle remit sa carte au nom de Vanessa Plombieres, avec un numéro de portable.

C'est pour le moins troublé que je terminai ce voyage, nous acheminant en taxi vers le Gîte que nous avions réservé, le même que les années précédentes, qui nous ravissait...







Vanessa, le retour

Nos premiers jours de vacances furent formidables et ce n'est qu'après ce temps que Virginie me rappela un jour la carte de Vanessa et proposa de l'inviter à une soirée après diner, un zouk dansant étant proposé par nos Hôtes.

Un instant pensif j'acceptai, et l'affaire fut décidée.

Ce soir là était particulier car Virginie s'était vraiment lâchée plus qu'à l'ordinaire.

Nous avions dîné en famille, puis la suite de la soirée était un programme "open", car il était convenu que Vanessa nous rejoigne après dîner.

Depuis l'apéro, de planteurs en ti punch, sans compter le repas bien arrosé, je dois bien avouer que nous étions pour le moins gais. D'autant que nous étions un peu célibataires sans enfants, puisque nos progénitures avaient trouvé copines, et que les parents avec lesquels nous avions sympathisé leur avaient proposé une soirée pyjama d'enfer à leur chambres avec leurs trois filles.

Après le repas , Virginie alla faire un bisou aux enfants et me rejoignit, non sans être passé par notre chambre se changer en une tenue explosive.

Elle s'assit tout d'abord en face de moi, me laissant découvrir son minuscule haut blanc recouvert d'une veste ouverte en jean. L'ensemble était déjà assez détonnant, car sa poitrine était plus que devinée par le bas, et le corps de ma femme était à lui seul un appel au viol lorsqu'elle passait en "mode provoc".

Je compris que c'était visiblement la cas ce soir là, lorsqu'elle me dit qu'elle avait une surprise pour moi tout en reculant sa chaise en un grand rire, et que je vis qu'elle s'était munie d'une micro jupe d'environ 3 centimètres carrés tout au plus .

Elle baissa la tête, et écarta les cuisses me laissant apparaitre son sexe parfaitement épilé et tout aussi totalement nu. C'est dans des moments comme cela que je me demande jusqu'à quel point elle est capable d'aller.

La voir ainsi me mit à l'évidence à mon tour en mode "sens en éveil", et l'ombre du désir de la prendre là tout de suite, telle quelle, partagea notre compagnie.

La musique commença à monter, ne me distrayant qu'à peine. L'envie de la toucher était terrible, et je ne comptais pas m'en priver.

Elle le savait, et nous adorions tous deux jouer de nos désirs respectifs.

J'aimais ce manque délibéré de pudeur de Virginie, qui faisait que lorsque elle , elle avait envie, elle me le disait ou me le faisait comprendre délibérément, tout autant que moi je pouvais le faire sans réticence ou faux étonnement de sa part.

Je n'avais jamais connu avec elle de montages hypocrites du genre "j'ai mal à la tête, ou j'ai mes règles, ou tu penses qu'à ca" et autres avilissantes remarques auxquelles ont droit tant d'hommes dans leur vie de couple, les amenant trop souvent a regarder ailleurs et à s'en faire reproche, dès lors passant pour d'horribles pervers.

Cela faisait partie de notre sexualité épanouie, dont l'une des clés était que jamais dans nos fantasmes intimes les plus fous un tiers ne pouvait pénétrer sans que ce ne soit avec la présence physique de l'autre.

Et j'en étais heureux.

Nous firent quelques virevoltages au rythme endiablé du zouk Antillais, danse à la fois rapide et d'une sensualité sans nom, du fait qu'elle ne puisse se pratiquer efficacement que collé l'un à l'autre.

Contre toute attente cela est d'une "efficacité" redoutable par rapport par exemple à un slow, ou vous êtes bien l'un collés a l'autre, mais animé de mouvements lents.

Les Guadeloupéens nous ont sorti ce rythme fou, ou les corps s'entremêlent en mouvements rapides, faits de frottements obligés, de caresses inévitables et d'excitation des corps quasiment incontournables.

Après la danse avec votre partenaire.. c'est l'esprit qui doit, ou peut gérer... ou... ne le peut pas.

C'est entre deux zouks, assis devant le énième planteur, que nous vîmes Vanessa arriver..

L'image de la prédatrice était, à juste raison restée en mon esprit, et non seulement je m'attendais à peu près à tout, mais loin de m'en formaliser, j'attendais véritablement tout de Vanessa ce soir là, et pour tout vous dire, j'avais décidé de m'en faire une complice.

Elle commença très fort

Elle arriva à notre table, et m'embrassa au coin des lèvres tout en mettant sa main sur celle de Virginie, puis s'assit après avoir fait de même avec elle


es sourires s'échangèrent et je m'amusais des délires de mon imagination tout autant que du souvenir de conversations passées avec Virginie lors desquelles elle me disait que jamais ô grand jamais elle ne supporterait sur elle le contact intime d'une autre femme.

J'avoue ici que c'est bien a dessein que je ne lui avais jamais parlé, après réflexion, de l'épisode de l'avion.

Elle n'avait jamais su que dans son demi, ou quart de sommeil, la femme sexy qui lui parlait en cet instant l'avait amenée au bord de l'orgasme, et que si ma stupéfaction de l'instant n'était pas intervenue, il ne faisait aucun doute que Virginie aurait jouit sous les doigts de Vanessa, tant elle était à un stade avancé.

C'est donc d'un regard amusé que je laissais la situation évoluer, admirant le talent de Vanessa qui ne devait certes pas en être à son premier coup d'essai.

J'avais noté qu'à aucun moment elle n'avait consommé un verre d'alcool, tandis que Virginie était à un stade très avancé des effets du contact intime avec les multiples planteurs rencontrés depuis le début de la soirée.

a voilà qui dansait, restant assise sur sa chaise tout en devisant avec Vanessa qui ne perdait pas une miette de la splendide vue qui lui était offerte.

Le corps de Virgine n'en était plus au stade de la provocation, il était une offrande, sous l'effet de l'alcool, et c'est volontairement que j'avais attendu cette évolution de la soirée pour proposer à ces dames une fin de soirée au Champagne que je leur offrais dans notre chambre.

Nulle ne se fit prier, et c'est en m'interrogeant encore sur le degré de bisexualité de Vanessa que nous nous dirigeames vers notre bungalow pas loin de la plage.


C'était un soir de pleine Lune, et tout, absolument tout me portait vers des idées de sensualité, de plaisir, de sexe, et de jouissance.













Explosion des sens

En arrivant dans la chambre Virginie se jeta sur le lit en riant, nous laissant à la vue ses jambes fuselées jusqu'au haut de ses cuisses nues, tandis que je me dirigeais vers le petit frigo pour en sortir le Champ'. Là encore, Vanessa fit montre de son coté "pro". Cette fille inspirait une puissante sérénité, très sûre d'elle de surcroît.

Elle s'assit à une chaise, et en un jeu de jambe étudié, ôta ses chaussures très lentement tout en me regardant. J'enlevai ma chemise, la clim ne suffisant pas à rafraîchir une atmosphère qui devenait vraiment très très chaude, puis je revins, les coupes à la main, Virginie s'étant assise au bord du lit, me regardant elle aussi, en disant à Vanessa "Ne le trouves tu pas craquant, mon mari ?".

Je compris en cet instant que nul ne pouvait désormais prédire une suite très ... catholique à notre soirée, Jean Paul II lui même serait impuissant à abaisser la température de cette chambre.

J'enlevai à mon tour mes chaussures et m'assit en tailleur au milieu du lit, élevant ma coupe, et lançant un toast à l'épicurisme, dont il est dit que le charme de cette doctrine n'égalait que la douceur des sirènes. Ce faisant, je me libérai de mon verre et doucement me rapprochai du dos de Virginie en faisant un signe qui acquiesçait de la tête en fermant légèrement les yeux en direction de Vanessa.

a Sirène blonde posa sa coupe et, comme si elle attendait ce signal de moi, d'un mouvement d'un incroyable naturel enleva par le haut son petit haut rose libérant une poitrine nue à laquelle je ne m'attendais pas, puis elle approcha sa chaise de Virginie qui fit sans nul doute semblant d'avoir un très léger mouvement de recul lui permettant de se rendre compte qu'elle était coincée entre ma poitrine contre laquelle elle s'appuyait maintenant, et les mains de Vanessa qui se posaient sur ses cuisses.

Mes mains se posèrent sur celles de Vanessa puis, glissant par dessus la microscopique jupe de Virginie, lui caressèrent la taille en s'insérant sous son tout aussi microscopique haut blanc.

D'un geste commun, tandis que j'ôtais le haut de Virginie, Vanessa plaçait sa main sous sa jupe, la faisant remonter à la taille et découvrant complètement le bas du corps de Virginie.

Je reculai, attirant à moi le corps de ma femme en lui étirant le corps, tandis que dans le même temps Vanessa suivi le mouvement, se couchant sur Virginie, et lui couvrant le visage de ses cheveux en mettant au contact les pointes de leurs seins.

Je vis la tête de Vanessa descendre le long de ce corps d'ébène, lui embrassant le cou au passage, s'attardant sur les seins aux pointes dures, les mordillant sous les crispations de Virginie, puis, descendant encore, atteignant le ventre ferme qui ondulait sous l'effet des sensations, avant d'atteindre le bas de son pubis, s'attardant sur le haut du clitoris, sans vraiment le toucher encore.
'''/...
Histoire non terminée

Ryan   -  (Cliquer sur la Signature pour lui écrire)

Note de l'auteur :

Celui-ci autorise la copie et la publication (web uniquement) de ses textes à DEUX conditions expresses :

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Par Swann - Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Publié dans : Histoires Érotique Soft
Jeudi 21 janvier 4 21 /01 /Jan 14:17
Première Publication sur http://erosex.unblog.fr/  le 7 Avril 2008 -

 

Commentez !Assis dans ma voiture, dans cet embouteillage à n’en plus finir, mes idées se baladaient… et revenaient incontournablement à Justine.

Tant d’années passées ensembles, des sentiment très présents dans un quotidien qui l’est tout autant sinon davantage, et dont j’avais conscience de son aspect contraignant, j’allais dire nuisible à notre relation. Nos années de vie de couple n’avaient en rien entamé mon attrait physique pour elle… faut il dire que Justine avait un physique envoûtant.

Je ne sais si c’est vraiment le mot, mais une chose est sûre, c’est qu’après toutes ces années, j’étais toujours envoûté par l’effet produit par sa proximité physique.

En ce Lundi matin, je repense encore à notre soirée de Samedi, ou je l’avais gentiment persuadée d’accepter de sortir à ce restaurant Parisien en oubliant de se munir de la totalité de ses sous vêtements. Ses sourires et ses rires de la soirée, ses mouvements des mains , les moindres de ses croisements de jambes, de ses chevilles, m’avaient émoustillé toute la soirée. Puis nous étions rentrés, et avions fait l’amour intensément.

J’aimais ma femme, et de surcroît, je l’aimais physiquement en ayant pleine conscience que peu d’hommes ont cette chance là. J’étais encore un peu étonné de la relative facilité avec laquelle elle avait accepté de sortir nue sous sa robe légère de Samedi, étonné aussi de repenser à l’état dans lequel cela m’avait mis, conscient du fait qu' elle même n’avait pas trouvé cela désagréable.

(lundi 7 avril 2008 à 21:20:57)
Mon esprit se promenait, donc…l’image de
Justine avec lui…le souvenir des regards des autres, aussi..; sur elle. Ca n’est pas de la fierté que je ressentais, lorsque un autre homme la regardait, quelque chose de très différent, de presque plaisant. Pas au sens ou l’orgueil l’entend, mais encore différent de cela, comme une sorte d’excitation. Sans doute parce que je sais ce que l’on peut ressentir à voir une jolie femme qui n’est pas la sienne, et à toute la fantasmatique masculine qui se développe autour de ce concept.

À propos de fantasmes, il se dessinait en moi depuis deja plusieurs mois, des … idées, concernant Justine. Cela était à la fois un peu inquiétant, mais aussi rassurant, car je découvrais que l’ensemble de ma sexualité ne tournait qu’autour de la femme qui partageait ma vie, et cela ne m’apportait nul ennui, bien au contraire.

L’ombre de mains qui n’étaient pas forcément les miennes parcourant son corps en ses lieux les plus secrets parcouraient parfois de façon fugace mon imaginaire, et je n’en tirais pas déplaisir.

Parmi les petits évènements du quotidien, l’annonce du passage à Paris de notre ami d’enfance Vincent se profila pour la fin de cette semaine, et Justine et moi nous réjouissions de sa venue. Nous le connaissions depuis très jeunes, et son couple et le notre étions tres complices depuis des années.

Nous regrettions même que son épouse ne soit avec lui, car nous avions avec elle un reel lien d’amitié. Je me plaisais à voir la gaieté qui s’emparait de nous lorsque nous étions réunis, et j’attendais avec hâte le week-end a venir, priant pour que ce foutu dossier que je traînais au plan professionnel soit clôt d’ici là.

Justine et moi passions une semaine particulièrement tendre du fait de l’absence des enfant en cette période de vacances scolaires, et nous multipliions les sorties parfois un peu coquines, l’un et l’autre jouant souvent du regard des autres.

Peu avant l’arrivée du week-end, je lui avais demandé de me rejoindre à cette brasserie non loin de notre appartement, en fin d’apres midi, avant de rentrer chez nous, et je la vis arriver rayonnante, avec son fier décolleté.
Elle s’assit a coté de moi alors que nous étions en vis-à-vis d’un autre couple, et me fit un de ses longs baisers, tout en prenant ma main pour la poser sur son genou, puis me dit qu’elle se sentait très légère, et qu’elle était passée rapidement se changer à la maison avant de venir.

Je compris à ses yeux pétillants qu’elle devait être particulièrement légère de sous vêtements, et cela mit mes sens en éveil de la savoir sans culotte à coté de moi, sa nudité à fleur de peau en ce lieu public.

Nous conversions de banalités, et ma main remonta de son genou vers l’intérieur de sa cuisse et je sentis cette douce chaleur de ce corps que j’adorais.

Notre long baiser avait attiré l’attention du couple en face et l’homme n’arrivait plus à détacher vraiment son regard du corps de Justine.
Il était devenu plus distrait des propos de sa compagne et je le voyais parcourir ma femme depuis le bas de ses chaussures ouvertes, remontant le long de ses jambes fuselées parcourues des lacets fins attachés sur le haut de ses jambes.
Je le dis a
Justine qui me dit l’avoir remarqué et c’est sciemment que ma main s’anima vers le haut de ses cuisses, remontant sa courte jupe et lui déclenchant un sourire.
Elle écarta un peu ses jambes sans s’arrêter de parler tandis que je jetais un regard discret à notre voisin d’en face qui avais une parfaite vue de là où il était.

J’avais jouissance de la situation et il était devenu clair que cela m’excitait. Notre conversation se faisait des plus banales, et ma main remontait encore, montrant franchement le haut des cuisses de Justine, ceci ayant pour effet de complètement interrompre le dialogue qui existait entre le couple assis en face.

L’Homme était Stratégiquement placé… pouvant bien voir ce qui se passait sous cette petite table ronde alors que mes gestes étaient masqués par le mobilier de Brasserie pour les autres occupants, placés loin, il est vrai.
Ce qui était amusant , c’est que sa compagne était complètement distraite, s’étant plongée dans un magazine people.

Justine ferma les yeux, un instant.
Je lui dis:
- “tu aimes ?” … Elle acquiesça simplement.
Je ne savais pas en cet instant si elle vivait autant que moi l’ensemble de la situation ou si c’était seulement ma caresse qui lui plaisait.
Je lui demandai si cela pouvait aller jusqu’à l’exciter… Elle me dit
- “vérifies donc, tu verras par toi même”.
C’est ainsi que ma main remonta, jusqu’a lui toucher la vulve, à laquelle ses cuisses écartées donnaient maintenant bien accès.

Je touchai donc le sexe de ma femme , pour le rencontrer franchement mouillé.
Cela m’excitait davantage, et je bandais maintenant sérieusement. Je lui demandai si elle elle savait qu’on la regardait… elle ferma simplement les yeux, se pinçant les lèvres en bougeant la tête de haut en bas.

Je ne résistai pas à aller plus loin, car maintenant j’avais vraiment envie d’elle, mon sexe pointant sous le pantalon dans des proportions pas vraiment très catholiques.
Je lui caressais d’abord la vulve devenue maintenant très mouillée, puis l'écartant légèrement, je saisi son clitoris entre mes doigts. Il était dur, et
Justine serrait les lèvres, ne parlant plus maintenant.

C’est lorsque je le pinçai davantage en lui donnant un très léger mouvement de va et vient qu’elle lâcha un petit cri en fermant a nouveau les yeux, que nous entendirent la tasse a café tomber… c’était celle de notre voyeur.

Ce petit bruit cassa l'atmosphère, et nous le regardâmes tous les deux, souriant , mais avec un regard planté dans ses yeux. Son amie réatterit parmi nous délaissant son journal, et nous virent l’homme se décomposer sous nos regards qui se voulaient pourtant complices.

Il se leva et entraîna sa compagne, nous laissant tous deux dans un grand éclat de rire qui put être lâché après leur départ.
Mais nous étions tous les deux dans un état d’excitation assez terrible ,et j’avais bien conscience que cela n’était pas seulement dû au fait que j’avais touché
Justine… La présence de tiers avait pris une dimension que je n’aurai pas soupçonné…

Encore aujourd’hui je reste persuadé que le moment passé ensembles à notre retour à la maison était particulier par l’intensité de l’échange physique entre elle et moi.
Je sus lire dans le regard de la Femme que j’aimais quelque chose de particulier dans son extase finale, quelque chose d’un peu nouveau, dont le mystère n’avait d’égale que l’intensité de la jouissance que j’avais ressentie lorsque je jouis en elle cette fois là.

Il y avait décidément depuis quelques jours un ressenti indéfinissable de ma part autour de l’idée du corps de Justine, un sentiment d’excitation nouvelle.

Je me refis le film de ces 10 derniers jours, tentai de retracer le fil de mon inconscient, le cheminement de mes sens qui vivaient a fleur de peau depuis cette sortie avec elle au restaurant, ou ma soirée entière avait été rythmée des fantasmes qui se développaient de manière complètement autonome autour du fait qu’elle était sans culotte, que seule la mince épaisseur du tissu de sa robe séparait mon regard, mes mains parfois, de sa totale nudité et que seulement moi le savait.
Puis je ne pouvais oublier, mettre de coté, et considérer l’aspect uniquement ludique de nos réactions à tous les deux lors de l’anecdote de la brasserie.

Il y avait comme “un tout” qui se formait, auquel s’ajoutait la fantasque idée de mains autres que les miennes caressant son corps, mais sous mon regard, j’allais dire … sous ma bienveillance.
Même mon infinie intimité avec elle n’était cependant pas suffisante pour que j’en parle avec elle, et je me rendais compte qu’une sorte de bouillon de culture s’animait en mon esprit autour de tout cela, une impression d’envahissement.

La venue de Vincent parmi nous, me ramenait le souvenir de cette période libertine que nous avions eue avec son couple.

Avec sa femme et lui, voilà maintenant 3 ans, nous avions été au bout de ces fantasmes mélangistes, merveilleuse période ou nous allions tous les quatre de désirs en plaisirs, sans vraiment déceler les limites de nos envies d’attouchement.

Puis naturellement , un peu comme ces situations s’étaient créées, elles s’en sont allées peu à peu.
Justine et moi avions pris plaisir a toucher d’autres corps, il est vrai, des corps que nous connaissions bien, et ces baisers et caresses étaient devenus naturels , entre nous quatre.

Nous étions tous sortis de cette période heureux et rassasiés de sensualité.

De cette complicité formidable dont les seules limites, mélangisme oblige, avaient été de ne faire l’amour qu’à nos épouses respectives, après, ou pendant ces caresses échangées, il en était sorti, vis à vis de Vincent et Valérie, un renforcement de notre amitié et puis cette sorte d’indifférence mêlée d’un certain plaisir lorsque Vincent toujours discrètement embrassait Justine au coin de la bouche, ou que moi même faisait une caresse rapide a Valérie entre les cuisses, lorsque la vue de certaines de ses mini-jupes devenaient insoutenable.

C’est ainsi que le temps qui passe nous amena à ce Vendredi, jour de l’arrivée de Vincent qui arrivait par le train à Austerlitz en début de soirée, vers 20h.
Il passait juste deux nuits à Paris, devant poursuivre vers le Nord pour une formation donnée par son groupe industriel.
Que voilà des obligations professionnelles qui m’amenaient aussi a des idées plus noires, car le dossier que j’avais à la traîne devait être remis a mon patron, lui servant d’argumentaire principal pour une affaire de la plus haute importance qu’il devait traiter à Bruxelles, justement ce week-end.
Il devait en effet, armé de mon compte rendu, prendre l’avion pour la Belgique ce Vendredi soir.

J’étais assez content que ledit patron ait préféré faire ce déplacement plutôt que de me désigner pour aller défendre ce dossier, car franchement, je n’avais pas en ce moment l’esprit a l’argumentation Commerciale.
C’est pour cela que je mis les bouchées doubles, et terminai en temps et heure ce travail à la fois pointu et important par ses conséquences pour la boite.

Ainsi donc, serein ce Vendredi là, passai-je prendre Justine en voiture à l’appartement vers 19 h pour nous rendre à la gare d’Austerlitz et passer la soirée avec notre ami.

Nous décidâmes dans la voiture d’enlever Vincent à la gare et de lui proposer ce restaurant de fruits de mer qu’il appréciait tant avant de continuer la soirée à ce fameux Piano-Bar où nous passions ensembles des moments parfois inavouables de coquineries avec Valérie, lorsque bien plus qu’une bouteille de champagne se mêlait à nos fins de soirée.
Je vis
Justine sourire à la Lune pendant cette conversation, sans doute se remémorant “notre” petit coin apprécié dans la salle depuis lequel nous pouvions tout voir, sans être vus, et où le volume sonore de la musique était juste ce qu’il fallait pour se rendre agréable sans couvrir nos conversations.

Puis il y avait ce Patron de Boite, comment s’appelait-il encore ?… ah, impossible de m’en souvenir…Charisme bien planté, physique agréable au point de faire Justine nous lacher un certain soir-avant-champagne, que … “ce type est vraiment sexy”. Nous nous étions regardés, étonnés de cette remarque venant d’elle ordinairement plus discrète de ses pensées là.

Ainsi le programme convenait-il à Justine, et tout allait bien.
L’opération Austerlitz fut rondement menée… Embouteillages, problèmes de parking, moi qui reste au volant,
Justine qui descend, Top chrono le train qui est arrivé à l’heure ! , Justine et Vincent qui reviennent joyeux et rieurs , Bref, Synchro d’enfer.

Nous voilà donc dans la voiture a trois, parlant tous ensembles, Vincent assit a l'arrière et arrivant a nous serrer dans ses bras par derrière les dossiers des sièges avant avec l’énergie que nous lui connaissions. Un vent de bonheur traversa Paris ce soir là depuis la Gare jusqu’au restaurant, et même après , car nous passèrent effectivement un agréable moment.

Pas moins d’une heure d’embouteillage Parisien, de ceux où la voiture ne se stoppe qu’une minute a peine, mais se déplace lentement de feux rouges en feux de la même couleur. L'intérêt de Vincent se porta peu a peu sur le corps de Justine, séduisante comme jamais.
Il le lui dit, tout en plaçant ses mains sur le haut de sa poitrine, nous entraînant dans un rire coquin.
Ses doigts sur le haut de la poitrine de
Justine la caressait plus qu’ils ne l’effleuraient, et c’est sans m’en rendre compte tout a fait que je posai ma main sur le haut de son genou gauche.

Elle écarta imperceptiblement ses cuisses, et quand ma main remonta lentement jusqu'à remonter sa robe encore un peu, je me dis que le fait de rouler en voiture automatique, évitant les horribles devoirs de changement de vitesse au profit de la disponibilité de ses mains pour caresser sa femme , était une merveilleuse conséquence de l’avancée de la technologie automobile.

Elle m’avait raconté, dans l’intimité de nos conversations intimes, combien le contact de ma main sur le haut de sa cuisse avait ceci d’agréable qu’il lui déclenchait une zone de chaleur sur tout le bas du corps.

Je déplaçais ma main doucement, caressant maintenant la partie inférieure de son ventre sous la robe.
Vincent lui embrassait le cou, lui faisant pencher la tête vers moi… il faisait cela bien et je la vis fermer définitivement les yeux, se laissant transporter dans ce monde des sens qu’elle connaissait si bien.

Ses jambes s’écartaient davantage, instinctivement sans doute, laissant à ma main le loisir de se transformer en contacts de doigts, plus précis, lorsqu’ils descendirent cette fois ci sur l’intérieur de ses cuisses.

Tout l'intérêt de rouler en 4X4 dans Paris vient du fait que l’on est en situation surélevée, et que les mains baladeuses ne peuvent être vues des occupants des autres voitures.

L’ambiance devenait très chaude, et je voyais Justine tour a tour fermer les yeux et les ouvrir, se pincer parfois les lèvres, puis rire en serrant les jambes.
Je lui connaissais bien cet état et savais jusqu’où cela pouvait la mener.
Je vérouillai discrètement les portes, ajoutant à l’intimité de notre petit univers à trois.

Malgré, justement, notre intimité sans faille, je la savais toujours un peu gênée lorsqu’elle sentait son corps réagir a ce point a mes caresses, quand au simple contact de mes doigts cette humidité se crée malgré elle.

Je lui avais dégagé le bas du ventre, bien visible maintenant, et ses cuisses écartées me laissaient libre de choix de mes mouvements. Le parcours de ma main, depuis son ventre jusqu’au haut de son clitoris en écartant doucement ses lèvres était d’une redoutable précision, et lorsqu’il je m’en saisi entre les doigts elle frémit un peu. Ce contact fait d’un léger mouvement de va et vient m’en faisait sentir la fermeté autant que son degré d’excitation. Je savais qu’elle commençait a mouiller sérieusement, mais je n’avais pas commencé cette exploration plus intime que son corps n’allait pas tarder à réclamer malgré elle.

Elle était dénudée jusqu’au bas ventre, son string écarté libérant son sexe offert a mes doigts, le regard de Vincent clairement posé sur ses cuisses, décuplait ses sensations ressenties.
Elle s’abandonna davantage, les yeux fermés lorsque mes doigts furent plus précis, s’insérant lentement en elle, toujours sous forme de caresse, sans vraiment la pénétrer.

Puis je remontai ma main, dégageant son clitoris jusqu’à le mettre a nu
C’’est là qu’elle eu son premier gémissement, car le contact de mon doigt maintenant complètement mouillé sur le bout de son clitoris commençait à lui procurer cet indéfinissable plaisir qu’elle avait tenté de me décrire maintes fois sans vraiment y arriver, un plaisir qui ne se quantifie plus, tant il est fort.

Je m’attachais a faire durer ces choses là, et avec Vincent nous nous entendions bien sur ce terrain qui consiste à donner du plaisir à nos femmes.

La caresse de son clitoris, les mouvements de mes doigts sur son extrémité, alternant la lenteur à de petits mouvements rapides, malmenaient ses sens, amenant le désir aux limites de son besoin impérieux.

Je savais que je pouvais l’amener a jouir rien qu’à ce jeu, je savais aussi parfois m'arrêter, la laissant pantelante, presque frustrée, un désir fou au fond du corps, son intimité ruisselante et ses sens en feu.

Mais je ne me doutais pas que ce jour là, Justine allait donner à mes sensations une dimension nouvelle, par une mise en scène à la fois diabolique, et d’un érotisme en même temps débridé, sans limite, m’amenant bien au delà de mes fantasmes les plus inavoués et les plus profonds.

Nous arrivèrent à bon port, puis attendirent un instant avant de mettre le nez dehors, nous remettant tous les trois des émotions de nos corps.
Justine embrassa Vincent sur la bouche, me caressant le torse, insérant ses doigts sous ma chemise, n’aidant pas vraiment en cela à un bon contrôle des sens, dont dire qu’ils étaient en éveil serait peu de chose, en cet instant.

C’est en arrivant au Piano-Bar vers minuit que tout se gâta ….

Nous arrivèrent guillerets et fûmes reçus comme des princes attendus par… Philippe … Voilà… il s’appelait Philippe, ça me revient…

Joie encore différente que celle là… pendant près d’un an, nous avions fréquenté ce haut lieu d’un certain plaisir de la nuit ou se mêlaient rires, alcool et diverses très discrètes coquineries, dont Philippe connaissait le détail, coquineries qui se terminaient à quatre dans notre appartement, dans la plus grande volupté.

C’est donc accueillis de Kirs et Tequilas complices que Philippe nous demanda où nous étions passés depuis ce temps, et Vincent de lui expliquer que le boulot lui ayant imposé un déménagement en province, nos soirées malicieuses étaient donc devenues difficiles.

J’embrassais Justine, un bras délicieusement placée autour de son cou et mes doigts effleurant le haut de sa poitrine mise en valeur par un scandaleux décolleté, lorsque mon portable sonna .
Et alors là ! Première erreur : je décroche !

… Mon Boss !

A cette heure ! Arrivé à Bruxelles, cette enflure m’explique qu’il a laissé LE dossier a la boite et que son rendez vous de 8 h demain ne DOIT PAS être reporté.

Une seule solution : je dois aller fissa à nos bureaux de La Défense et lui faxer les 60 pages de textes et croquis.

Deuxième erreur : J'acquiesce.

Voilà comment on fout définitivement une soirée en l’air.
J’entrainai
Justine à part discrètement et lui expliquai.

Aussi déçue que moi , elle me proposa de venir avec moi.
Paris, La Défense, faxer ces papelards, revenir, c’était deux heures au bas mot en roulant a vitesse antiFlics. C’était Non, et elle le savait.
Je l’embrassai a nouveau la serrant contre moi , lui demandant de m’excuser auprès de Vincent.
“- Restez ensembles, amusez vous, je fais vite. Promets moi d’inavouables aventures à mon retour, et tout ira bien…”

Elle hocha la tête, m’embrassant longuement, puis me mis la main sur le sexe au travers du pantalon, le serra fort, caressant ma nuque de l'autre main.

La mienne s’abandonna a son tour vers son entre jambe, allant jusqu'à sentir le tissu de son string au travers du tissu.

Notre baiser s’attardait, son corps m’appelait et le désir d’elle s’emparait de moi.

Je m’écartai doucement… “- Me laisser dans un état pareil, me chuchota t-elle… Sais tu seulement depuis quelle heure j’ai envie de toi…”.

Je ne dis mot, rajoutant simplement “- Je me dépêche”…

Puis je partis.

C’est à la porte du Cabaret qu’elle me rejoignit vivement, alors que mon esprit tentait de changer de contexte.

Elle m’embrassa a nouveau puis dit simplement.. “- les aventures que tu souhaites a ton retour, Thibault… tu les veux vraiment inavouables ? “
Je souris d’un “oh oui, ma chérie”, puis je partis cette fois pour de bon.

Maudissant tous les Dieux, avec des idées de sexe les plus affolantes dans la tête, et n’arrivant pas a me défaire de cette érection, je mis le contact et entrepris d'appliquer les conséquences du film “Mon patron fait chier”.

Parti à minuit et demi, à 2 h du mat j’en étais a la fin de ma discussion intime avec ce Fax de merde, transmettant les docs à l’hôtel de mon patron lorsque Justine m’appela pour me rappeler que Philippe fermait vers 3h … je lui dis que je serai sur place bien avant.

Alors elle me dit d’une voix terriblement suave “- Écoutes, Thibault… lorsque tu arriveras… il y aura sans doute peu de monde … je voudrais te réserver une surprise… Fais toi discret dans ton arrivée, et puis va t'asseoir a notre table , tu sais … celle depuis laquelle on voit tout sans être vu… fais moi plaisir…”

Faire plaisir a Justine, je le voulais, et répondre à la surprise qu’elle semblait vouloir me réserver m’excitait déjà un peu. C’est sans poser de questions que je lui dis “ - oui, ok ma Chérie, on fait comme ca.”

Mon retour sur Paris-centre se fit assez rapidement, et c’est justement vers 3 h que j’arrivai là d’où j’étais parti près de 3h avant.

J’imaginais non sans déplaisir Vincent et Justine dansant seuls sur la petite piste du Cabaret, Philippe ayant volontiers retardé un peu sa fermeture pour un dernier verre ensembles, et la pensée du corps de ma femme ondulant sous les lumières tamisées, et jouant de ses formes se dessinait dans les ambiances cotonneuses créées par mon esprit imbibé d’érotisme fou.

J’entrai doucement, croisant ce qui devait être le dernier couple qui sortait et cherchant du regard mon petit monde qui devait m’attendre, sans les voir tout de suite…

J’allai donc m’asseoir a notre table, un peu en élévation par rapport au reste de la boite, et trouvai avec plaisir un seau à champagne empli de sa bouteille fraîchement déposée, avec simplement une coupe vide à coté.

Je souris à la vue de l’attention d’une Rose rouge, posée en travers d'une carte dans la pénombre qui me laissait distinguer, écrit de sa main : “Pour toi Thibault, mon bel Amour”…

…Merci ma Chérie…

Puis je m’installai donc, à la fois détendu et excité à la pensée d’un mystérieux spectacle qu’on m’avait visiblement préparé et dont je savais déjà qu’il allait être détonnant, connaissant mon irrésistible Femme.

Mon regard balaya à nouveau la salle sans trop s’y attarder une nouvelle fois, et… sans trouver de visage connu, ce qui ne m’inquiéta pas, à ce stade.

Encore un brin essoufflé de ma grande navigation nocturne a travers Paris, je fit sauter le bouchon de ma bouteille de Champ’, puis me servis une large coupe, m'apprêtant à la déguster sans aucune modération.

C’est en ajustant mes lunettes que je les vis… mais oui bien sûr, près du bar, ou plutôt non un peu à l’écart, près de cette table où était disposées quelques bouteilles d’alcools fins, Justine était là, Vincent juste à coté.
Je les croyais seuls dans le cabaret maintenant vidé de ses noctambules.

Elle s’appuyait légèrement d’une main posée sur la table, un verre à la main, fermant les yeux, Vincent derrière elle, le visage dans ses cheveux.
Le couple formait à mes yeux une image d’un érotisme dévastateur par le fait que Vincent avait sa main droite posée à plat sur le devant du sexe de
Justine, son autre main relevant légèrement le bas de sa robe et laissant apparaître le haut de ses collants.

Cette image fut pour moi une sorte de choc émotionnel.

Dieu… ! que ma femme me connaissait bien ! C'était comme un dessin tout droit sortie de la littérature érotique de Serpieri et son personnage Druuna.

Justine ce soir était Druuna.

Et elle savait combien les ouvrages de Manara, les dessins de Serpieri avaient ému les sens de mes premières années adultes.
Je n’en revenais pas.
Son corps, caressé par les mains sensuelles de notre ami, qui la parcourait lentement d’attouchements faits de caresses circulaires et statiques, se cambrait légèrement tout en faisant un très léger mouvement d’avant en arrière, se frottant sur le sexe de Vincent qui devait être dans le même état que le mien en cet instant.
La caresse de Vincent sur le corps de
Justine durait, s'étalait avec délice dans le temps.

Je vis les doigts de sa main droite relever lentement le bas de la robe, et je me demandais si en cet instant elle portait encore son string.

Vincent plaça son pied entre ses jambes et la força à écarter les cuisses, sa main poursuivait son mouvement de manière encore plus précise.

Justine se cambrait encore davantage, collant son visage en un mouvement arrière à celui de son amant de l’instant.

Le souvenir du scénario de Druuna me minait littéralement, et c’est au moment ou je me disais qu’il manquait un personnage que ma mémoire n’arrivait pas à saisir que je vis dans l’ombre de la pièce , pourtant pas très loin… Philippe…

Il était assis

Impassible et à la manière d’une sorte de Sphinx, il regardait.
Les mains simplement posées à plat, il parcourait de son regard un peu fixe, chacune des courbes du corps de
Justine.
Je le voyais la dessiner des yeux, depuis le bas de ses chevilles , longeant ses jambes jusqu’au haut de ses cuisses dont Vincent caressait maintenant l’intérieur, par derrière, forçant encore
Justine à écarter les jambes davantage…

Puis Vincent pivota sur sa droite en un mouvement où son visage se trouva face à elle, et sa main gauche relevant entièrement la robe, faisant apparaître les fesses magnifique de Justine, bien formées, dont le touché ferme se faisait sentir sous mes doigts à ce moment.
De là où j’étais, je voyais la ficelle du string qui partait depuis le bas de son sexe jusqu’à sa taille ainsi que le haut de ses cuisses, dont les légers reflets de lumière faisaient apparaître la moiteur. Ses cheveux abandonnés sur son dos, la main de Vincent doucement posée sur sa taille, qui devait appuyer cependant legerement, faisant
Justine frotter son bassin sur son autre main judicieusement placée devant elle, donnait à la scène une chaleur des plus torride.

J’en étais pour ma part à un stade difficilement descriptible… les sens complètement sonnés, je réalisai que sans trop m’en rendre compte que je m’étais déboutonné et tenais dans ma main mon sexe, à la fois brûlant et dur.
Je bandais comme un taureau et donnais à mon bras un léger mouvement, de manière parfaitement inconsciente, mais maintenant bien conscient de l’état d’excitation avancé dans lequel j’étais.

JustineJ'étais dans le droit fil de cette réflexion quand je vis Catherine faire descendre son string, s’aidant d’un mouvement de hanche circulaire, tandis que Vincent se plaçait face à elle et que dans le même temps, pour la première fois, Philippe sortit de son impassibilité.

Je le vis sortir de sa ceinture un sexe énorme sous l’effet de l’érection qu’il manifestait.

Je cru un instant à un curieux effet d’optique, mais il s’avérait bien que Philippe était doté d’un outil des plus impressionnant.

J'eus une pensée pour Justine qui, dans nos échanges sur l’oreiller, souriait doucement de ces femmes qui disaient qu’un gros sexe n’était d’aucune utilité et que quelques regards tendres ou bisous au coin des lèvres étaient bien plus important pour une sexualité épanouie, qu’un gros engin.

Elle était pour sa part de ces Femmes qui affirmaient qu’elle aimait sentir l’effet d’une bonne grosse bite, a la fois longue et forte, qui de sa chaleur outrancière vous ramone le tunnel intime et vous fait jouir en libérant un sperme chaud en votre intérieur, plutôt que quelques vagues allers retour rapides de petits sexes Asiatiques dont elle disait avoir eu l’expérience malheureuse, considérant que ces derniers relevaient davantage de gadgets qu'autre chose.

Vincent s’était maintenant attaqué à la face nord de l'Everest, facilement conquérable, ce soir là.
Il soulevait de ses mains la poitrine maintenant dénudée de
Justine, approchant les mamelons de sa bouche, dont il enserrait parfois les extrémités du bout des lèvres en les pinçant légèrement.

Je connaissais bien la poitrine de ma femme et savais combien les bouts de ses seins étaient érectiles. Aussi était ce avec un réalisme saisissant que je ressentais dans ma bouche la fermeté de ces seins, le touché incomparable de ses mamelons durs sous mes lèvres.

Je relâcha un instant mon sexe, me sentant arriver à deux doigts d’une éjaculation que je ne souhaitais pas en cet instant, tant la scène devenait excitante.

Je vis Justine tourner la tête, se désintéressant de Vincent un instant.
Elle regardait Philippe, et malgré la distance, je lus sur son visage l’étonnement, plutôt la stupéfaction.

Je ne me trompais pas. Philippe avait effectivement un sexe d’une dimension impressionnante sous l’effet de l’érection.
Et le moins que l’on puisse dire est que
Justine lui faisait un effet incomparable.

Cette dernière était maintenant littéralement en arrêt devant l’entrejambe de Philippe. Elle restait ainsi, le regardant, tout en descendant d’elle même sa main entre ses cuisses.

Je la connaissais assez bien pour connaître l’attrait visuel que comportaient certaines scènes pour elle.

Justine était de ces rares Femmes qui étaient touchées par ce que j’appelle l’impact visuel, et elle était friande de certains films pornos dont elle assurait la sélection.

Elle préférait même parfois regarder tout en se touchant, longtemps, ne recherchant pas l’orgasme mais seulement la situation d’excitation, au terme de laquelle elle se jetait sur mon sexe, évitant les préliminaires pour s’empaler sans attendre, tout en serrant mon sexe de ses doigts.

Elle entraîna Vincent par la main, s’agenouillant devant Philippe, et resta un instant figée devant son sexe dressé qu’il avait relâché, le laissant debout sous le seul effet de l’érection.

Sa main n'avait pas quitté son entrejambe, et je la voyais bouger doucement son bras .

En cet instant, je me disais qu'elle mouillait intensément et je me délectais de cette vision tout en me demandant quand elle allait enserrer ce membre qui se faisait désirer devant elle .

J'admirais l'apparente impassibilité de Philippe qui semblait avoir compris une partie du jeu qui consistait à laisser Justine choisir de son évolution. Il n'était visiblement pas de ces hommes abjects à se jeter sur une femme au prétexte qu'elle est justement désirable, ces “MDF” désignés dans les clubs libertins comme “Morts de Faim”, prêts à tout et ignorant tout autant les moindres bases de l'épicurisme.

Vincent l'observait, et savait qui était le Maître du jeu, la Maîtresse devrait-on dire.

Sa main s'activait… elle ferma les yeux… je craignais qu'elle ne décide de s'abandonner là… et d'aller au bout d'un orgasme que j'espérais pour un peu plus tard.

Alors elle s'approcha, laissant sa main gauche active, et se caressant activement, elle saisit le membre de Philippe.

Je vis la pression de sa main sur le sexe dressé, n'arrivant pas à l'entourer entièrement tant il était de dimension respectable sous l'effet de l'excitation.

Puis elle entrouvrit la bouche, sans le toucher, remuant lentement la tête, tout en bougeant sa main gauche dont je connaissais la caresse active pour avoir vu comment elle procédait lorsqu'elle appliquait ces pressions sur son clitoris, avant de s'en saisir entre ses doigts, le pressant tout en procédant par de lents, puis rapides va et vients, avant d'introduire son majeur, phalange par phalange.

Elle mettait son doigt lentement, mais le retirait vivement pour le réintroduire, puis alternait ce mouvement en faisant l'inverse l'instant d'après.

J'aimais quand elle se masturbait devant moi, et qu'elle recherchait cette sorte de contrôle de ses sens qui l'amenait parfois juste à la limite des premiers spasmes, sans les laisser la submerger.

Elle bougeait maintenant sa main droite sur le sexe de Philippe. très lentement d'abord, du bas vers le haut, et ses lèvres s'en rapprochait doucement..

Puis elle le prit.

Elle introduit le gland seulement, juste le bout, qui suffisait à lui emplir la bouche.

À l'idée de sa langue qui se faisait active, une vague de chaleur se saisit du bas de mon ventre, contrastant avec le frisson qui parcourut le haut de mes cuisses.

Je luttai un instant contre l'afflu de sensations qui me prenait le corps entier en voyant le sexe entrer dans sa bouche tandis qu'elle fermait les yeux en activant quelques allers-retours, alternant la pression de sa main tout en bougeant la tête.

Justine aimait, la dureté et la chaleur d'un sexe d'homme ressenti sous sa langue.

Je savais le plaisir qu'elle avait à parcourir de ses doigts la longueur de ce sexe, depuis le bas du gland sous ses lèvres jusqu'aux bourses, qu'elle pétrissait avec un mélange de douceur et de fermeté, en passant ses doigts par le bas, a leur base jouxtant l'entrejambe, puis les entourant d'un trait de ses ongles, sans presser d'abord, puis les prenant ensuite à pleine main, tout en assurant cette légère pression, et recommençant encore tout en assurant une incomparable caresse de ses lèvres, enroulant littéralement de sa langue le gland en mouvements rapides.

Vincent n'était pas inactif et lui caressait les fesses, parfois doucement, parfois moins. Ses mains circulaient sur le haut de ses cuisses, descendant d'abord par l'extérieur puis remontant entre elles, passant un doigt sur son clitoris et sans nul doute s'insérant en elle lorsque je lui voyais ce léger mouvement des reins

Justine s'arrêta assez brusquement.

Elle se leva et fit quelques pas, droite sur ses talons, et de sa démarche altière, elle se dirigea vers le canapé un peu plus loin.

Elle s'agenouilla sur un des coussins, tandis que Vincent et Philippe la suivirent.

Je devenais haletant sans m'en apercevoir vraiment.

L'idée de Justine qui allait se faire saillir, telle une jument en fièvre faisait tout mon corps s'emparer d'une sorte d'émoi difficilement descriptible.

Je sentais sous mes doigts mon sexe gonflé, me transmettant chaque battement de mon coeur par la pression de mes veines, qui me faisait penser que j'étais dans un état d'excitation incomparable avec ce que j'avais pu connaître auparavant.
Philippe la pénétra sans ambages.

Il plia un peu les jambes, mettant son sexe à hauteur de la vulve de Justine et donna un coup de rein.

Elle poussa un cri en s'enfonçant la tête dans le dossier du canapé.

Ils restèrent ainsi quelques secondes, Vincent lui embrassant la nuque tout en lui caressant les seins.

Puis je vis les reins de Justine s'animer.

D'abord de gauche à droite, recherchant un mouvement, une sensation de glissement que Philippe ne souhaitait visiblement pas encore lui donner en cet instant.

Il plaqua ses mains sur le haut des fesses de Justine, les immobilisant, interrompant ses mouvements, la faisant lutter de la force de ses reins, qui réclamaient ce sexe impressionnant par sa taille.

Elle était pénétrée profondément, jusqu'à la garde. Elle avait le membre de Philippe entièrement introduit en elle et devait en ressentir la dureté autant que la chaleur, tandis que Philippe, en expert claqua sa main droite sur sa fesse, faisant Justine gémir.

Elle émit ce râle demandeur, émettant un son rauque qui ne s'arrêtait pas.

J'entendis trois fois la main de Philippe claquer sur ses fesses, sans un mouvement de son sexe qui pénétrait Justine de toute sa longueur, voyant cette dernière forcer un mouvement des reins auquel la poigne de Philippe s'opposait;

Puis il enleva ses mains et les plaça autour de sa taille, l'éloignant un peu et retirant son sexe centimètre par centimètre et lentement.

Justine s'agitait, le corps sans nul doute en feu à ce moment. Sa croupe avait un mouvement circulaire dont il n'était pas sûr qu'elle contrôlait l'ampleur.

Elle fronçait les sourcils et haletait, la bouche ouverte, tandis que Vincent lui caressait simplement le dos, faisant sa main glisser depuis le haut de sa colonne vertébrale jusqu'à son anus, puis descendant encore, mouilla son doigt de la cyprine qui maintenant coulait du haut de ses cuisses.

À ce moment Philippe avait retiré presque toute la longueur de son sexe, ne laissant que le gland, à l'entrée du vagin.

Je vis alors Vincent remonter son doigt plein de mouille jusqu'à l'anus de Justine, caressant la rosette quelques instant, puis le faisant à peine pénétrer, provoquant de la part de Justine des saccades du corps et des petits cris.

Les deux hommes échangèrent un court regard, puis en même temps que Philippe engagea son membre, Vincent introduit son doigt, d'abord doucement, puis n'arrêta plus un mouvement de va et vient, rythmé maintenant par les allers - retours de Philippe qui se faisaient à la fois puissants et réguliers.

La cadence n'était pas la même, le sexe de Philippe étant plus rapide que Vincent.

la saillie avait lieu sous son regard.

J'avais vue sur le visage de Justine, qui, les mains crispées, avait empoigné le dossier du canapé et ne gémissait plus.

Elle avait enchaîné une série de “oui, oui, oui” tout en repoussant son corps en arrière de plus en plus fort au rythme des pénétrations de Philippe et de Vincent dont la main droite lui pinçaient légèrement les mamelons.

L'intensité de mon excitation à ce moment était sans bornes et je sentais la montée du sperme s'imposer lorsque j'entendis Justine s'étendre d'un “Ahhhhh” qui traduisait son orgasme atteint tandis qu'elle mordait le tissu, les mâchoires crispées, le corps cambré, immobilisé, et contrastant avec les mouvement de Philippe.

Il ne s'arrêtait pas, son sexe la pilonnait littéralement de la puissance de ses mouvements, et c'est en regardant ce membre pénétrer le sexe ruisselant de Justine en cadence régulière, depuis le gland jusqu'à la garde que je ne pus retenir mon éjaculation.

Ce fut fort et comparable en rien avec ce que j'avais pu connaître.

Je voyais le corps de Justine livré aux mains forte de Philippe qui finit par se retirer, puis, se saisissant de son sexe, l'appliqua sur le haut des reins de Justine au moment ou apparurent plusieurs jets de sperme.

Il s'agenouilla, inclinant sa tête et tentant visiblement lui même de récupérer

Justine pour sa part s'affala sur le flanc, les bras de Vincent la recueillant.

Je me sentais dans un état véritablement comateux, réalisant curieusement que je venais de voir sous mes yeux se réaliser un fantasme à peine encore conscient, qui depuis plusieurs jours s'était déssiné en filigrane en mon imaginaire érotique

Cet évènement donnait à ma relation avec ma Femme une dimension nouvelle, repoussant encore les limites de ce que peuvent ressentir nos corps animés de sens dont les orientations sont souvent dictées par notre inconscient.

 



Ryan   -  (Cliquer sur la Signature pour lui écrire)

Note de l'auteur :

Celui-ci autorise la copie et la publication (web uniquement) de ses textes à DEUX conditions expresses :

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Par Swann - Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Publié dans : Histoires Érotique Soft
Jeudi 21 janvier 4 21 /01 /Jan 14:13
Première parution le 7 Avril 2008 sur http://erosex.unblog.fr/ - 

C’était ce fameux week-end prolongé de vacances de Pâques où mon amie Natty me joua vraiment un tour de cochon… Nous avions convenu de nous retrouver dans la villa de ses parents pour passer le Lundi de Pâques ensembles dans cette région près de la mer, et je m’en faisais une joie réelle en pensant au temps depuis lequel nous ne nous étions pas vues, d’autant que c’était mon anniversaire et qu’elle m’avait promit “un truc”.

 

Je m’étais longtemps interrogée sur ce que Natty voulait dire par “un truc”, et avais finalement abandonné l’idée d’en savoir plus.

Cette amie d’enfance était ce que j’avais de plus intime, de plus personnel dans mes relations proches.
Non seulement nous nous connaissions depuis longtemps, mais …l’inavouable avait fait irruption dans nos vies de jeunes adolescentes lorsque nos mains et nos lèvres s’étaient un peu oubliées un soir de colo dans un dortoir, et cela nous avait curieusement liées.

De plus, j’étais heureuse de ce déplacement en Province, car Ryan devait me rejoindre, et

son absence pour raisons professionnelles devenait insupportable, depuis ces jours passés seule.

Ainsi le programme était - il : Une journée avec Natty, puis Ryan rejoignant ensuite en soirée notre complicité bien connue de lui, j'espérais des coquineries à venir sur un mode à trois explosif, ma libido du moment, je dois le dire , n’y tenant plus.

Le Mardi, retour de Province pour quelques heures d'autoroute en compagnie de mon homme.

Je débarquai donc seule avec mon sac de voyage à une adresse qu’elle m’avait donnée, et ses parents que je ne connaissais pas m’ouvrirent la porte pour me dire que Natty s’excusait de n’avoir pu être là, et qu’il n'était pas certains qu’elle puisse venir de tout le Week-end.
Partagée entre la surprise et un peu de colère, il à fallut que la gentillesse de sa mère prenne le dessus pour me détendre un peu, et lorsque son Père pris mon sac en me mettant la main sur le bras, je ne pu qu’entrer me faire servir un café.

C’est ainsi qu’en ce Lundi matin férié, je décidai de finalement rester sur place et jouir de l’environnement en profitant entre autre de la piscine magnifique dont l’eau surchauffée au soleil me tendait les bras.
Il était 11 heures du matin, et le programme farniente s’annonçait bien.

Une chambre me fut proposée, et je me changeai en tenue estivale.

Ses parents étaient vraiment fort sympathiques et la conversation fut très agréable pendant le repas.
Ils m’expliquèrent qu’en cette saison se tenait un marché aux fruits pas loin de leur maison, et que Natty appréciait beaucoup cette ambiance faite de convivialité ou il était possible de goûter a tout et partout.

L’idée ne me parut pas désagréable , et je me dit qu’après déjeuner j’irais bien y faire un tour.

Je me retirai dans ma chambre après ce repas, agréable sans plus, afin de téléphoner à Ryan, lui faire part de ma déception, et de mon attente de lui.

J’étais heureuse de l’entendre, de sentir mes sens en éveil comme à chaque fois qu’il me parle, de lui dire combien j’étais à lui, combien mon corps l’attendait, encore plus émoustillée, de l’entendre me dire qu’il était possible qu’il arrive plus tôt que prévu, qu’il avait une surprise, et qu’il me promettait “un truc”.

Mais c’est qu’ils commençaient à m’agacer, tous, avec leur “truc” !

En tous cas, je fis le lien entre Natty et lui, et me dis que décidément notre complicité commune était un vrai bonheur depuis maintenant deux ans que Natty participait à nos jeux secrets.

Ainsi me retrouvai-je, par un temps magnifique sur cette place, marchant d’allée en allées, souriant aux marchands et me délectant d’une ambiance détente aux mille parfums qui planaient sur les étals.

Entre les ananas par ci, les bananes par là, les caramboles et les pastèques, la jeune femme seule que j’étais était pas mal sollicitée et c’est de gourmandise en gourmandises fruitées que le temps passait doucement.

Commentez !Je les vis arriver de très loin, ces deux grands types a l’allure de copains en ballade, visiblement touristes, eux aussi.

L’allure gaie et souriante, il détonnaient, en cette ambiance de marché aux fruits et légumes.

L’attention encore retenue par cette sympathique dame qui voulait absolument que je tâte de ses tomates malgré mon insistance a lui expliquer que ma présence ici ne s'expliquait que par une promenade, mon inconscient se demandait ce que ces deux là pouvaient bien venir faire ici.
Puis cette idée se sépara de moi tandis que sous l’insistance de cette brave dame ,je me disais que j’allais me laisser tenter par cette orange qui m’était proposée, soigneusement épluchée.

Commentez !
Tandis que de sourires en conversations banales, j’expliquais que je n’étais pas de la région et que je ne passais ici que le week end, mon radar personnel détectait la présence derrière moi des deux gaillards qui s’étaient posés là, échangeant de grands rires aux accents méridionaux qui me faisaient penser que l’Italie n’était pas loin.

Je dois avouer que je devenais très distraite, car la proximité de ces deux beaux mâles finissait par ne pas me laisser indifférente.

J'avais, de très loin, observé deux physiques très différents l'un de l'autre, et du coin de l'oeil, vu que , l'un avec son débardeur et l'autre sa chemise ouverte, avaient l'attitude débonnaire de deux prédateurs de haut vol.

Pas des carnassiers, c'est sûr, mais ma petite expérience rappelait a mon esprit que je commençais a me sentir dans la situation de la proie, car mon détecteur à ondes courtes me signalait aussi que j’étais le centre de toutes leurs attentions et que leur présence n’était pas innocente.

Commentez !

Il restait posé le mystère qui les avait amenés là, comme des flèches, et directement à l’étal où j'étais posée.

On m’avait expliqué le pouvoir des phéromones, mais tout de même…Même s'il est vrai que j'étais dans une disposition..comment dire.. assez disponible, je demeurais certaine qu'il n'y avait que moi , en ce bas monde, qui était censée le savoir, zut alors !

Pas de petit ami depuis plusieurs semaines maintenant que Ryan était à ce foutu stage professionnel qui s’étalait sur deux semaines, je dois bien avouer que mon intimité de ces derniers jours s'étaient limitée à un certain contact avec moi même, et que même si j'étais arrivée a une bonne dextérité dans mon mode d'accession au plaisir, le souvenir des effets de la présence du Mâle ne remontait tout de même pas a Néhandertal.
Cela dit, il était clair que l’absence de Ryan se faisait lourde.
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C’est en pensant a tout cela que j’entendis le grand italien me parler et s'intéresser a l’orange que je tenais à la main.

Cela tenait visiblement d'un mode d'approche et devait faire partie du tout premier paragraphe du Manuel intitulé “comment aborder un jeune femme séduisante dans un marché aux fruits par une journée ensoleillée”, mais je ne pu m'empêcher de me dire que bon sang, l’accent Italien, c’était quelque chose… et que ce quelque chose n'avait rien d'inventé quand on voit les effets qu'il peut produire.

En trois ou quatre mots, un effet se produit, effectivement.

Ses mots étaient chantés plutôt qu'être dits simplement, c'était joli et terriblement agréable de l'entendre parler. Son ami blond devait le savoir , car il le laissait faire ce travail d'approche.
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Quel argument avait il , ce beau brun, pour être ainsi certain que je n’allais pas l’envoyer paître…

Je souris intérieurement en faisant d’immenses efforts pour ne pas laisser paraître le petit plaisir ressenti de me faire aborder ainsi.

Son ami ne disait mot, laissant se faire la conversation, qui se construisait autour de banalités a base de couleurs de fruits, de saveurs, de commentaires sur le beau temps, et aussi sur le fait que dans ce marché aux fruits, on me trouvait très jolie.

Je fis celle qui se concentrait sur son orange en jouant les insensibles a ce genre de compliment, me disant que ce texte devait être appris de longue date, et que j'avais en face de moi certainement l'un des pros de la drague les plus aboutis. Donc je m'obstinais a garder un sérieux digne de celui de Jean Paul II lorsqu'il donnait l'absolution a ses fidèles devant la Cathédrale de Rome.

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Les efforts immenses déployés pour avoir de moi un sourire étaient appréciables et il finit par me faire carrément rire , lorsqu’il me dit que mes efforts, à moi, pour éviter ce sourire étaient tellement visibles, qu'il en avait du chagrin.

C’est là que son ami prit la parole et qu’il en rajouta en disant que je m’en sortait très bien malgré tout, et que je devais avoir beaucoup de pratique pour rester sérieuse face aux plaisanteries de Giulio.

 

 

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Un vent de réelle gentillesse passa dans ses paroles, et il enchaîna en disant que lui s’appelait Gurgle, ce qui me fit cette fois ci exploser de rire, n’ayant jamais pensé qu’il soit possible qu’un bruit pareil puisse correspondre au prénom d’une personne , fut elle Belge .

Ainsi donc avais-je a ma droite l'Italie, et a ma gauche la Belgique, le tout formant un petit cocktail, je dois dire vraiment sympathique.

Ces garçons étaient arrivés a créer un certain trouble en moi par leur approche un peu déconcertante, et le sentiment pour moi d'être unique par le fait que, sortis de je ne sais où, ils ne portaient leur intérêt que sur moi, sans jamais détacher leur regard d'une des parties de mon corps tout en me parlant.

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Un souffle cette fois ci de sérieux passa un instant et nous nous presentâmes dans les formes, même si je me dis que ma main fut gardée longtemps emprisonnée dans chacune des leurs lorsque cette formalité s'effectua.

C'est ainsi qu'ils apprirent que je m'appelais Mégane, et qu'ils en parurent enchantés, me complimentant tout en m'affirmant que cette journée ne paraissait radieuse que par ma présence en cet endroit et que dès cet instant cette rencontre relevait du Divin, ce qui me parut franchement exagéré

Exagéré, soit, mais plaisant.
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Cette poignée de main fut comme un tournant à notre conversation jusque là très légère.

Giulio me dit que j'inspirais des choses pas tout a fait classiques et me demanda si je me sentais prête a écouter une proposition qu'il souhaitait me faire.

Je n'en fus dans un premier temps pas certaine du tout, puis m'interrogea tout de même sur la nature de sa demande.

Honnêtement, je ne voyais pas ou tout cela allait et mon esprit m'orienta vers une invitation restaurant pour le dîner du soir avec lui.

Mais la complicité entre les deux garçons me troublaient plus que de raison, et je ne trouvai pas la direction qu'il empruntait.
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Je ne cachai pas une certaine inquiétude quand il m'expliqua qu'ils avaient loué une petite villa pas très loin d'ici, et qu'ils voudraient vraiment me la faire visiter, tout en insistant sur le fait que passer un moment en ma compagnie leur feraient vraiment plaisir.

La nature de mon inquiétude portait sur le fait qu'il parlait a la troisième personne du pluriel, et que , même mon piètre niveau en grammaire ne m'empêchait pas de comprendre que ces deux hommes là me proposaient de passer une après midi avec eux dans une maison que je ne connaissais pas.

Il semblait tout aussi clair qu'ils ne cherchaient pas un partenaire pour une partie de carte non plus . C'est pour cela qu'a ce moment la pulpe d'orange que j'avais dans la bouche ne passait pas facilement dans la gorge, bien que je m'y reprenne à plusieurs reprises..image9.jpg

 

J'en étais encore à essayer de comprendre le sens réel de tout cela, que Gurgle engagea le pas, me mettant le plat de sa main dans le dos d'un mouvement a la fois doux et ferme, et je me surpris a mettre un pied devant l'autre, tandis que Giulio, tel un moulin a parole , Italien qu'il était, se lançait dans une description sans fin de l'environnement de cette Villa dont il était sûr qu'elle me ravirait.

Gurgle quant a lui approuvait tout en marchant sans ôter sa main de mon dos.Commentez !

Je suivi donc le train, ayant l'impression d'une sorte d'envoûtement dont les effets me rendaient non pas soumise, loin de là, mais comme dépendante d'une ambiance, d'une atmosphère.

Nous avions quitté le marché, et c'est sans jamais s'arrêter de parler que Giulio m'ouvrit la porte de la voiture pour, sur effectivement un très court trajet me montrer cette Villa en haut d'un petit morne qui donnait vue sur mer dans des conditions majestueuses.


Commentez !L'endroit était magnifique.

C'est lorsque nous entrames dans le salon que l'impression d'intimité fut forte, et Gurgle vit mon visage changer car il s'en inquiéta gentiment.

Les choses allèrent alors très vite dans ma tête et je pris conscience de mon choix.

Jamais personne aujourd'hui ne m'avait forcée a faire quoi que ce soit, et une sorte de sérénité se mis en place au plus profond de moi, me rendant alors plus détendue.
Mon seul regret était que Ryan ne soit pas là.

Il aurait adoré cette ambiance de légère tension, d’excitation face à une part d'inconnu.

Commentez !Je m'assis alors et entrepris d'oter mes chaussures, captée par le regard de Gurgle, et me demandant vraiment si ces deux hommes pensaient vraiment poser leurs mains sur moi cette après midi là. Cette question n'en était pas vraiment une, car l'intimité créée depuis quelques minutes maintenant, le contact de la moquette sous la plante de mes pieds nus , et la proximité immédiate de ces mâles assis avec moi sur un canapé donnaient a mes sens une couleur pastel, faite d'une légère brume de plaisir.
C'était maintenait Gurgle qui parlait, Giulio qui regardait.


image10.jpgCe dernier se leva un instant pour a ma demande ramener de l'eau fraîche, tant j'avais la gorge sèche lorsque Gurgle posa a nouveau a nouveau sa main sur le bas de mon épaule.

Ce simple geste du contact des doigts presque sous mon bras me fit un effet très différent, surtout lorsqu'il ajouta que mon corps lui était apparu désirable dès le premier instant.

Son regard allait de mes yeux a ma poitrine, et c'était deja comme une caresse ressentie sur chacun de mes seins..

Commentez !

Giulio défit adroitement le noeud qui retenait ce qui cachait le haut de mon corps, me surprenant un peu, davantage par le fait que cela les libéra de cette espèce d'oppression que je ressentais encore un peu, que par le geste lui même.

Nous echangeames un regard et je posai instinctivement ma main sur ma poitrine, ce qui me fit sentir les pointes de mes sens au travers du tissu, confirmant le léger état d'excitation qui s'emparait de moi de manière assez puissante pour que je ne souhaite pas l'en empêcher.
Commentez !

Gurgle se fit un peu pressant , et je le tempérai , souhaitant reprendre un peu le dessus d'une situation qui me laissait l'impression de me dominer quelque peu . Je le tint a distance le temps d'un instant, si le terme “a distance” puisse être employé, vu qu'il posait maintenant le revers de sa main droite sur mon ventre, ce qui eu l'effet d'attiser davantage la surface de ma peau.

Le contact de sa peau contre la mienne qu'il transformait en douce caresse se propageant du haut au bas de mon ventre avait vraiment l'effet d'une ligne de feu qu'il traçait sans le savoir, et garder un sourire devenait difficile, tant la sensation me pénétrait maintenant.

Le caractère insidieux avec lequel je me sentait habitée par le désir portait sa part de mystère.

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Il fallait maintenant compter avec les gestes furtifs mais précis de Giulio dont les doigts agiles avaient complété le déshabillage, et c'est en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire que je me retrouvai seins nus, leur bout pointant à l'horizontale.
Je sentais dans le même temps au fond de mon ventre se former une douce chaleur, et me trouver les seins nus sous les yeux de ces deux hommes qui me désiraient ajoutait a la fusion de mes sens maintenant qui n'étaient plus sous contrôle.


Il est impossible de décrire la sensation produite par le regard de ces hommes sur ma poitrine dénudée.

Impossible d'expliquer combien le bout de mes seins s'en trouvaient excités au point que je les sentais maintenant durs, l'envie d'être touchée de leurs mains.
Commentez !

Je voulais cacher le désir qui s'installait pernicieusement, et cela devait se voir, car mes complices éclatèrent d'au grand rire qui fini de me désarmer vraiment, si tant est depuis le début de cette histoire que je n'ai vraiment été armée.

Il est curieux de constater comment l'hilarité vous est précieuse en certains moments. On ne sait si s'y réfugier est une fuite ou une réaction nerveuse quand elle survient.


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Je sentis la main de Giulio s'emparer de mon sein gauche, tandis que Gurgle posait ses lèvres sur mon sein droit.

C'était la première fois que deux hommes me touchaient a la fois, et cela , en même temps que la situation avait pour effet de maintenir mon rire par l'image cocasse que cela représentait a mon esprit, me produisait un plaisir indéfinissable, du plaisir à l'état pur, sans l'interrogation du qui était au bout de ces mains.
le contact était tout simplement fort et j'en tirais un plaisir intense.

 

Commentez !

Un peu gênée, je plaçais furtivement ma main gauche dans mon entrejambe et je fus très troublée de voir a quel point j'avais le sexe mouillé. Cela stoppa net mon rire et me fit me concentrer sur l'état d'excitation sexuelle dans lequel étais maintenant.

Je savais que j'avais envie, très envie.

Je savais aussi que je ne m'opposerais a rien, ni a leur mains, ni a leurs caresses, ni au contact de leur sexe, car mon corps s'imposait maintenant en demandeur.

Nous nous levâmes ensembles pour finir de nous déshabiller.

Commentez !

Il devenait impérieux que les mains de mes amis se posent en les lieux les plus intimes de mon corps, et cette sensation que j'avais un peu oublié, faisait que je mouillais maintenant a ce point, me faisait désirer le contact d'un sexe d'homme.

J'avais tout autant envie de les voir nus qu'eux avaient envie de moi. Mon regard se rivait malgré moi sur le sexe de Gurgle, encore caché, pressée que j'étais de le voir, de le toucher.

Je me déshabillais en même temps, ôtant cette jupette qui restait le denier rempart entre une certaine source de plaisir et moi même.

La sensation du frottement de mes cuisses entre elles me procurait un curieux effet qui me rappelait au désir en permanence.

Commentez !

 

En fait, Gurgle se déshabilla rapidement et se plaça derrière moi, m'aidant à ôter ma culotte.

Je sentis le léger contact de son sexe sur ma fesse droite.

Cela me troubla davantage, et c'est d'une main fébrile que je me depechai d'enlever cette mince frontière entre mon intimité et le contact maintenant tant attendu de leurs mains, tandis que mon regard se posa sur le sexe de Giulio, m'efforçant de contrôler cette envie de toucher.

Le fait d'avoir à portée de main deux sexes d'hommes créait une ambiance terriblement sexuelle, laissant l'érotisme de coté.

 

Nos sous vêtements furent ôtés rapidement, et je m'assis en mettant instinctivement mes mains sur mes seins dont je sentais les pointes érigées.

La main de Gurgle posée sur l'intérieur de ma cuisse m'électrisa littéralement, et c'est aussi d'instinct que j'écartai ma jambe, en ressentant dans ce mouvement à quel point mon entrejambe était mouillée.

Giulio posa sa main chaude sur moi, et je ne saurai, encore maintenant décrire l'effet que me faisaient ces mains d'hommes différentes sur mon corps littéralement en feu en cet instant.

 

 

L'envie incontrôlable de tenir entre mes mains le sexe de Gurgle se saisit de moi, je n'en pouvais plus de cette proximité, je voulais sentir, toucher cette virilité, si près de mes lèvres maintenant.

Je ne sus si la sensation de son sexe dur entre mes doigts fut plus forte que la caresse de Giulio sur mon clitoris au même moment. Ce que je sais, c'est que mes sens étaient tous en éveil brûlant.

Je pus enfin toucher de mes lèvres le sexe tendu de Gurgle, ressentir cette chaleur sur ma langue, devenue vive, s'entourant autour de son gland que je sentais à vif. je crois que le plaisir que j'en ressentais à ce moment avait commune mesure avec celui que je lui prodiguais, mais le plaisir ressenti chavirais mes pensées, qui allaient a la vue que j'offrais à Giulio qui ne cessait de me caresser savamment le sexe complètement mouillé maintenant.

Il passait ses doigts a l'entour de ma vulve, doucement parfois, plus vivement d'autres fois, délaissant mon clitoris tour a tour y revenant, et je ne saurai décrire combien ces attouchements me brûlaient l'intérieur du corps.


L'envie d'être pénétrée était terriblement forte, et mon bassin s'animait malgré moi lorsque Gurgle posa simplement sont doigt directement sur le bout de mon clitoris, appuyant, sans bouger.

Je le senti glisser tant il était mouillé de désir, tandis que les doigts de Giulio ne s'arrêtaient pas.

Je fermai les yeux, ces garçons me rendaient folle. Jamais mon corps n'avait ressenti à la fois tant de sensations et d'aussi fortes impressions de chaleur se mouvant entre mes jambes, entre mes lèvres, entre mes doigts.
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Un cri m'échappa lorsque deux doigts de Giulio s'insérèrent en moi. il n'eut aucune peine a le faire, et je m'étonnai de la profondeur à laquelle il s'introduisirent. il était attentif à la moindre de mes réactions et faisait coulisser sa main en expert, tandis que de l'autre il continuait a caresser le bout de mon clitoris dont je sentais la dureté au bout de son index.

Je ne saurai traduire le ressenti de ces caresses qui s'ajoutaient à l'effet du sexe de Gurgle sous ma langue.

Sentir son gland dans ma bouche en même temps que les mouvement de Giulio en moi menait à un véritable désordre de mes sens qui s'enflammaient davantage.

Mon corps se faisait demandeur et ne serait capable de ne rien refuser
J'étais dans cet état extrême, lorsque Gurgle se recula et se mit à me parler doucement. Il arriva à capter toute mon attention sans que je ne sache si c'était sa voix qui avait ce caractère hypnotique ou ce qu'il disait, qui devait ressembler à “…tu aimeras, tu sais…tu aimeras tout à l'heure, ce que nous te ferons ressentir, lorsque doucement je poserai le bout de mon sexe sur ton clitoris, que te ferai cette caresse en cercles sans encore te pénétrer, tandis que ton corps commencera a manifester de petits coups de reins , imperceptibles, réclamant ce membre dur que tu as touché tout à l'heure et que tu avais trouvé si chaud. Puis je délaisserai alors ton clitoris, pour continuer a caresser, du bout de mon sexe, le bord de ton vagin, en pénétrant juste un peu, juste pour en caresser les bords. Ce sera être chaud, tu sais…”
Il disait cela tandis que Giulio donnait de légères petites tapes sur mon sexe béant et que les idées les plus troubles me traversaient.

L'imaginaire érotique est quelque chose de puissant, et ce beau salopard le savait. Il me rappelait quelqu'un qui savait en jouer, et qui savait que je n'étais pas étrangère à ce monde.

Les mots qu'il avait prononcés et tout simplement l'état dans lequel mes nouveaux amis m'avaient mis était tout simplement ce qu'on peu appeler un état limite.

Plusieurs fois déjà j'avais lutté contre la venue d'un orgasme, souhaitant maîtriser un tant soi peu une situation dont je ne voulais pas qu'elle m'échappe.image13.jpg

Je me retournai vers Giulio et me saisi de son sexe que je caressai un instant, le temps pour Gurgle, de quelques mouvements adroits de me positionner sur le ventre, de me relever les reins, m'appuyant sur un genou, et lui donnant à la fois une vue et un accès à mon intimité que je lui offrais complètement.

Giulio était fait différemment. Son membre plus puissant emplissait complètement ma bouche, et la sensation de cette chaleur coulissant sous ma langue en même temps que le doigtage savant que je recevais me transportait littéralement.

 

Puis Gurgle se coucha sous moi, la tête presque sous mon ventre et se lança dans un cunni diabolique.

Sa langue furtive passant sur la pointe de mon clitoris et s'enroulant autour de lui, se faisant chaude, puis vive, en même temps que la dure virilité de Giulio entre mes lèvres me fit succomber à un plaisir contre lequel cette fois ci je ne luttai pas.

C'est lorsque ses lèvres se saisirent de mon clitoris, lui faisant un effet de va et vient en même temps que je sentais sa langue sur mon petit bout que m es reins se firent incontrôlables .


De puissantes vagues de plaisir générant des contractions en rafales se formèrent au bas de mon ventre et troublèrent ma vue, générant ce fameux vertige indescriptible vous embrasant totalement.

Je jouis sans contrôle, m'appuyant contre Giulio, serrant son sexe entre mes doigts.

Mon clitoris prisonnier des lèvres serrées de Gurgle était en feu, générateur de plaisir sans fin, je n'avais plus la sensation de mon corps, et n'étais que plaisir, que jouissance. Un état second..

Je me retournai, me plaçai sur le dos, l'épuisement s'emparant de moi sans que ne s'arrête complètement ces spasmes se faisant alors légers.

le bas de mon ventre était maintenant comme un terrain miné, une autre partie de moi .

Des doigts s'affairaient, le plaisir toujours présent, mes reins avaient acquis leur propre vie.

J'aimais cela. les doigts de Giulio caressant mon clitoris de légers attouchements, Gurgle me pénétrant, doucement et sans s'arrêter.

Je continuais la fellation a Giulio, je ne voulais pas lacher son sexe. Il était fort, et son érection puissante.

Son gland sous les mouvements de ma langue était mouillé et coulissait dans ma bouche au rythme des caresses que me prodiguait Gurgle.

C'est là qu'une autre vague de plaisir me submergea. Je le senti venir du profond de mon ventre, libérant une chaleur irradiant mon sexe, et générant ces tremblement incontrôlés.

Je me sentais maintenant sans force, étourdie et n'ayant plus grande notion, ni du temps , ni de ce qui se passait vraiment.

Je me sentis soulevée, transportée, déplacée, avec toujours ces spasmes encore présents, dont les saccades se calmaient seulement maintenant.

J'avais jouis bruyamment, je crois. J'en pris conscience et l'idée que d'autres personnes aient pu m'entendre me traversa l'esprit.

C'était une idée saugrenue, nous étions seuls.

Je m'offrais à ces hommes et ne voulais plus de limites vraiment.

C'est peu a peu que je repris conscience, lorsqu'ils me posèrent sur un grand lit, dans une autre pièce.

Un rapide regard autour de moi me fit distinguer une chambre quasiment vide, juste ce grand lit, une petite table et un canapé dans la pénombre.

La température était douce et je me disais en cet instant que je vivais une véritable séance de bien-être physique, et que je ne voulais pas qu'elle s'arrête.

Je désirais maintenant tout autre chose, et je leur demandai de me prendre sans plus attendre.

Je désirais Giulio, son sexe dans ma main avais laissé sa marque, et c'est de lui que je voulais.

Un furieux désir de pénétration s'empara de moi, et je le fis savoir.

 

Giulio s'approcha de moi, et relevant ma jambe posa son sexe contre moi.

Je sentais la douce chaleur qu'il me communiquait, et le savais d'une réelle dureté.

Il bougea un peu et caressa le haut de mon clitoris du bout de son gland , le positionnant peu a peu, tout en me caressant les seins.

 

Puis il me pénétra d'un coup en relevant mes jambes.

Je le sentis au fond de moi, laissant échapper un léger cri sous ses mouvements d'abord lents, puis ensuite plus rapide.

Je sentais coulisser en moi son sexe chaud qui m'emplissait complètement, générant ce plaisir tant attendu.

 

image14.jpg

Giulio me pris ainsi longtemps, ayant établi une sorte de rythme, a la fois régulier et puissant, profitant de mon corps autant que moi je jouissais du plaisir qu'il m'offrait

Je ne sus pas vraiment combien de temps cela dura, mais je passais ainsi de l'un à l'autre, accédant au plaisir de manière multiple et différente à chaque fois.

J'aimais à la fois la puissance des pénétrations de Giulio, et les fantaisies de Gurgle.

Les pointes de mes seins me générait maintenant cette légère douleur de l'excitation qui ne s'arrêtait pas, mon corps entier n'étant que jouissance de tous ces instants.

J'aimais lorsque Gurgle me retourna, me pénétrant à fond et provoquant ces allers retours rapides qui m'amenaient au bord du plaisir, puis s'arrêtant pour mieux recommencer doucement, me pénétrant profondément, et restant ainsi plusieurs secondes, appuyant davantage d'un coup de rein puissant et se retirant.
Je ne saurai dire le nombre de fois que je jouis sous les yeux de mes amants qui en tiraient plaisir, et tour a tour ne cessaient de me caresser, d'amener mon corps au delà d'un orgasme quasi permanent


 

Je me souviens encore de ce dernier orgasme sous l'effet du sexe de Gurgle qui me pénétrant à fond dans un de ses derniers coups de rein m'amena au plaisir total, générant ces vagues qui vous partent depuis le bas de la poitrine et vous parcourent le ventre jusqu'au haut des cuisses, laissant au passage le sexe irradié d'une tension faite d'une indescriptible chaleur et l'esprit trouble.

Je me sentais le corps épuisé, comme relâché d'une tension qui aura duré des heures, tout mou et cotonneux maintenant dans cette pièces qui s'assombrissait avec la fin de la journée.

Mes amis ne cessaient de me caresser de manière différente, maintenant.Leurs mains , faites de douceurs me parcouraient le cou, le haut de la poitrine, puis mes jambes allongées , détendant mon corps peu a peu, me ramenant à cette réalité de la fin de cette journée si spéciale.

En cet instant mes pensées revenaient à Natty qui m'avait délaissée ce matin, et à Ryan, dont j'aurais tant voulu qu'il participât.

J'étais bien, et mes amis souriaient, m'embrassaient sur le ventre, sur les seins et dans le cou, de ces baisers légers qui vous irradient de tendresse, lorsque Giulio me posa un baiser sur le coin des lèvres, plus marqué que les précédents, et me dit , d'un chuchotement plein de sensualité…”Bon anniversaire, Mégane”

J'ouvris la bouche et restai ainsi , hébétée…

Comment ça “Bon Anniversaire ” ? Comment sais tu que c'est mon anniversaire ?

Gurgle s'approcha, allumant la lampe de chevet, m'embrassa a son tour tendrement, puis se dégagea de mon visage, et me dit doucement…”Je crois que nous ne sommes pas seuls, Mégane”….


 

J'entendis un bruit de bouchon de champagne en même temps que je vis, se levant du canapé, Ryan et Natty, l'une applaudissant, l'autre riant, bouteille de Champ à la main, puis finalement se jetant sur moi et me couvrant de baisers.

J'étais folle de surprise, de bonheur, de plaisir… Ainsi ces inconnus n'en étaient pas du tout ! … Amis bien cachés de Natty, complices de Ryan, voilà donc ce “truc” qu'ils avaient monté à mes dépends…

“À mes dépends”… Plutôt à mon grand bonheur. !

Bel anniversaire que celui là.


Ryan   -  (Cliquer sur la Signature pour lui écrire)

Note de l'auteur :

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Publié dans : Histoires Érotique Soft
Jeudi 21 janvier 4 21 /01 /Jan 14:11
Première Publication sur http://erosex.unblog.fr/ le 27 Mars 2008 -    

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Plus d’une heure maintenant que je suis dans ce wagon bondé à la pPremière Publication  sur romiscuité agressive. On se croirait a un retour de vacances…

Je suis là, debout, appuyée contre cette cloison, tandis que toutes les places assises sont prises, et compte sur le prochain arrêt pour que tout cela se vide un peu, car je sais que ce voyage dans le sud sera fait de plusieurs heures.

Mon Dieu… des heures…L’ennui s’installe et mon esprit vagabonde, laissant ma nature sensuelle s’étendre lentement en mon imaginaire.
Cela s’est toujours fait insidieusement m’aidant en cela à penser que je ne suis pas de sensibilité perverse.
Mais il est vrai que souvent , lorsque l’ennui s’installe en moi, il fait assez rapidement place à des idées pas toujours avouables et qui ont rapport aux plaisirs des sens.

En cette journée d’été je suis habillée courte et mon petit chemisier laisse paraître le dessin du haut de ma

poitrine que beaucoup trouvent généreuse… à tous égards.
Car c’est vrai, que je sais détecter le plaisir et celui qui sait le donner.
Autant je connais la manière pour éloigner de moi celui ou celle qui ne m’inspire en rien, autant le partenaire choisi croira que je suis femme facile alors qu’il n’en est rien.

J’ai été parmi les dernières a monter dans ce train et c’est pour cela que je me retrouve coincée non loin de la porte avec juste devant moi, à peine à dix centimètres, le dos de cet homme d'âge mur aux épaules larges qui me prennent toute la vue.

J’appuyai ma tête sur le coté, fermant les yeux et

me laissant envahir par le rythme du bruit des roues sur les rails.
Avant d’entamer les heures de voyage, ce train s'arrêtait toutes les trente minutes à de petites gares de banlieue, et cela allait encore être le cas.
Arrêt annoncé, portes ouvertes, et a nouveau une vingtaines de voyageurs entrant et me poussant, m’obligeant a me faire encore plus petite.

Cette fois ci me voilà touchant carrément cet homme devant moi, qui se retourne cette fois, me surplombant d’une bonne vingtaine de centimètres, autant dire que mon visage lui touche presque la poitrine, tandis que sa tête passe par dessus la mienne.
J’en arrive a sentir l’odeur de son corps, et cela me trouble.
J’ai cette envie de me laisser aller un peu vers lui et je m’en inquiète un peu lorsque un mouvement du train qui attaque une courbe m’appuie contre sa poitrine.
Nous voilà face à face , moi n’osant relever la tête.

Il est curieux de constater comment, au hasard des tailles des hommes et des femmes, les mains peuvent se placer presque naturellement en les endroits les plus incroyables.
Je baissai la tète , et me rendit compte que le dos de sa main arrivait exactement au bas de ma jupe. Cela m’amusa, puis me troubla davantage.
Je me dis que si ce n’était la barrière du tissu, ses doigts me toucheraient, c’était amusant.
Je détournai la tête sur le coté et relevai doucement le bas de ma jupe, mettant ainsi au contact ses doigts et ma culotte.
Il le sentit, et se contracta, éloignant immédiatement sa main, puis la replaçant doucement.

Je fermai les yeux à nouveau, m’abandonnant a ses doigts, qui au gré de sa volonté, me caressaient lentement.
Il faisait cela avec une infinie douceur, presque agaçante, en raison du désir qui montait lentement en moi.
Il rapprocha encore son corps, et je sentis son autre main me toucher la peau du ventre, remontant vers ma poitrine.
Tout cela se passait entre une cloison du train, et une foule dense qui ne se doutait de rien.

Il glissait maintenant ses doigts sur le haut de mes cuisses, cherchant a s'insérer entre ma peau et ma culotte, je ne pouvais en rien lui faciliter la tâche sinon en écartant légèrement mes jambes, ce que je fis.
Sa main gauche ne put aller bien loin sous mon chemisier, les conditions n'étant pas excellentes, mais cette sorte de complicité avec un inconnu allait au delà d’un simple plaisir d’attouchement, il y avait une part de crainte d'être vue, il y avait ce plaisir ressenti, il y avait ses doigts qui circulaient maintenant sur mon clitoris, qui me faisaient me pincer les lèvres parfois.

Je me sentais mouillée et cela facilitait sa douce caresse sur moi.
Cela dura plusieurs minutes, quand le train ralentit, rompant la rythmique qui s’était crée entre le bruit des rails et les mouvement des doigts que je ressentais.

Les gens bougeaient, et il se déplaça lui même un peu, me délaissant malgré lui sans que jusqu’à cet instant nous ayons échangé un regard.
Je ne pouvais que constater l’état maintenant dans lequel j’étais, avec cette sorte de désir au bas du ventre, l’entrejambe mouillé, et cette petite douleur au creux de l’estomac.

Un voyageur s’interposa entre lui et moi, préparant sa sortie a l’arret prochain. il le fit brutalement, et je le lui fit savoir en cherchant du regard mon doux magicien.

Dans ces situations de mouvement de foule, ma petite taille était un handicap et je pestais contre l’évolution de la situation.
Les choses allèrent vite. le train s'arrêta et enfin, se vida d’un coup.

Je remontai le flux de voyageurs qui quittait le wagon et m'inquiéta de trouver une cabine enfin libre.
Espérant retrouver mon complice d’un moment, je croisais des regards, incapable de reconnaître un visage dont je réalisais que je ne l’avais jamais regardé.

Les deux heures passées ainsi ajoutées a La séance inattendue de tout a l’heure rendait mes jambes un peu vacillantes , et une station assise m’aurait fait le plus grand bien.
Je me déplaçais avec cette petite tension au ventre, que m’avait laissé en souvenir de lui ce Voyageur fugace.

trains13.jpgJe trouvai le bonheur recherché sous la forme d’une cabine vidée et put enfin m'asseoir confortablement.
Le rappel de ma petite aventure de tout a l’heure voulait s’imposer a mon esprit et cela ne me convenait pas , car si j’y avais pris un plaisir infini, je savais que l'environnement ne se prêtait pas à un assouvissement à court terme.
C’est pour cela que je tentai de me plonger dans la lecture d’un journal abandonné avec un succès tout a fait incertain.
Je croisai mes jambes, serrant entre mes cuisses ce bouton de plaisir encore excité d’un moment volé dont l’idée avait peine a me quitter.

Expliquer à quel point je fut dérangée lorsque la porte coulissante s’ouvrit serait peu dire tant j’aspirais à un moment seule.


trains10.jpg J’ignorai parfaitement le nouveau venu qui ne trouva rien de mieux que de s’installer face a moi, et me mimant a outrance, se munit d’un journal dans lequel il se plongea sans un regard sur moi.
C’était très bien, et le mouvement du train qui se remit en marche se fit rassurant, me laissant espérer un retour au calme de mes sens qui en avaient bien besoin.

Le temps passait doucement, et cette fois ci je compris qu’il n’y aurait pas de prochain arret avant longtemps.

Mes efforts à me détacher de cette idée des mains de l’ inconnu me caressant tout a l’heure se révélaient vains. L’intérieur de mes cuisses était encore à vif, et cette humidité entre mes jambes ne me quittait décidément pas.
Je décidai d’en finir avec ce journal, incapable que j’étais de lire le moindre mot, et lorsque je l’abaissa pour le plier, mes yeux tombèrent littéralement dans le regard de cet homme en face de moi.

Je réalisai qu’il me fixait ainsi depuis un moment. Sans nul doute m’avait il parcouru, et était-il sous l’influence de mes cuisses légèrement écartées, lui laissant voir ma culotte de dentelle noire.
Nos regards ne s’abaissèrent pas, et je me demandais s’il savait ce qui se passait en moi, maîtrisant en cet instant difficile un désir dont je n’arrivais pas à me défaire.

trains16.jpgSans me quitter des yeux il s’avança légèrement, quittant le fond de sa banquette , sans se lever. Il posa sa main droite sur le dessus de ma cuisse, et cela relança en moi l’envie d'être touchée cette fois ci plus concrètement que ces quelques caresses d’il y a quelques instants.

Je ne voulu pas fermer les yeux, et détournant légèrement le regard, mes mains se dirigèrent lentement vers le bas de ma jupe, relevant celle ci, offrant à sa vue l’intérieur de mes cuisses .
Un léger sourire flottant sur mes lèvres, j’écartai ma culotte noire.
Son regard se riva sur mon sexe maintenant, mouillé de cyprine, réclamant littéralement plus qu’une caresse, quelque chose de fort, et de puissant.
Je me savais mouillée, et je lisais en ses yeux qu’il commençait a comprendre l’inédit de la situation.
Mon corps le voulait, le réclamait maintenant, et je lui était gré de ne pas dire un mot.

Il se leva , se dirigea vers la porte coulissante et la verrouilla en silence. Seul le bruit des roues du train cadençant sur les rails se faisaient entendre.
Il traversa la cabine et tira les rideaux de fenêtre et contre toute attente se rassis en face de moi.

trains14.jpgIl posa ses deux mains , cette fois ci sur mes cuisses, les écarta, et se mettant a genoux devant moi resta un instant comme cela, le visage tout prés de mon sexe mouillé de désir.
C’est a cet instant que je sus que mon corps pourrait facilement succomber à l’assaut d’un sexe d’homme, tant j’en avais l’envie incontrôlée.

Sa main caressa l'intérieur de mes cuisses, m'électrisant davantage.
D’un geste à la fois précis et puissant, il ôta ma culotte, me soulevant légèrement, puis la mis dans sa poche.

J’étais là, sexe offert, tandis qu’il entrepris de déboutonner son pantalon en s’approchant de moi, debout.
Mes mains s’animèrent, complétant le mouvement de façon plus fébrile, plongeant maintenant dans son vêtement, et pressées de sentir son désir à lui.
Son sexe était dur et chaud.
Je fermai ses yeux, l’enserrant de ma main tout en le dégageant, approchant mon visage, l’envie terrible de le sentir plus intimement.

De sa main, il s'insérait entre mes cuisses, les écartant d’un mouvement ferme, puis caressant mon clitoris en même temps que j’approchais ma bouche de l’extrémité de son sexe mis a nu sur lequel je passais maintenant mes lèvres tout du long, en ressentant à la fois le contact doux en même temps que la dureté.

Mes reins se cambrèrent lorsqu’il fit pénétrer son doigt en moi. Il le fit sans brutalité, me faisant sentir le glissement, l’intime caresse que mon corps attendait.
Ma langue remplaçait maintenant mes lèvres le long de son sexe tendu, et s’enroulait autour de son extrémité, avant de l’introduire dans ma bouche, lui laissant échapper un léger gémissement.
La fermeté de son membre montrait en lui un désir fou qui n’avait d’égal que mon envie d'être pénétrée de ce sexe tellement chaud, tellement dur sous ma langue, le faisant coulisser entre les lèvres, les pinçant légèrement, tandis que mes mains lui caressaient l’intérieur des cuisses, remontant a la base de sa verge tendue a l'extrême.

La caresse de ses doigts ne s'arrêtait pas, troublant le peu de concentration que j’avais à m’appliquer a cette fellation à la sensation puissante.
Le vide au creux de mon ventre me déclenchait presqu’une douleur, demandant à être comblé, et je le lui fit comprendre, reculant ma tète et ôtant sa main de mes cuisses.

Je me déplaçai un peu, me levai et me penchai sur la banquette en face de moi, me cambrant et lui présentant un sexe luisant, n’en pouvant plus d’attendre, je fermai les yeux.
Je sentis ses mains remonter ma jupe complètement tandis que du pied il écarta une de mes jambes, puis je senti l’approche de son gland contre ma vulve.
Je tentai de me reculer, voulant provoquer cette pénétration qui tardait. Je compris qu’il s'était saisi de son sexe , et le frottait contre l’entrée de mon vagin, étalant ma cyprine, se frottant sur mon clitoris innervé de désir.
Je reculais mes hanches, j’avais besoin de lui en moi, le désir était fort, ce besoin puissant, j’avais mal de ce vide au fond de moi, l’entre jambe mouillé comme jamais.

Il entra en moi d’un coup.
D’un coup je senti son sexe chaud et dur, me pénétrer jusqu’a la garde et rester ainsi 4 ou 5 secondes, comme planté, sans bouger, ses mains faisant doucement osciller mon corps, ce geste accentuant le contact de lui a l’intérieur de moi, puis il se retira un peu et se réintroduit avec la même puissance.
Je le sentais bien, et ses mouvement tout d’abord lents déclenchaient en moi des spasmes de désir, le ventre en feu et mon corps entier a sa merçi.

Ses mouvements devinrent plus rapide, et j’aimais la sensation du mouvement de son sexe fort qui coulissait en moi, me comblant a chaque fois de sa chaude fermeté

Je senti alors quelque chose venir, comme une tension qui se rappelle a mes sens, comme une série de spasmes, ou quelque chose comme ça, un orgasme qui ne fut pas ponctuel, mais qui dura, me laissant cette impression de parfait irréel, alors que je goûtais encore ce sexe, qui en même temps qu'il effectuait ses va et vient incessants me transmettait la cadence de ses tensions incontrôlées.

Ses va et vient s'accéléraient et je sentais aussi qu’ils se faisaient plus courts, puis il y eut ce mouvement de lui qui s'enfonçait plus vivement encore mais ne se retira pas cette fois ci.
Je le sentis jouir en moi, me transmettant toute la chaleur du plaisir qu'il venait de déposer au fond de mon corps .

Un brusque état de faiblesse m'envahit, mon corps entier venait de n’être que plaisir, au delà de tout, un plaisir extrême à l’orgasme abouti, sans faille et parfait.

Je sentis mon amant se retirer doucement tandis que je me laissai glisser sur le coté, les jambes incapables de supporter mon corps, anesthésié et figé dans un espace intemporel et indéfinissable.
Je sentis des bras puissants m’étendre sur la banquette, me couvrant d’une couverture, des doigts me caressant le visage, arrangeants mes cheveux.
C’est ainsi que je sombrai dans un sommeil profond, fait d’une sorte d’extase, aboutissement du désir, accomplissement de volupté.



Ryan   -  (Cliquer sur la Signature pour lui écrire)

Note de l'auteur :

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Publié dans : Histoires Érotique Soft
Jeudi 21 janvier 4 21 /01 /Jan 14:04

Commentez ! Première Publication sur http://meganeryan.unblog.fr  le 3 Avril 2008 -  


Je me rappelle bien de cette soirée ou nous avions invité un couple de nos

amis dont l’origine de nos contacts remonte aux années-collège.

La soirée s’était passée de façon très agréable, et l’alcool aidant, nous nous retrouvions après le dîner, au salon, plus ou moins affalés les uns les autres à discuter de nos anciens camarades d’école et autres copains de classe.

 

Nous voilà donc tous les quatre a parler de cette fameuse année du Bac, lorsque je ne sais trop comment, entre Ryan et moi monta un désaccord justement sur l’année en question, où lui dit qu’il s’agissait de 1989 et que moi j’affirme sous le regard amusé de nos amis que non pas du tout, et qu’il s’agit bien de 1990 ! Les effets du vin me donnaient de l’assurance, et je n’en démordais pas, jusqu’à lancer “ Je veux bien danser a poil sur la table devant vous tous, si tu me prouves que notre Bac, c’était en 89 ! “ J’ étais sûre, et assez fière de moi sur ce coup là, car connaissant mon homme, je savais qu’il n’avait aucune mémoire des dates.

Il n’y avait donc aucun risques que je finisse a poil, debout sur une table, a danser… ça ce serait n’importe quoi !
Ryan ne démordait pourtant pas de l’année 1989 paraissant anormalement sûr de lui, et j’avoue qu’au bout d’un moment , les sourires discrets de nos amis, qui commençaient à ne pas être discrets du tout, finissaient par m’énerver un peu.
Le ton calme que prenait Ryan ne me disait rien qui vaille non plus, et le temps passant je commençais a perdre de ma superbe.
En plus, il commençait à me parler de la Chèvre de Mr Seguin qui était trop sûre d’elle et que si je continuais a m'entêter, au petit matin le loup me mangerait, et cet humour là ne me plaisait pas du tout.

C’est à ce moment là que Valérie se leva et clama qu’elle allait mettre tout le monde d’accord parce que elle, elle détenait la vérité ! puis elle se dirigea vers la tablette où était posé son sac à main.
Valérie était une jolie femme brune aux yeux bleus de taille moyenne, elle avait une plastique parfaite pour son âge, ce qui faisait rager bon nombre de femmes de notre entourage y compris moi.
Le fait qu’elle ait ôté ses chaussures lui donnait une démarche souple, et sa robe légèrement transparente montrait bien la finesse du fil de son string.
Je la regardai promener son mètre soixante cinq jusqu’à l’entrée pour sortir de son sac le document qui tue…
Ryan trouvait cette femme sans saveur, sans odeur ni couleur, et l’expression qu’il prenait quand il la regardait avait le don de me faire rire, d’habitude… mais pas forcément ce soir là.

Un ange passa, lourd et pesant, laissant à Ryan le temps de se lever, et de mettre un fond musical en disant que pour un strip-tease, il fallait absolument l’ambiance adéquate… ! Celui là il commençait vraiment à m'énerver grave, et chèvre ou pas chèvre, je lui aurai bien donné deux ou trois coups de corne sur le champs, à ce Mr Seguin là.
Le silence assourdissant du mari de Valérie commençait à me rendre moins sûre de moi, surtout qu’à l’air de Merlan frit qu’il prenait tout en ayant le même sourire que le camembert que j’avais en ce moment même au fond du frigo, je voyais bien que le vent tournait en ma défaveur.

Valérie revint, une photo à la main, qu’elle posa sur la table du salon, repoussant les verres d’un revers de main.
On pouvait clairement y voir notre bande de joyeux lurons le soir de la remise des diplômes, les regards éméchés, et les mouvements incertains qui montraient bien que la Tequila avait fait bien des ravages à ce stade de la soirée.

Nous sourirent en revoyant ce petit monde, ce qui ne m'empêcha pas de m’exclamer “Et alors, ça prouve quoi ? “
Valérie me dit qu’il y avait une date derrière…
La retournant je pu y lire, écrit d’une écriture d’écolière studieuse “1989”.
Je tempêtais ! : C’est une erreur , tu t’es trompée ! Je savais qu’il ne fallait absolument pas compter sur le soutien du camembert souriant, et encore moins du monsieur Seguin mort de rire au fond de son fauteuil.

Le mari de Valérie s’était saisi de la photo et l’air pensif mais toujours souriant, dit doucement “Vous avez une loupe, dans cette maison ? “
Ne voyant pas très bien le rapport, je lui dit de tendre le bras jusqu’ à ce tiroir ou était justement cet accessoire dont se servait souvent Ryan.

Il s’en empara et après examen de la photo il explosa de rire en me disant qu’il était très content de cette soirée avec nous.
Là, je fus carrément inquiète et me rapprocha de lui.
Il me montra le calendrier accroché au mur de notre chambre d’étudiant de l’époque, arborant un fier “1989”…

Jamais je ne trouvai une année aussi déprimante que celle de 1989, et un immense moment de grande solitude s’empara de moi…
J’avais sur moi maintenant, posés trois paires d’yeux rayonnant et malicieux dont les regards lubriques montraient bien que je n’avais désormais aucune chance de me sortir de ce guet-apen.

Bon. Je n’étais pas non plus fille à me dégonfler.
Donc, changement d’ambiance, et À coeur perdu, rien d’impossible, ou quelque chose de ce genre là. De toutes façon peu importait à ce stade que la citation fut exacte, je sus qu’il fallait que j’aille au bout de ma provocation, après tout c’est bien moi qui avais lancé ce défi.

C’est donc en ondulant doucement que je débarrassa la table carrée et basse du salon, enlevant en dansant tout ce qui pouvait s’y trouver.
Je claquai des doigts vers Ryan afin qu’il abaisse la lumière jusqu’à ne laisser que nos deux petites lampes allumées, puis j’ôtai moi aussi mes chaussures.
La musique était lascive a souhait, et Ryan me tendit un verre de vin en guise d’encouragement.
Je le but lentement, tout en dégrafant un bouton du bas de mon chemisier blanc.
Fermant les yeux , et d’un mouvement des hanches je montai sur la table tout en dansant en rythme lent sur cette musique tout a fait adéquate que Ryan avait lancée voilà quelques minutes.
Je passais le revers de mes mains tout au long de mon corps depuis mes hanches jusqu’à mon ventre, remontant ensuite a l’entour de chacun de mes seins, sur lesquels je m’attardais, les laissant poursuivre leur chemin en une véritable caresse sur le haut de ma poitrine.

Je continuais a onduler ainsi, et ma jupe noire et courte aidant, je m'accroupis légèrement tout en dansant et en faisant couler mes mains a plat sur l’intérieur de mes cuisses, depuis mes genoux jusqu’au haut de celles ci .
Les yeux fermés jusque là, je les entrouvris pour voir un peu l’effet produit, et je vis que l'intérêt de mon public n’était pas feint du tout.
L’ambiance avait changé du tout au tout.

Valérie s’était accroupie au pied de la table, à un peu moins d’un mètre.
Sylvio, lui, s’était un peu relevé de son fauteuil, juste avancé un peu le buste.
Seul Ryan me regardait de loin, me caressant du regard, depuis le bas de mon corps jusqu'à mes yeux entrouverts.

Je savais la force de l’observation du détail que possédait Ryan, et le fait qu’il m’observe ainsi avait pour effet de m'électriser légèrement.
Je lui souris tout en continuant ma danse et en ôtant le deuxième bouton de mon chemisier.
Mon regard a ce moment balaya dans la pénombre créée le sol ou se trouvait Valérie.
Elle était assise, les jambes croisées, sa robe remontée très haut montrait maintenant le devant de ce string que j'avais décelé quand elle s'était levée tout a l'heure; ses mains fines et longues étaient posées sur ses chevilles, et elle me regardait un très léger sourire au coin de ses lèvres.
De là ou elle était placée elle pouvait voir le haut de mes cuisses jusqu'à ma culotte blanche dont le détail de la fine dentelle ne pouvait être vu dans la pénombre.

Je défis le troisième des quatre boutons de ce chemisier, lui laissant apparaître le bas de mes seins qui ce soir là avaient oublié de se munir d'un soutien gorges.
Le regard de Sylvio prit une allure fixe a ce moment, et je senti que l'ambiance de mon salon n'était plus vraiment au ludique maintenant.

Les mouvement ondulés de mon corps auxquels s'ajoutaient les caresses de mes mains me mettaient moi même dans une sorte de transe dans laquelle l'alcool me chavirait un peu. Je ressenti une atmosphère agréable, et me disais que je pourrais continuer a danser ainsi sans que jamais cela ne s'arrête.

Etre ainsi l'objet de tous les regards animait mes sens plus que je ne l'aurais cru, le contact de mes propres mains sur moi ne devenait plus innocent. Le passage de mes doigts sur le bas de mon ventre, remontant vers ma poitrine a demi nue maintenant, ne se protégeant des regards que d'un seul bouton avait pour effet de m'exciter doucement, de manière très insidieuse.

Mon regard balaya a nouveau le sol et distingua les chevilles nues de Valérie, sur lesquelles seule une main était restée.
Je vis clairement que sa main droite était sur le haut de sa cuisse qui m'apparaissait, elle bougeait lentement, se rapprochant de son entrejambe.
Les yeux à demi fermés dans cette pénombre, seule moi savais que j’avais le regard fixé sur ce mouvement de sa main, le reste de mon corps ondulant au rythme lent de la musique
Cette danse était pour moi devenue une transe, et c’est lentement que mes mains se posèrent sur mes cuisses, se déplaçant vers leur intérieur, puis remontèrent vers mon basin, relevant ma jupe noire en dévoilant le contraste de ma culotte blanche un instant.

Mes mains ne s'arrêtèrent pas, poursuivant leur lent chemin jusqu’au haut de mon chemisier, dégrafant le dernier bouton, et libérant ainsi ma poitrine.
Cette ambiance avait attisé mes sens, et les pointes fermes de mes seins étaient comme une sorte de provocation aux regards sans mouvement de mon public restreint.
Je plaçai mes mains au dessous de ma poitrine, la soulevant légèrement, puis caressant leurs pointes du bout de mes doigts en un geste empreint de volupté.

Valérie bougeait lentement son bassin, maintenant. Je pouvais voir clairement sa main posée entre ses cuisses fuselées et ses doigts qui s’appuyaient sur le devant de son string, sans bouger vraiment, comme apposant une légère pression, simplement.

La position de sa main sur son intimité et l’idée que mon corps pouvait l’exciter produit un effet secondaire sur moi, et je senti curieusement ma tension monter d’un cran.

Je tournai le dos a mon petit groupe, et donnai à mes gestes un mouvement fait de larges arabesques se terminant sur mon buste et libérant mon chemisier que je laissai négligemment tomber au sol.

Le buste maintenant parfaitement nu, ne cessant de me caresser et les yeux mi clos, mon imaginaire m’emporta complètement, et c’est sans vraiment m’en rendre compte que je déboutonnai le haut de ma jupe pour la faire glisser très lentement à mes chevilles.

Lorsque je me retournai d’une oscillation, je pus voir, en présentant mon corps presque nu aux regards de mon public qu’une certaine tension flottait.

Ryan, impassible était littéralement en admiration, l’attitude empreinte de sérénité, une lueur de fierté montrée par son port de tête malgré son attitude détendue.
Sylvio s’était approché un peu , les mains jointe et très attentif au détail de mes courbes, tandis que Valérie se caressait doucement, la tête inclinée.

J’esquissai alors un geste de mes deux mains qui s’accrochant a ma culotte, commença à la faire descendre de ma taille, dégageant totalement mes fesses et mon pubis, mais restant à danser comme cela quelques minutes, faisant s’étirer le temps et croire que j’allais ôter ce qui me restait d’habit. Puis me ravisant, je la remis à sa place, jouissant de la déception de mon public.

Je fis un geste complice a Ryan, lui réclamant un autre verre qu’il me servit de la main gauche, mettant son autre main sans ambages sur mon sexe, passant ses doigts entre le haut de me cuisses.

Cela irradia d’un coup mon bas ventre déclenchant une vague de désir.
Il se rassit paisiblement tandis que je buvais ce si bon vin frais qui me chavirait peu a peu.
Cela dura un moment, et je sentais l’ambiance changer au fil de mes mouvements lascifs, chargée d’érotisme
Tout en dansant, je tendis a Valérie mon verre vide.
Elle mit quelques secondes a réagir, alors, dansant toujours, je m'accroupis jusqu'à poser mes genoux au contact de la table, le bras tendu. Elle me le prit des mains, le regard vide, un sourire aux lèvres, que je ne lui connaissais pas.

Je renversai mon corps en arrière, écartant les cuisses fasse à elle, tout en donnant a mes hanches une ondulation très suggestive.
Elle n’y tint plus.
Sans relever la tête , je sentis ses deux mains sur le dessus de mes cuisses, posées , sans bouger. Elle s’était relevée, s’approchait de moi.
Je relevai doucement mon buste, entrouvrant les yeux pour voir Sylvio qui abaissait la fermeture éclair au dos de sa robe.
Valérie me caressait l’intérieur des cuisses, juste du bout de ses doigts. C’était tout léger. Sylvio, après avoir ouvert complètement le dos de sa robe, avait introduit ses deux mains vers le devant de son corps et devait lui caresser les seins.

Ryan de son coté, complètement affalé sur le canapé ne regardait que moi, une main sur son entrejambe, qu’il bougeait très doucement.
Sylvio continuait de caresser les seins de Valérie en se collant a elle, de derrière, me regardant de très près lui aussi, cuisses écartées fasse a eux.
Lorsqu’ elle fit glisser ses mains a l’intérieur de mes cuisses, je me levai, toujours en dansant, la laissant les mains vides.

Je la vis se défaire tendrement des mains de Sylvio en se levant elle aussi, faisant alors tomber sa petite robe sur le sol, elle se retrouve en un simple geste presque nue, simplement couverte de ce string que j’avais remarqué depuis le début de la soirée.

Elle me rejoignit sur la table, puis ondulant en parfaite synchro avec moi, nos corps se touchèrent, ou plutôt non…s’aidant de son bras qu’elle avait passé autour de la taille, elle se colla à moi, plaçant le haut de sa jambe droite entre les miennes, elle m’attira contre elle doucement tout en dansant.

Le bas de mon corps s’appuyait maintenant complètement sur le le sien, et le haut de sa cuisse, au rythme lancinant de la musique, caressait littéralement mon sexe au travers du tissu léger de ma culotte.


Je collai ma poitrine à la sienne, me laissant envahir par le parfum de son corps que je ne connaissais pas, glissai ma main sur ses reins, palpant du bout des doigts le haut de ses fesses fermes, alors qu’elle se saisit de ma culotte, comme furieuse qu’elle existe encore, la tirant a elle , simulant le fait de l’arracher.
Cela pressa le tissu contre ma vulve, entrainant un léger coup de reins de ma part pas tout a fait contrôlé.

Je me laissai tomber très doucement à ses pieds, parcourant ainsi de mes lèvres tout un chemin, celui du haut de sa poitrine, de la pointe d’un sein durcie sur laquelle je ne m’attardai pas, de son ventre qui ondulait, du haut de sa cuisse, puis, comme un peu fatiguée, je m’assis simplement sur la table, la voyant à son tour danser au dessus de moi.

Je m’allongeai cette fois ci, en parfaite diagonale de la table, glissant mon corps entre ses jambes, regardant le mouvement du haut de ses cuisses depuis le bas, quelques secondes seulement, car elle aussi descendit son corps.
S’asseyant a moitié sur le mien, elle se pencha vers moi et me couvrant le visage de ses cheveux, je sentis les pointes de nos seins s’effleurer car elle bougeait son corps sur le mien sans s’y appuyer, nos seins se frottant les uns aux autres.

Puis elle se recula, mettant ses mains d’abord sur ma poitrine nue, et faisant glisser ses doigts sur mes flancs lentement, jusqu’à s’accrocher à ma culotte, et l’abaissant, m’incitant à relever mon bassin, ce que je fis.
Elle l’ôta alors complètement d’un trait, me laissant totalement nue, en diagonale de cette table, la tête un peu légère de cet alcool qui me troublait, les jambes de part et d’autre du coin de cette table. Offerte.
Je sentais qu’il ne s’agissait plus d’un strip-tease, et je ne comptais pas me relever de suite.

Mon corps était excité de cette ambiance, de ces attouchements, de cette musique, et du contact du corps de Valérie. Je ne savais pas exactement de quoi j’avais besoin en cet instant, mais je me sentais, me voulais donnée comme un cadeau , me ressentais en attente.

Plein d’idées follement érotiques me traversèrent, me voyant nue, debout, sentant entre mes doigts un sexe d’homme très dur, ma main se déplaçant entre mes jambes voulant sentir le haut de mon clitoris devenu ferme lui aussi, tandis que ma bouche s'humidifia du désir de ressentir Ryan sous ma langue. Cela n’était pas la réalité, comme un songe, mais à la fois un besoin réel, bien plus qu’une envieUn sursaut de ce qui restait de volonté me fit vouloir rester encore en conscience avec la réalité, et je me relevai le haut du corps, m’asseyant sur le bord de la table .Ryan et Silvio s’étaient déshabillés, eux aussi, et Valérie qui finissait de lui enlever le slip se retourna vers moi, s’accroupissant et se rapprochant de mon entrejambe. Son visage, ses cheveux, si près de moi, m'enflammèrent le bas du ventre, je me cambrai et écarta mes cuisses davantage, m’offrant à sa bouche, désirant ses lèvres, réclamant sa langue.

Elle le comprit, et appliqua son visage très doucement entre mes cuisses ouvertes. Son parfum, le contact de sa tête sur mon ventre, sa bouche sur mon sexe me fit comme une déflagration qui fit plus que me rendre humide.

Valérie posa sa langue sur le haut de mon clitoris, puis sans la bouger vraiment , la fit descendre doucement vers son bout tendu.

Mon corps était maintenant arqué, tandis qu’elle m’appliquai une indescriptible caresse de sa bouche, tantôt d’une langue vive sur mon sexe mouillé, tantôt enserrant mon clitoris entre ses lèvres, faisant bouger son visage de gauche a droite doucement.

Ses lèvres me délaissèrent un instant, sa langue longeant l’intérieur de mes cuisses, laissant le bas de mon ventre irradié de désir.

C’est sans doute là que mes mains se mirent en mouvement, plongeant les doigts dans ses cheveux, murmurant un “encore” dont je ne sais s’il était perceptible.

Du bout des lèvres d’abord, sa bouche s’empara alors de mon clitoris , puis je senti sa langue, très vive… qui se plaça là où étaient mes doigts dans mon songe d’il y a quelques minutes, pour y faire le même mouvement, tandis que malgré moi je replaçais ma main sur mon sexe , sentant tour a tour mon clitoris et sa langue qui me pénétra légèrement, mes doigts la suivant dans ce chemin voluptueux.
Je ne savais plus si c’était mes doigts ou sa langue qui s’activaient en moi maintenant.

Ces quelques minutes qui se passèrent ainsi, sous le regard des autres , achevèrent de me troubler encore davantage, les yeux fermés, jusqu'à ce que je sente la main de Ryan sur l’intérieur de ma cuisse droite, en même temps qu’une autre main se plaçait au même endroit sur mon autre cuisse, me caressant alors doucement, remontant vers le haut de mon corps.

Valérie se recula, laissant la place à Ryan qui s’approcha de moi, debout.

À hauteur de mon visage se tenait son sexe en érection, se dressant tout près de mon visage. J’achevai de le mettre a nu, tandis qu’il recula , lui aussi sans que je ne sus pourquoi.
Sans doute voulait-il connaître ainsi mon degré d’excitation, savoir si je le suivrai sur cette courte distance , ou si j’étais encore capable d’attente.
Le contact du sexe de mon homme me rendit folle d’envie, et je ne lachai pas ce membre devenu dur du désir de moi.
Cette chaleur qui irradiait ma main, ce besoin de le mettre dans ma bouche, cette envie de le caresser de ma langue, étaient si fort, si impérieux que c’en était insupportable.



J’avançai mon corps, descendant de la table qui m’avait soutenue jusque là, et sans attente englouti le sexe de Ryan en m’accroupissant devant lui, sentant mon sexe ouvert, mouillé sous mes doigts qui le caressaient, s’introduisant au rythme de la fellation que je faisais en cet instant.Ryan me prit la tête entre les mains et se déplaça en arrière, sans que mes mouvement ne s'arrêtent, il s’assit sur le canapé.
Je pensai un instant que Valérie et Silvio devaient aussi s’adresser quelques tendres échanges, et jetai un rapide regard sur ce qui m’entourai.


Valérie était assise sur le fauteuil, regardant la scène que Ryan et moi formions. Elle se caressait, fermant parfois les yeux, tandis que Silvio était tout près de moi.
C’est sans y penser vraiment que je tendis la main vers lui, me saisissant de son sexe tendu.

Il gémit de plaisir en se rapprochant encore. Je serrai ma main gauche sur lui tandis que je me concentrai sur Ryan qui se laissait aller à ce plaisir offert sans se douter que je ressentais moi même d’indescriptibles sensations au contact de son membre entre mes lèvres, longeant cette virilité de ma langue, le parcourant sans cesse, l’introduisant a nouveau dans ma bouche d’un mouvement de va et vient dont la cadence variait au gré de mon désir. 


Silvio se déplaca a ma droite, passant sa main sur mes reins, puis sur mon flanc, comme un appel qui me fit me relever un instant.


Je plaçai ma main sur le bas de son ventre, la laissant doucement tomber sur son sexe, puis finalement l’enserrant de mes deux mains, tandis que je sentis Ryan glisser une main entre mes cuisses.Il s’était levé du canapé et de ses main fermes m’écartait littéralement et m’ouvrant à la perverse caresse de ses doigts tandis que je ne cessais de toucher Silvio.

Ce dernier s’assit a son tour sur le canapé, et je pris son sexe dans ma bouche en même temps que Ryan positionnait mon corps selon son désir.
Mes reins se cambrèrent lorsqu’a nouveau sa main circula sur l’intérieur de ma cuisse du bas vers le haut.
Je crois que mon corps n’en pouvait plus d’attendre, et Ryan le savait. Je savais le façon dont il allait me prendre.

Il positionna son sexe précisément contre mon sexe mouillé de désir, me caressa un moment comme cela, mes reins malgré moi se reculant vers lui jusqu'à sentir son gland , me pénétrant très légèrement sans encore s’enfoncer en moi, me faisant gémir malgré moi.

Puis il me pénétra d’un coup, me faisant relever la tête en poussant un cri de plaisir, de désir de cela, de cette sensation de la première pénétration après une longue attente, avant de sentir son sexe chaud coulisser en moi de ses va et viens d’abord lents, générant des vagues de volupté d’une indescriptible force.


J’entendais Valérie qui depuis un moment maintenant se caressait en gémissant de manière de plus en plus régulière, je savais ainsi que ses mouvement sur elle s’étaient accordés au rythme des reins de Ryan qui dans ses mouvements faisait glisser mes lèvres sur le sexe de Silvio que je sentais approcher du plaisir extrême.

Ryan avait pris une cadence régulière, et la pénétration qu’il m’infligeait m’amenait au bord de l’orgasme, ce qui rendait ma fellation très irrégulière, tant les vagues de plaisir qui me parcouraient devenais fortes.
Puis je sentis le plaisir de Silvio monter sous mes mains, il se tendit en jouissant bruyamment dans un râle de plaisir tandis que son sperme chaud coula sous mes doigts. Je vis cela se faire sans vraiment le vivre tant mon corps était maintenant sous l’entière dépendance de Ryan qui rendait son rythme plus rapide ou ralentissait , selon qu’il sentait mon plaisir monter, et voulant visiblement faire durer cet ébat.

Silvio s’écarta un peu, laissant ma tête se poser sur le canapé tandis que je m’agrippait a un coussin. Les sensations étaient devenues fortes et Ryan savait jouer de cette limite jamais atteinte ou il m’emmenait, puis me ramenait. Il me surprit en se retirant doucement pour s'asseoir sur le canapé. Je n’y tenais plus, et c’est sans attendre que je me retournai a mon tour, le regardant tenir son sexe entre ses doigts.


J’avancai vers lui en écartant les jambes, puis, lui posant les mains sur les épaules, je m’empalai sur son sexe dressé, décidée cette fois à imposer ma cadence.
L'érection de Ryan était forte, et je sentais la chaleur de ce membre en moi , comme un doux pieux me pénétrant a chacun de mes mouvements que je commandais.

Valérie s’approcha de nous par derrière moi et pendant que je donnais a mon corps ce mouvement montant et descendant, elle passait son doigt sur l’entour de mon sexe ruisselant maintenant, m’électrisant à chacun des passages de sa main.
Elle faisait cela en alternant le fait de prendre le sexe de Ryan a pleine main, le faisant bouger latéralement puis dans un léger mouvement circulaire qui s’ajoutait au contact du va et viens en moi.
Je sentais l’orgasme monter, mon ventre se durcir, les vagues de spasme se faire sentir jusqu’à m’envahir complètement et se saisir de mon corps, libérant des ondes de chaleur dans le bas de mon ventre en même temps que je sentis le plaisir de Ryan s’étendre au fond de moi, ajoutant à mon extase sous l’effet d’un plaisir extrême .

Les mains de Valérie caressant mes flancs me parurent d’une extrême douceur alors que je m’affalais sur le torse de mon homme avec cette impression de totale destruction mélangée d’épuisement.
Je ressentais toujours le sexe de Ryan, encore ferme en moi et prolongeant ce plaisir indéfinissable.
La musique était toujours là, et j’en fut surprise, ayant eu l’impression qu’elle s’était arrêtée tout ce temps.
Brouillage total de mes sens, rupture de l’espace et du temps, c’est telle une feuille morte que je m’oubliai dans les bras de l’homme que j’aime.
J'eus aussi la pensée qu’il fallait se méfier de certains strip tease, et que lancer des défis pouvait avoir du bon.



Ryan   -  (Cliquer sur la Signature pour lui écrire)

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Publié dans : Histoires Érotique Soft
Jeudi 21 janvier 4 21 /01 /Jan 13:53
Première Publication sur  http://meganeryan.unblog.fr le 19 Mars 2008 -  

Commentez !Ce soir là Ryan rentra
plus tôt que d’habitude.
Infiniment heureuse de cela, j'accueillis mon homme comme il se doit.

Sur la pointe de mes pieds nus et pendue a son cou, c’est d’un long baiser que notre premier contact de la journée se fit, depuis son départ du matin.

Il m'annonça la visite en soirée d’un ami qu’il avait plaisir a me présenter, ami de passage pour quelques jours dans la région.

Nous en parlâmes assez longtemps et le projet de dîner ensembles se dessinait donc simplement.

Le dîner serait simple, l'intérêt de la soirée se résumant plus aux retrouvailles qu'à un grand repas, et je m’en réjouissais.
Harold arriva donc vers 20 h, armé de la classique bonne bouteille de vin, ce qui me ravissait, car j’aimais cette gourmandise là, lorsque dans l’intimité elle me faisait très légèrement tourner la tête.

De plus , Harold était a la fois sympathique, avait de l’humour , et était fort bel homme , avouons le.

Les heures qui s'en suivirent furent très agréables, faites de bons mots, de rires, de bonne ambiance, et oserais-je le dire, franchement arrosée de quelques verres de ce bon vin.

Mes jambes croisées et mes pieds nus attiraient parfois le regard de Harold et je m'en amusais le vin aidant. C'était un jeu dont les effets produits étaient a double sens : Alors qu'apparemment cela pouvait plutôt exciter celui qui regarde, cela avait aussi sur moi cette sensation parfois presque du touché, que de savoir le regard intéressé d'un homme caressant des yeux mon anatomie.

Il devenait donc intéressant de décroiser mes jambes ou de les allonger au hasard d'une phrase, puis de les recroiser en des mouvements lents, laissant apparaître parfois mon entrejambe, plus ou moins haut, selon mon envie.

Je me rendis compte au fil de la soirée que le simple fait de poser ma main sur ma cuisse arrivait à troubler Harold, se manifestant par un léger bégaiement, ou une maladresse, un verre qui en touche un autre…

Le radar sensuel de Ryan détecta cette ambiance dont je savais qu'il se délectait, et le sourire qu'il m'adressait en signe de complicité me détendait davantage..

À un moment de la soirée, revenant d'un de mes allers retours a la cuisine, je m'approchai de Ryan et restait un instant debout près de lui, le verre à la main, écoutant distraitement les voix de ces hommes plus que le détail de ce qu'ils disaient compte tenu de la légère brume parfumée de vin qui commençait a m'envahir sérieusement. C'est à ce moment, que assis, il déposa négligemment sa main sur mon pied, et que du revers de celle ci, il la fit remonter doucement.

C'était agréable a l'infini, cette douceur de contact. Ryan faisait cela tout en parlant, n'interrompant en rien l'échange visuel et auditif avec Harold. Sa main remonta lentement d'un mouvement qui se prolongeait maintenant sur ma jambe. il ne s'arrêtait pas, et je fermai les yeux en bougeant un peu.

Je crois que c'est lorsque sa main atteignit l'intérieur de ma cuisse qu'un petit cri m'échappa.

Cela interrompit leur conversation , et c'est avec un peu de rouge aux joues que je répondis que “rien, tout va bien”, lorsque Ryan me demanda si quelque chose n'allait pas.

La caresse de Ryan ne s'arrêta pas, bien au contraire. Tout en continuant sa conversation avec un Harold qui s'exprimait de moine en moins, Ryan atteignit le haut de mon entrejambe, et je vis a son temps d'arrêt dans ses phrases que c'est lui qui fut surpris de constater du bout des doigts que j'étais un peu plus qu'humide.

Je me dandinais en oscillant d'un coté à l'autre, tout en laissant les doigts de Ryan commettre leur oeuvre . Dieu qu'il était pervers, ce garçon… la mains placée sous ma robe, invisible de l'extérieur, ses doigts légèrement actifs, passant doucement sur mon clitoris, me laissant croire a tous moments qu'ils puissent s'insérer en moi, le désirant un peu, mes jambes se serrèrent. en même temps que je me pinçai les lèvres, provoquant le regard de Harold, qui détaillait maintenant mon corps de bas en haut, en s'arrêtant sur mes seins dont il est vrai que les bouts pointaient maintenant au travers de ma robe..

Ryan dut répéter sa phrase me demandant de prendre une autre bouteille à la cuisine, car plus rien n'arrivait à mon cerveau. C'est plutôt le fait qu'il retire sa main qui me ramena a la réalité plus que sa demande en elle - même.

C'est donc dans une sorte d'état second que, d'un pas non alerte du tout, je ramenai cette autre bouteille. Mais cette fois je ne me sentis pas la force de rester debout, et je choisis de me mettre sur le canapé, à demi allongée aux coté de Ryan placé a ma gauche, tandis que Harold sur le fauteuil à ma droite commençait lui aussi a se dandiner un peu nerveusement , comme cherchant a trouver une position, ou peut être à masquer ce début d'érection sans nul doute provoquée par la petite séance de Ryan tout a l'heure.

Je m'allongeai a moitié, la tête placée sur l'accoudoir et mes cheveux effleurant la main gauche de Harold assis sur le fauteuil a ma droite.

Profitant d'un léger mouvement de Ryan qui servait a boire a son ami, j'allongeai mes jambes derrière lui, et c'est avec un naturel sans pareil qu'il reposa sa main sur ma jambe, la faisant remonter lentement sans jamais arrêter sa conversation.

Ma position était devenue stratégique car m'aidant du miroir en face de moi , j'avais vue sur Harold, qui cachait mal son…érection maintenant bien visible par le renflement de son pantalon.

Le contact des doigts de Ryan sur moi avaient cet effet que je connaissais bien , qui commençait a me créer cette petite douleur venant du fond de mon ventre. C'est a ce moment que je préférai m'abandonner en fermant les yeux à cette douce caresse, tournant la tete vers le dossier du canapé.

L'indécence de la situation m'excitait terriblement, la main de Ryan remontant sous ma robe sur l'intérieur de mes cuisses. Je relevai mon genou gauche, lui ouvrant la voie vers mon intimité faite maintenant d'une humidité qui ne se cachait plus. Il caressait doucement mon clitoris devenu dur, ses doigts descendant un peu s'insérèrent lentement en moi, faisant mes reins se cambrer sans que je ne puisse vraiment rien commander.

Il commençait a effectuer un va et vient lent et doux, déclenchant au creux de mon ventre des tourbillons indescriptibles. Je quittai alors ce monde des mortels pour aller vers ce je ne sais quoi de cotonneux, avec cette douce impression de lévitation sans plus aucun contact avec la réalité.

Ainsi ne réalisai-je pas que la lumière forte de la pièce fut éteinte laissant place a la pénombre créée par cette petite lampe de salon, ni même que le silence s'instaura, remplaçant les voix dont je ne comprenais plus le sens depuis longtemps.

Tout juste avais-je conscience que les boutons de ma robe étaient enlevés un a un, dégageant ma poitrine peu a peu, mais gardant encore cachés le bout de mes seins devenus durs.

Ryan plaça sa main gauche sur le bas de mon ventre, le pressant légèrement, en parfait rythme avec les pénétrations de ses doigts, à la fois profondes, lentes et douces. Il faisait cela en plaçant son pouce sur mon clitoris, qu'il massait en même temps, et j'avais peine à contrôler l'avancée de spasmes dont l'arrivée se sentait proche.

Une main se plaça sur le haut de mes seins, les caressant doucement, des doigts passant avec délicatesse sur leur bout, les enserrant parfois. Je souris a la pensée que Ryan n'avait que deux mains, et que cette troisième main là devenait identifiable. À la fois hésitante et ferme, cette caresse sur mes seins à laquelle s'ajoutait celle de Ryan m'amenait aux limites de ce que mon corps pouvait admettre. je voulais cependant que cela dure, car c'était terriblement bon.

Je déplaçai ma main qui souhaitait alors sentir le corps de mon homme, elle rencontra le haut du pantalon de Ryan qui fut vivement défait, libérant son sexe que ma main enferma, le serrant pour en ressentir la dureté

J'avais envie de lui en moi, terriblement.

Les mains de Harold s'étaient maintenant emparées du haut de mon corps, il s'était accroupi derrière ma tête, et me caressait de ses deux mains, ses doigts allant de ma bouche qui les mouillait jusqu'a mes bouts de seins, qu'il tenait entre deux doigts, les serrant légèrement.

Ryan se leva, me faisant craindre l'arrêt de ses caresses. Dans le même mouvement il ôta ses doigts de moi, et je le senti écarter mes jambes davantage pour se placer face a moi. Il m'embrassa en même temps que je senti son sexe, posé sur mon clitoris découvert de sa main. L'envie de lui se faisait maintenant impérieuse, mon corps le réclama d'un mouvement de rein.

Il me pénétra doucement, me faisant sentir son gland qu'il faisait d'abord passer sur le bout de mon clitoris, puis cette sensation de fermeté chaude qui entra en moi et qui me fit échapper un petit cri. Je senti alors son sexe, si dur, circuler jusqu'au fond de moi qui ne savais plus ni où j'étais, ni les limites de ce qu'on pouvait avoir comme plaisir.

C'est seulement au bout de cinq ou six mouvement du bassin que Ryan me fit jouir, faisant venir du fond de mon ventres ces spasmes incontrôlables et procurant un plaisir indicible que mon corps connaissait bien , mais me faisait découvrir encore , et encore.

Il s'arrêta, me laissant pantelante, en même temps que Harold m'embrassa doucement dans le cou.

J'eus l'impression de sombrer dans un état comateux qui me rendait complètement indépendante de la réalité de ce qui se passait alors dans la pièce.

Ainsi n'ai-je pu saluer l'ami de Ryan lorsqu'il partit.


Ryan   -  (Cliquer sur la Signature pour lui écrire)

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Publié dans : Histoires Érotique Soft
Jeudi 21 janvier 4 21 /01 /Jan 13:51

Première Publication sur http://meganeryan.unblog.fr le 14 MArs 2008-  


Commentez !Voilà deja 2 heures que nous roulions ainsi , sur cette autoroute qui n’en finissait plus. Sous cette chaleur d’été engendrant une sorte de torpeur moite, le temps commençait a se faire long.

Ryan gardait le sourire, et j’aimais à penser que mon homme était celui de toutes les circonstances.Quatre ans déja que nous étions ensembles, et quatre ans que nous nous plaisions, malgré toutes les vicissitudes de la vie de tous les jours. J’aimais cet homme là et il me le rendait bien.

Nous avions curieusement établi notre relation amoureuse sur une base de sensualité, voire de sexualité omniprésente, et notre couple ne s’en portait que très bien.
Depuis toujours, avec
Ryan tout était pretexte à…
Non, pas à faire l’amour toutes les 3 minutes et demi, rien a voir, quoique… mais là

n’était pas l’essentiel. Lui et moi ensembles, c’était comme un éveil des sens permanent, d’inavouables sensations toujours à fleur de peau

Il arrivait qu’un regard de lui, qu’un léger mouvement, une attitude, un sourire parfois, arrive a m’émoustiller. C’était tres curieux et je ne m’en lassais pas.
Je découvrais depuis des années maintenant avec
Ryan que l’amour n’était pas qu’un bien être de l’âme, mais aussi une variation de tension permanente de mon corps qui ne cessait de passer de l’état de calme serein, a celui de tres legère tension des sens, puis de forte excitation, parfois insoutenable, menant a ce besoin de le sentir très fort en moi.

Avec lui a coté de moi , j’étais toujours en période de latence, malgré moi bien souvent.
Cette sorte d’attente inconsciente d’un geste de lui, d’un regard, était devenu l’essentiel de ma vie, tout le reste n’étant que plaisirs secondaires.
C’était un état inconscient, bien vécu.
La Chaleur du moment, le temps qui passait lentement, et cette langueur générée par le ronronnement du moteur m’amenaient à ces pensées , tres douces, tout en posant mon regard sur ses avant bras, me disant que j’aimais ses mains et leur pouvoir magique.

Nous ne roulions pas tres vite, mais suffisament pour rester sur la voie du milieu de cette Trois voies, doublant parfois de lents et hauts camions dans une ambiance de musique que j’aimais.
Ma robe légère arrivait à mes genoux et je sentais le tres léger courant d’air de la clim, depuis le bas de mes jambes.

Ryan aimait cette robe faite d’un coton très léger qui savait aussi mettre en valeur ma poitrine qu’il adorait.
Elle formait un décolleté qui découvrait le haut de mes seins, en dessinait la profondeur, respectant au détail près leurs courbes, rendant aux yeux les plus curieux un effet d’indescence sans pourtant qu’il n’en soit ainsi.

L’envie me vint d’intensifier cette apathie, et doucement, d’un mouvement de mes pieds, j’otai mes chaussures et remontai legèrement le bas de ma robe, me découvrant ainsi jusqu’à mi - cuisses.

Il y avait entre Ryan et moi comme des signaux d’effervescence sensuelle, aussi petite soit-elle, il les détectait.
Ce simple, imperceptible mouvement de mes pieds, nus maintenant, avait alerté son radar intime, en veille depuis le matin.

Sa main quitta le volant et pris la mienne, tendrement.
Ce geste simple me faisait toujours un curieux effet, car lorsque
Ryan vous prend la main, ce mouvement à lui seul constitue toute une opération.

Je me rappellerai toujours la première fois qu’il m’avait fait cela.
C’est une suite de gestes lents, faite de doigts qui s’approchent des votres, qui les touche d’abord, comme un contact électrique établi, tres léger, puis il place votre main paume vers le haut et ses doigts, de leur bout seulement, effleure les vôtres.
Puis doucement il place la paume de sa main au contact de la vôtre, et vous en sentez la chaleur.
La lenteur du geste fait que vous vous sentez impregnée petit a petit, et je crois que c’est cela qui en fait la force ressentie.

Lorsque votre main est dans la sienne, vous vous mettez a croire à une sorte de puissance extra terrestre dont l’effet produit ressemble a un invisible fluide qui s’échange.
Je me suis toujours demandée qui lui avait appris cela, et au bout du compte me suis dit que ces choses là ne s’apprennent finalement pas.
Le fluide m’imprégnait, en tous cas, et il avait dosé le pouvoir finement, sans grande pression de nos mains…

Je fermai les yeux… Comme je le connaissais, mon homme… je savais maintenant qu’a tout moments, il allait déplacer ses doigts, et la question du moment était de savoir à quel endroit de mon corps j’allais sentir un nouveau contact.

Cela ne tarda pas.
Lorsqu’il posa sa main sur le haut de mon genou gauche, j’écartai imperceptiblement mes cuisses, et quand sa main remonta lentement jusqu’a remonter ma robe encore un peu, je me dis que le fait de n’avoir pas mis de culotte ce jour là avait été une bonne idée.

Le contact de la main de Ryan sur le haut de ma cuisse avait ceci d’agréable qu’il déclenchait une zone de chaleur sur tout le bas de mon corps.
Il déplacait sa main doucement, caressant maintenant la partie inférieure de mon ventre sous la robe.
Il faisait cela bien et je fermai définitivement les yeux, me laissant transporter dans ce monde des sens qu’il m’avait apprit a bien connaitre.

Mes jambes s’écartaient davantage, instinctivement sans doute, laissant à la main de Ryan le loisir de se transformer en contacts de doigts, plus précis, lorsqu’ils descendirent cette fois ci sur l’intérieur de ma cuisse.

Malgré notre intimité sans faille, je suis toujours un peu génée lorsque je sens mon corps réagir a ce point a ses caresses, quand au simple contact de ses doigts cette humidité se crée malgré moi.

Il avait dégagé le bas de mon ventre, bien visible maintenant, et mes cuisses écartée lui laissaient libre de choix de ses mouvements.
Le parcours de sa main, depuis mon ventre jusqu’au haut de mon clitoris en écartant doucement mes lèvres était d’une redoutable précision, et lorsqu’il s’en saisi entre ses doigts je frémis un peu.

Ce contact fait d’un léger mouvement de va et vient m’en faisait sentir la fermeté autant que mon degré d’excitation.
Je savais que je commençais a mouiller sérieusement, mais lui n’avait pas commencé cette exploration plus intime que mon corps n’allait pas tarder à réclamer malgré moi.

Je crois que me trouver ainsi, pieds nus, dénudée jusqu’au bas ventre, les rayons du soleil au travers du pare-brise affleurant mon sexe offert, décuplait les sensations ressenties.
Je m’abandonnai davantage, les yeux fermés lorsque ses doigts furent plus précis, s’insérant lentement en moi, toujours sous forme de caresse, sans vraiment me pénetrer.

Puis je le sentis remonter et dégager mon clitoris jusqu’à le mettre a nu, c’est là que j’eu mon premier gémissement, car le contact de son doigt maintenant completement mouillé sur le bout de mon clitoris commençait à me procurer cet indefinissable plaisir qui ne se quantifie plus, tant il est fort.

Il me parcourait ainsi et je commençais a ressentir ce besoin, bien plus qu’une simple envie, de pénétration.
Ryan le savait et s’attachait a faire durer ces choses là.

La caresse de mon clitoris , les mouvements de ses doigts sur mon extrémité, alternant la lenteur à de petits mouvements rapides, malmenaient mes sens, amenant le désir aux limites du besoin impérieux.

Commentez !Ryan savait qu’il pouvait m’amener a jouir rien qu’à ce jeu, il savait aussi parfois s’arréter, me laissant pantelante, presque frustrée, un désir fou au fond de mon corps, mon intimité ruisselante et mes sens en feu.

Je ne me doutais pas que Ryan allait donner ce jour là à mes sensations une dimension nouvelle, par un détail d’environnement pour moi inatendu.

Mais en attendant, le plaisir que je ressentais commençait a monter terriblement, alors qu’il s’ajoutait a mon imaginaire cette photographie du bas de mon corps ainsi nu jusqu’au ventre, les cuisses maintenant bien écartées, offerte au soleil.
Cela dura longtemps, et je souris doucement à la pensée de certaines de mes amies qui se plaignaient de rapports sexuels trop courts avec leur maris ou amants.

Ryan m’avait, au fil du temps passé ensembles, amené à donner une autre dimension aux plaisirs des sens, dimension ou l’acte sexuel en lui meme n’est pas un aboutissement, mais qu’un des multiples dérivatifs du plaisir que nous offre nos corps.
Avec lui, le plaisir est avant, il est aussi après, capable qu’il est de vous amener a un orgasme puissant, en meme temps que de jouir en vous, de se retirer lentement, puis de continuer à vous caresser, a vous exciter de ses baisers, à vous faire rester sur cette crète de la vague de l’orgasme déja atteint, puis de ses baisers les plus impudiques vous ramener à des sommets du plaisir jusqu’à jouir encore.

Ces pensées ajoutées à l’effet de ses caresses du moment m’amenaient aux limites du plaisir, et je tentais de combattre l’arrivée de spasmes, tant les sensations de plaisir extrême devenaient fortes.

C’est le léger ralentissement de la voiture qui me fit entr’ouvrir les yeux.
La tête penchée vers
Ryan, c’est son sourire qui attira mon attention.
Son regard pénétra le mien quelques secondes, puis s’orienta vers ma droite tout en me rassurant d’une mimique des lèvres, m’incitant à regarder aussi.
Alors je le fis, toujours empreinte de ma langueur sensuelle.
À ma droite un énorme camion qu’on aurait du dépasser depuis longtemps , mais
Ryan avait ralenti.
C’est lorsque je relevai la tête que je sursautai.
Au volant du camion: Un Cammioneur, avec des yeux.
Ryan me plaqua la main bien à plat sur le ventre, m’interdisant de bouger.
L’homme au volant souriait, à seulement 2 ou 3 metres de moi, regardant alternativement la route devant lui, ou moi.

Mes mains se crispèrent et je cherchai son regard que je ne trouvai pas, tout en n’arrivant pas à vraiment sortir de la torpeur sensuelle tres avancée dans laquelle Ryan m’avait mise.
Le camionneur regardait mon corps a moitié découvert.
Les doigts de
Ryan avaient repris leurs caresses et me maintenaient à la limite du plaisir, tout près de l’orgasme.
Impossible de quitter cet état extrême, où le plaisir dominait, où chaque passage des doigts de
Ryan sur le bout de mon clitoris completement découvert me déclenchait des mouvements incontrôlés du bas ventre, où malgré moi je me mordais les lèvres, maintenant sous les yeux de cet inconnu qui souriait un peu moins.

Je vis qu’il comprenait le coté non-ludique de la situation, je ne jouais pas, j’étais dans un monde à part, et il le savait.
En fait le désir d’être pénétrée s’imposait, cette caresse folle du Clitoris m’avait excitée au plus haut point, et l’envie de sentir en moi quelque chose de dur devenait un besoin, cela devenait insupportable.
Ryan me connaissait tellement. Il savait mon état. Il m’amenait a la limite de l’orgasme, et au fil de mes contractions s’arrétait, puis reprenait lentement . Il pouvait me maintenir dans cet état pendant des heures, s’il le voulait.

Je ne m’en plaignais pas gardant au fond de moi le souvenir de la fois où j’avais osé réclamer d’un “Viens, s’il te plait, Viens vite je te veux”. Il avait arrété net ses caresses, me laissant dans un état indescriptible, ruisselante de cyprine avec au ventre un insoutenable désir de sexe que je n’avais pu satisfaire que par moi même dans le secret des toilettes.
C’était maintenant le regard figé du Camionneur qui me fascinait.
En Professionnel, il avait calqué la trajectoire de son camion, et ne regardait presque plus devant lui, se basant sur le flan de notre voiture.
Il devait voir les spasmes de mon ventre sous les effets du plaisir sans jamais l’atteindre vraiment.
Je mouillais comme jamais ,et c’est avec les yeux seulement entrouverts que de ma bouche s’échappait comme un râle.

J’eu peine à me demander si la présence d’un tiers dans notre intimité m’apportait de la gène ou si cela décuplait mon plaisir, et j’étais très loin de m’imaginer l’idée qui venait de germer dans le cerveau pervers de mon homme.

C’est vrai qu’il y eu une part de soulagement lorsque Ryan accéléra mettant fin à cette situation déroutante.
Toujours excitée au delà du supportable, les yeux dans le vague, je devais avoir l’air d’une nana completement shootée à je ne sais quoi, surtout que je commençais à me dire que je venais de vivre un moment à la fois troublant, excitant, certes, mais où la part d’embarras n’avait d’égal que la part de plaisir supplémentaire que cela avait apporté.

Je ne me rendis pas compte tout de suite que Ryan avait pris une bretelle de dégagement menant à une aire de repos. La voiture ralenti et je pris a peine conscience de la condition semi comateuse dans laquelle j’étais, étant sûre que j’aurai été radicalement incapable de me lever, et de marcher, par exemple.
La voiture s’arréta, et
Ryan, sans arreter ses terribles attouchements fit quelque chose de curieux : il vérrouilla les portes.

Il mit enfin son autre main sur mon corps en feu, abaissant cette fois ci complètement le haut de ma robe, dégageant totalement ma poitrine. J’avais le bout des seins irrité, mal à l’estomac, de legers tremblements dans les jambes me prenaient parfois, le sexe brulant, et l’entrejambe complètement mouillé. Je m’étonnais des regards appuyés de Ryan vers… les rétroviseurs…et du fait que ces regards n’étaient pas inquiets, pas de ceux qui craignent d’etre surpris, mais plutôt comme une attente qui … ne se fit pas attendre longtemps.

J’entendis plus que je ne vis l’énorme Camion s’arrétant assez loin de nous, et lorsque je sursautai au bruit de pas crissant sur le gravier du parking, Ryan m’embrassa.

Ses lèvres sur les miennes me renversèrent lorsqu’en meme temps ses doigts s’enfoncèrent en moi doucement.
Il procédait par de lents va et vients, empéchant ma respiration de ses baisers.
Je me sentais folle d’excitation, de désir, d’envie de jouir. la présence de cet inconnu devenait à la fois secondaire et importante.

Me savoir nue sous ses yeux, à quelques centimetres de ses mains, de ses yeux, moi même n’osant regarder où il était exactement, et ne contrôlant pas exactement ni mon corps ni mon esprit, j’étais sous l’entiere domination de Ryan.

Il dégagea lentement son visage mettant fin a ce long baisers qui accompagnait le mouvement de ses doigts, sans arréter ce dernier.
Je vis le Camionneur.
Mon Dieu qu’il était prêt, tout prêt de moi, juste séparé par la vitre, son visage a 50 cm de mon ventre il ne regardait pas, il détaillait l’intérieur de mes cuisses ruisselantes maintenant.
Seules nos portes vérouillées me séparaient de cet inconnu dont je ne voyais pas les mains, cachées vers le bas.

Ryan s’était un peu détaché de mon corps sans arréter sa douce caresse.
C’est alors qu’il retira ses doigts de moi lentement, me laissant à mes mouvements du bassins totalement incontrôlés.
Il caressa a nouveau mon Clitoris tout en écartant mes lèvres, m’offrant au regard du Camionneur dans ma plus profonde intimité.

Je fus surprise d’écarter mes cuisses davantage tandis que je voyais l’homme reculer juste un peu, le temps de réaliser qu’il tenait son sexe a la main.
À 30 cm de mon visage , au travers de la vitre se tenait ce sexe tendu que l’inconnu massait doucement. L’effet produit fut des plus curieux : à la fois l’envie de toucher, l’envie de sexe mais pas de celui là.
Ma main gauche chercha
Ryan et tomba directement sur ce quelque chose de terriblement ferme , dur et doux à la fois, chaud dans ma main.
Je tenais le sexe de mon homme, regardant fascinée celui d’un autre dont le gland se dégageait au rythme du mouvement de sa main.
La chaleur du creux de mon ventre devenait insupportable, l’envie, non… le besoin d’être pénétrée par un sexe d’homme, dur, chaud, circulant en moi devenait impérieuse.

Ryan imperturbable me regardait simplement, avait arrété de me toucher, écartant smplement davantage mes cuisses, m’offrant littéralement au regard de notre inconnu devenu complice.
J’étais incapable de dire un mot, j’étais complètement dépassée par la situation, par le désir, le sentiment qu’un brin de folie s’était emparée de moi, Lorsque
Ryan pris ma main droite inactive et le plaça sur mon sexe lentement.
Il me caressait sans me toucher, par l’intermédiaire de mes doigts.

Je me rendis compte à quel point j’étais trempée et le contact de mes doigts sur mon clitoris abandonné depuis seulement quelques secondes fut comme une déflagration dans le bas du ventre.

La sensation du touché du sexe de mon homme, dur comme il l’avait rarement été, cette chaleur irradiante vers ma main , les yeux rivés sur le gland du sexe de cet autre homme seul dehors, puis la main droite au contact de ma moiteur, et l’imagination en feu, ca n’est qu’en quelques caresses adroites que je fut envahie par un orgasme d’une puissance sans égal, presqu’une douleur de cette si longue attente, un cri incontrôlé qui m’échappa en meme temps que je vis le sperme apparaitre au gland de notre voyeur maintenant accompli.

Je fermai les yeux, ayant peine à croire la réalité de ce que je vivais, envahie d’une immense fatigue.
Je ne sus pas vraiment la suite , ne revenant a la réalité que lorsque
Ryan remis le moteur en marche.
Encore trempée, épuisée, je ne bougeai pas la tête, simplement tournée vers l’extérieur.
Ryan effectua sa marche arrière, et j’eu à peine le temps d’échanger un sourire léger avec notre complice d’un moment.



Ryan (Cliquer sur la Signature pour lui écrire)

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