Les Histoires de Ryan

Premières Publications sur Histoire de Chez Nous le 10/11/09 et http://eroswann.unblog.fr le 19/12/09 

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Les années qui nous séparaient avaient pour ainsi dire diminué, avec l’âge.

Il était devenu courant que je la prenne dans les situations domestiques les plus incongrues, et nous avions elle et moi établi de formidables rapports ou le consentement était permanent, les demandes de l’un vers l’autre inexistantes, parce que se désirant l’un et l’autre tout autant.

 

Seule la gestion de la présence de ma Mère et de ma Sœur se faisait avec attention.

 

Il avait été rapidement admit que la notion de sous vêtements fut un concept totalement effacé, et hors la présence de ma Mère ou de Vanina qui grandissait maintenant, c’était un bonheur de voir Mégane vivre son quotidien dans la maison, quasiment nue sous ses nuisettes, ses jupes, ses robes.

Nous ne nous touchions que peu quand nous n’étions pas seul, car nous savions que le moindre attouchement nous enflammait.

De plus, vous l’avez compris maintenant, elle mouillait facilement et beaucoup, et si c’était un bonheur de l’entendre éclater de rire en disant «Et voilà... regardes encore dans quelle état tu m’a mis !...» il n’était pas pratique de vivre avec toujours un sopalin sous la main.

 

Cela dit, notre quotidien était fait de clins d’œils, et la voir écarter les jambes, le sexe à nu sous sa robe aux trois boutons du bas défaits était un plaisir, lorsqu’elle voulait me distraire d’un film un peu long passant à la télé le soir.

Elle avait au fil du temps accepté de sortir aussi sans culotte lorsque nous faisions les courses, ou dans les Administrations, ou tout simplement en voiture lorsqu’elle était avec moi.

 

Il était tacitement convenu que bien sur je ne la touche pas en extérieur, mais j’avoue qu’il y a eu des dérapages.

La fois ou nous avons fait des courses au Carrouf du coin, en nocturne, était quand même d’anthologie.

 

Les années avaient passé depuis notre premier rapport sexuel, j’avais passé mon Permis de conduire depuis peu, C’était une période de fêtes de fin d’année à la douce ambiance d’après Noël ou les Supermarché sont un peu vidés de Clients fatigués.

 

Je me souviens que Mégane n’en revenait toujours pas du Cadeau de Noël, gardé secret que je lui avais fait : Un magnifique Coffret SexToy multifonctions qui l’avait fait tout d’abord exploser de rire.

Mais considérant de prêt l’œuf vibrant télécommandé d’une part, et le Gode Vibromasseur à la forme sophistiquée d’autre part, j’avais vu son visage changer et son regard devenir pensif.

Elle m’avait promit ce soir de Noël, de toujours garder le Vibro dans son sac à main.

Nous avions quitté la maison vers 20h30 et avions trouvé une place sans problème à ce fameux parking sous terrain, fort bien éclairé mais parfaitement désert et silencieux qui stressait toujours un peu ma Cousine.

Elle plaça la voiture pas trop loin des ascenseurs, a proximité immédiate d’une séparation faite de barreaux verticaux à l’image des fenêtres de prisons qui nous séparait d’une sorte de zone technique où passaient parfois des agents de maintenance en bleu de travail, toujours avec des outils à la main.

 

Nous fîmes nos courses sans difficultés, et c’est l’esprit léger que nous reprîmes cet ascenseur, descendant, cette fois ci avec le Caddie plein de sachets et victuailles.

Ah... ces quelques minutes dans l'ascenseur avec Mégane... ce rituel fait de cette sorte d’érotisme a fleur de peau ou tout est prétexte à une caresse, pas toujours anodine, mais toujours d’une affolante sensualité.

 

L’épisode de l'ascenseur se passa donc, fait d’un baiser long, de ces baisers qui sont appuyés par des caresses plus qu’osées, de ces attouchements souhaités, de ces inavouables sensations ressenties, lorsqu’elle me laisse la caresser depuis le cou jusqu'à circuler sur sa poitrine en prenant ce soin extrême qui consiste a passer mon doigt exactement sur le bout de ses seins gonflés.

Le long de sa hanche, ma main circulant lentement et arrivant ainsi jusqu’au bas de sa robe, qui gentiment écartée, me laisse remonter le long de l’intérieur de sa cuisse, jusqu'à affleurer son entre jambe.

 

Je savais maintenant caresser doucement sa vulve tout en écartant délicatement ses lèvres pour atteindre son clitoris, et cela avait des effets terribles.

C’était un soir ou je m’attardais plus que de raison, et ou mes doigts furent, je dois dire, un peu investigateurs.

 

Je me rappelle qu’elle me parlait de cette sensation au creux du ventre, qui la prenait plus qu’elle ne la contrôlait, et cela jusqu’à... L'arrêt brutal de la cabine qui nous ramena durement a la réalité terrestre.

 

C’est donc plus qu’humide pour le moins et le regard perdu que je la vis sortir, l’aidant à la manœuvre et suivant le mouvement plus que marchant vraiment, afin de rejoindre la voiture.

 

Je ne sus pas vraiment pourquoi ce soir là cet attouchement avait visiblement produit sur elle un effet plus puissant qu’à l’ordinaire. Toujours est-il qu’à peine le grand coffre vide du 4X4 ouvert, et avant même d’ôter les sacs du Caddie, elle m’attira à elle.

Elle ne savait pas à cet instant que j’allais lui imposer une séquence exhibitionniste/voyeuriste dont elle se souviendrait longtemps.

 

 

Ryan(Cliquer sur la Signature pour lui écrire)

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Jeu 21 jan 2010 Aucun commentaire