Jeudi 21 janvier 4 21 /01 /Jan 15:16

Premières Publications sur Histoire de Chez Nous le 10/11/09 et http://eroswann.unblog.fr le 19/12/09  

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En cet instant je crains réellement qu’elle ne se réveilla non par peur panique d'être pris en faute, mais parce que la conscience de vivre quelque chose de spécial ne m’avait pas quitté. 

Je ne suis pas de nature instinctive et pulsionnelle, certaines idées dont l'application s’étalait sur une longue période me venaient à l’esprit en ces instants.

La sensation de mes doigts qui ressentaient cette humidité se former, preuve de désir, de sensations, de besoins sexuels m’envahissait le corps maintenant.

Mon sexe me faisait mal, tant l'érection était puissante.

J’étais partagé entre : laisser à mes mains le contact actif de cette caresse incestueuse et torride, et me saisir de mon membre devenu dur.

Mes doigts continuaient leur mouvement intrusif.

Mégane mouillait, maintenant, ça n’était plus d’hygrométrie dont il s’agissait.

Je la pénétrais de mes doigts dans un mouvement lent, fort, permanent de la main droite.

Parfois son bassin s’animait, et par l’intermédiaire du miroir de l’armoire placée face à son visage, je voyais quelques froncements de sourcils.

Alors je plaçai ma main gauche bien a plat sur le bas de ses reins, dégageant un peu le peignoir, puis en même temps que j’appuyais, j’introduisis cette fois ci un deuxième doigt et je pénétrai alors plus profondément tout en maintenant l’appui de ma main gauche.

 

Son bassin bougea d’un coup, pas violemment, mais elle poussa son sexe vers mes doigts.

Ma Cousine avait de sérieux besoins.

Son visage se contracta, via le miroir, alors j’arrêtai mes lents va et viens. Je restai ainsi, les deux doigts introduits dans son sexe qui était maintenant complètement mouillé de cyprine, tout en bandant comme un fou.

Un autre gémissement fut émit, pas très fort.

Et alors son bassin s’anima, recherchant le contact, quémandant le mouvement, que de manière très perverse, je ne déclenchais pas, maintenant plus fort encore son bassin de ma main gauche.

Son mouvement devenait puissant et d’autres gémissements suivirent en même temps que son sexe maintenant ruisselait vraiment au delà des mes doigts.

 

J’avais toute la main mouillée du désir de Mégane.

Alors je recommençais à donner a ma main un mouvement de piston, d’abord lent, toujours en appuyant ma main gauche, mais en allant cette fois ci au fond, la pénétrant puissamment de mes deux doigts, et refusant de me caler a ses mouvements de bassin a elle, qui étaient un peu plus rapide, animant son Sexe demandeur de plaisir inconscient.

Le haut de ses cuisses était complètement dégagé, sa Chatte totalement apparente depuis qu’elle avait écarté sa jambe droite en relevant le genou, et dans la pénombre Je distinguais le brillant de son désir sexuel qui avait maintenant mouillé tout le haut de ses cuisses.

Je n’arrivais pas à croire qu’elle était en état de sommeil, mais sans nul doute l’alcool y était il pour quelque chose.

 

Les gémissements étaient en cadence avec mes doigts, c’était des « mmmm, mmmm, mmmm «, ils étaient émis bouche fermée.

Son corps s’agitait maintenant sérieusement.

 

J’accélérai progressivement mon mouvement, et maintenant celui de son bassin ne se faisait plus de haut en bas, mais aussi latéralement.

Je tirais une jouissance du fait que c'était moi qui contrôlais, par l’appui de ma main gauche sur le haut de ses fesses, j'empêchais, je régularisais ses oscillations à mon gré.

Mes doigts rentraient et sortaient maintenant assez vite, et elle était tellement mouillée, que je sentais a peine les parois au contact de mes doigts

Puis à un moment donné, je me rendis compte que je ne maîtrisais plus rien, elle bougeait toute seule, sans rapport avec mes doigts, ses «mmmm» avaient changé, elle ouvrit la bouche et ils devinrent des «aaaah».

J’enlevais mes doigts en elle, et me levai doucement du lit, le caleçon déformé par  mon sexe devenu énorme.

Son corps bougeait tout seul, je m’éloignai alors doucement vers la zone sombre de la porte de chambre, tout en la regardant, les yeux écarquillés mettre sa main droite directement sur son sexe trempé, et m’étonnant de voir que tout son corps s’agitait maintenant.

Le spectacle était à la fois fort, extrême, excitant, bousculant violemment mes sens, ma main droite se saisi de mon sexe bandé à mort, et en reculant vers la porte de sa chambre, je le serrai, sentant venir l’explosion mais ne la voulant pas ici en cet endroit.

En même temps qu’elle se réveilla elle jouit sous mes yeux, à quelques mètres seulement de moi.

 

Je m’enfuis littéralement en courant vers ma chambre en veillant à être silencieux.

D’un seul bond je fus sous mes draps, toujours le pénis bien en main, la tête en feu, des idées pleines d’images de plaisir, et c’est là que mon sexe explosa de sperme, me générant un plaisir tellement fort qu’il en fut presque douloureux.

 

Je restai là, reprenant mon souffle, comme terrassé par cette séquence émotion à la fois forte et incroyable.

À qui raconter un truc pareil ?

 

Qu’est ce que je disais là. Ca ne se raconte pas.

Un secret, un terrible secret.

Les images n’arrivaient pas à partir de mon esprit, ses cuisses qui bougeaient, mes doigts au contact de son intimité, la mouille de ma Cousine, ses gémissement, mon incontrôlable érection, son orgasme à elle , en plein sommeil, tout cela était fou.

 

Ma respiration commençait à se réguler quand je l’entendis se lever.

Cette fois ci C’était mon cœur qui battait fort.

Je ne voulais pas qu’elle fasse le rapport entre ce qui venait de lui arriver et moi.

Pas ce soir là.

Je l’entendis aller aux toilettes tout d’abord. L’eau coula, puis un silence assez long.

Je pensais qu’elle récupérait

Son comportement d’ainée de la maison revint assez vite alors, elle passa dans la chambre de Vanina, puis enfin entrouvrit la porte de ma chambre.

«Tu dors ? » chuchota t-elle ...

Oh que oui, je dormais...

Elle passa a la cuisine, bu sans doute un verre d’eau, puis plus rien.

Je ne dormis pas de la nuit. Il m’était arrivé trop de choses au plan émotionnel.

 

J’avais fais une découverte importante : Ma Cousine était sexuée... je veux dire capable de ressentir des choses du sexe.

Alors que jusqu’ici, en mon esprit, des milliers de kilomètres séparaient l’idée du sexe de l’image familiale de ma Cousine, voilà que ce soir ne m'était apparu rien que la Femme, sa féminité, sa sensualité, ses sensations, sa réaction aux attouchements, son Orgasme !

 

 

 

Ryan(Cliquer sur la Signature pour lui écrire)

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Publié dans : Histoires Érotiques UnderGround
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