Les Histoires de Ryan

Premières Publications sur Histoire de Chez Nous le 10/11/09 et http://eroswann.unblog.fr le 19/12/09  

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Je m’obligeai a fermer les yeux un instant. 

J’étais très conscient de la situation et de son anormalité, mais je n’arrivais résolument pas à culpabiliser de quoi que ce soit.

C’est sans doute pour cela que la part de perversité de mon esprit établit très vite une stratégie.

C’était un Vendredi soir et je savais que je pouvais faire durer la soirée. Personne ne travaillait le lendemain, et ma Mère nous avait laissé la maison, souhaitant passer un long week-end avec sa sœur Léa.

 

Je proposai a Mégane de changer de chaîne et de mettre une émission de variété tout en lui proposant de partager une Bière.

Je lui connaissais ce péché mignon, tout autant que son incapacité à tenir le peu d’alcool contenu dans cette boisson.

 

Elle accepta avec enthousiasme, et en lui apportant son verre, je me mis à coté d’elle, lui faisant un rapide bisou dans le cou auquel elle fut sensible.

«Que de gentillesses, ce soir, Laurent...» me dit elle...

Elle ne savait pas que j’avais amené une autre bouteille et que je comptais bien remplir discrètement son verre régulièrement, comptant sur sa distraction et ses commentaires enthousiastes sur l’émission de télé qui diffusait les chansons qu’elle appréciait.

Une heure passa sans qu’elle ne se rende compte que deux bières avaient été consommées.

Elle était gaie, et je fis mine de prendre un air gêné et timide en lui demandant si je pouvais malgré mes 16 ans partager avec elle une autre Bière.

Je souris intérieurement lorsqu’elle me répondit que c'était vraiment exceptionnel, et que oui...elle voulait bien.

À ce moment là l’émission en était aux trois quarts, et je dois dire que ce soir là je devais être en très grande production de testostérone car j’avais le bas du corps enflammé de désirs, mes yeux oscillant en permanence entre le décolleté qui parfois s’offrait ma vue, dégageant le bout d’un sein, et l’intérieur de ses cuisses satinées qui étaient pour moi un véritable appel de mes doigts.

 

C’est lorsqu’elle s’étira une autre fois que je lui proposai « un truc d’enfer qu’on lui a surement jamais fait » : lui masser le dos.

Cela la fit sourire et me répondre que décidément ce soir j’avais de très bonnes idées.

C’est ainsi qu’a la fin de l’émission, elle se leva, peut être un peu trop vite, d’ailleurs, car je la vis porter la main à ses yeux sans toutefois tituber, en me disant qu’une petite séance massage l’aiderait a s’endormir

 

La connaissant bien, je ne doutais pas qu’avec trois bières dans le nez, cela pourrait aller très vite.

Nous nous dirigeâmes donc vers sa chambre, moi passant par la salle de bain prendre la crème Nivéa pour ce fameux massage.

 

Je la retrouvai couchée sur le ventre, toujours en peignoir, mais dont elle avait abaissé le haut, découvrant son dos, nu jusqu'à la taille.

«Fait vite, Laurent parce que je ne vais pas tarder à m’endormir»

 

Je commençai donc ce rituel, dont je savais secrètement ce soir là, que jamais un massage n’avait autant été prétexte à un attouchement désiré.

 

Mes mains glissaient sur sa peau depuis la base du cou jusqu’au haut des reins, et lui demandant de relever les bras, mes doigts s’oubliaient un peu en descendant sur ses flancs et lui effleuraient la naissance du bas des seins lorsqu’ils remontaient.

Je délaissai alors le dos pour lui masser les chevilles et l'arrière des jambes, en donnant un mouvement ample a mes mains afin qu’elle écarte un peu plus les jambes ce qu’elle fit pour faciliter mes gestes.

 

Mon corps était placé sur le coté du lit, et dans un soupir elle écarta encore un peu ses jambes en relevant le genou droit, ce qui me fit penser qu’elle se laissait aller au sommeil qui l’envahissait peu à peu.

 

C‘était le cas, et j'éteignis la grande lumière du plafond, ne laissant dans la pièce que la pâle lueur de sa lampe de chevet.

L’ambiance était terrible.

Le silence de la pièce, sa légère respiration, son dos nu et ses bras relevés faisant apparaître le début de forme de ses seins magnifiques, le peignoir rabattu sur le haut de ses fesses, puis ses jambes, un peu éloignées l’une de l’autre qui se terminaient par ses pieds nus...

Tout cela était un délicieux spectacle.

Je restai là, béat, regardant simplement, en espérant que ma jeune sœur ne choisirait pas ce moment pour se réveiller.

Puis je me rassis a coté d’elle, simulant la suite du massage, pour voir si elle dormait vraiment.

Elle murmura dans une demi conscience que c’était agréable, puis sa respiration changea.

Elle dormait.

 

Mes mains à ce moment étaient à l'arrière de l’articulation du genou et jamais je n’étais allé plus haut.

Cela faisait déjà un moment que mon érection de tout a l’heure se manifestait à nouveau, et j’étais vraiment très excité dans tous les sens du terme.

Alors je laissai remonter mes mains entre ses cuisses peu à peu, en ressentant une douceur toute particulière.

Mes gestes n’étaient plus vraiment un massage en règle, mes mains maintenant caressaient vraiment, à la fois légèrement mais bien à plat sur la surface de ses cuisses, jusqu’à ce que le bout de mes doigts effleurent ses premiers poils ce qui eu pour effet de m’exciter davantage.

Tout doucement mes doigts remontèrent encore jusqu'à toucher vraiment sa toison.

Ses jambes écartées étaient un délice, et je ne retint pas mon envie de toucher sa chatte en passant ma main un peu sous son corps.

 

Ses cuisses un peu éloignées l’une de l’autre facilitèrent le contact de mes doigts avec son clitoris, puis suivant son contour par le bas, ils frôlèrent alors l’entrée de son corps que je sentais clairement sec à ce moment.

 

Simulant un massage qui n’en était plus un, mon doigt pénétra un peu, puis se retirant tout en ayant le plat de ma main sur l’intérieur de sa cuisse, je commençai un imperceptible va et vient très lent, ne la pénétrant que de quelques millimètres.

Alors qu’elle ne bougeait pas jusque là, elle émit un léger gémissement, non contrôlé.

Je continuais ce doux massage, et les quelques millimètres de tout a l’heure étaient devenus maintenant un bon centimètre.

Ma Cousine eut un imperceptible mouvement du bassin en même temps que mes doigts ressentirent une humidité toute nouvelle.

Son corps réagissait !

 

 

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Jeu 21 jan 2010 Aucun commentaire