Les Histoires de Ryan
Première Publication sur http://meganeryan.unblog.fr le 19 Mars
2008 -
Ce soir là Ryan rentra plus tôt que d’habitude.
Infiniment heureuse de cela, j'accueillis mon homme comme il se doit.
Sur la pointe de mes pieds nus et pendue a son cou, c’est d’un long baiser que notre premier contact de la journée se fit, depuis son départ du matin.
Il m'annonça la visite en soirée d’un ami qu’il avait plaisir a me présenter, ami de passage pour quelques jours dans la région.
Nous en parlâmes assez longtemps et le projet de dîner ensembles se dessinait donc simplement.
Le dîner serait simple, l'intérêt de la soirée se résumant plus aux retrouvailles qu'à un grand repas, et je m’en réjouissais.
Harold arriva donc vers 20 h, armé de la classique bonne bouteille de vin, ce qui me ravissait, car j’aimais cette gourmandise là, lorsque dans l’intimité elle me faisait très légèrement tourner la tête.
De plus , Harold était a la fois sympathique, avait de l’humour , et était fort bel homme , avouons le.
Les heures qui s'en suivirent furent très agréables, faites de bons mots, de rires, de bonne ambiance, et oserais-je le dire, franchement arrosée de quelques verres de ce bon vin.
Mes jambes croisées et mes pieds nus attiraient parfois le regard de Harold et je m'en amusais le vin aidant. C'était un jeu dont les effets produits étaient a double sens : Alors qu'apparemment cela pouvait plutôt exciter celui qui regarde, cela avait aussi sur moi cette sensation parfois presque du touché, que de savoir le regard intéressé d'un homme caressant des yeux mon anatomie.
Il devenait donc intéressant de décroiser mes jambes ou de les allonger au hasard d'une phrase, puis de les recroiser en des mouvements lents, laissant apparaître parfois mon entrejambe, plus ou moins haut, selon mon envie.
Je me rendis compte au fil de la soirée que le simple fait de poser ma main sur ma cuisse arrivait à troubler Harold, se manifestant par un léger bégaiement, ou une maladresse, un verre qui en touche un autre…
Le radar sensuel de Ryan détecta cette ambiance dont je savais qu'il se délectait, et le sourire qu'il m'adressait en signe de complicité me détendait davantage..
À un moment de la soirée, revenant d'un de mes allers retours a la cuisine, je m'approchai de Ryan et restait un instant debout près de lui, le verre à la main, écoutant distraitement les voix de ces hommes plus que le détail de ce qu'ils disaient compte tenu de la légère brume parfumée de vin qui commençait a m'envahir sérieusement. C'est à ce moment, que assis, il déposa négligemment sa main sur mon pied, et que du revers de celle ci, il la fit remonter doucement.
C'était agréable a l'infini, cette douceur de contact. Ryan faisait cela tout en parlant, n'interrompant en rien l'échange visuel et auditif avec Harold. Sa main remonta lentement d'un mouvement qui se prolongeait maintenant sur ma jambe. il ne s'arrêtait pas, et je fermai les yeux en bougeant un peu.
Je crois que c'est lorsque sa main atteignit l'intérieur de ma cuisse qu'un petit cri m'échappa.
Cela interrompit leur conversation , et c'est avec un peu de rouge aux joues que je répondis que “rien, tout va bien”, lorsque Ryan me demanda si quelque chose n'allait pas.
La caresse de Ryan ne s'arrêta pas, bien au contraire. Tout en continuant sa conversation avec un Harold qui s'exprimait de moine en moins, Ryan atteignit le haut de mon entrejambe, et je vis a son temps d'arrêt dans ses phrases que c'est lui qui fut surpris de constater du bout des doigts que j'étais un peu plus qu'humide.
Je me dandinais en oscillant d'un coté à l'autre, tout en laissant les doigts de Ryan commettre leur oeuvre . Dieu qu'il était pervers, ce garçon… la mains placée sous ma robe, invisible de l'extérieur, ses doigts légèrement actifs, passant doucement sur mon clitoris, me laissant croire a tous moments qu'ils puissent s'insérer en moi, le désirant un peu, mes jambes se serrèrent. en même temps que je me pinçai les lèvres, provoquant le regard de Harold, qui détaillait maintenant mon corps de bas en haut, en s'arrêtant sur mes seins dont il est vrai que les bouts pointaient maintenant au travers de ma robe..
Ryan dut répéter sa phrase me demandant de prendre une autre bouteille à la cuisine, car plus rien n'arrivait à mon cerveau. C'est plutôt le fait qu'il retire sa main qui me ramena a la réalité plus que sa demande en elle - même.
C'est donc dans une sorte d'état second que, d'un pas non alerte du tout, je ramenai cette autre bouteille. Mais cette fois je ne me sentis pas la force de rester debout, et je choisis de me mettre sur le canapé, à demi allongée aux coté de Ryan placé a ma gauche, tandis que Harold sur le fauteuil à ma droite commençait lui aussi a se dandiner un peu nerveusement , comme cherchant a trouver une position, ou peut être à masquer ce début d'érection sans nul doute provoquée par la petite séance de Ryan tout a l'heure.
Je m'allongeai a moitié, la tête placée sur l'accoudoir et mes cheveux effleurant la main gauche de Harold assis sur le fauteuil a ma droite.
Profitant d'un léger mouvement de Ryan qui servait a boire a son ami, j'allongeai mes jambes derrière lui, et c'est avec un naturel sans pareil qu'il reposa sa main sur ma jambe, la faisant remonter lentement sans jamais arrêter sa conversation.
Ma position était devenue stratégique car m'aidant du miroir en face de moi , j'avais vue sur Harold, qui cachait mal son…érection maintenant bien visible par le renflement de son pantalon.
Le contact des doigts de Ryan sur moi avaient cet effet que je connaissais bien , qui commençait a me créer cette petite douleur venant du fond de mon ventre. C'est a ce moment que je préférai m'abandonner en fermant les yeux à cette douce caresse, tournant la tete vers le dossier du canapé.
L'indécence de la situation m'excitait terriblement, la main de Ryan remontant sous ma robe sur l'intérieur de mes cuisses. Je relevai mon genou gauche, lui ouvrant la voie vers mon intimité faite maintenant d'une humidité qui ne se cachait plus. Il caressait doucement mon clitoris devenu dur, ses doigts descendant un peu s'insérèrent lentement en moi, faisant mes reins se cambrer sans que je ne puisse vraiment rien commander.
Il commençait a effectuer un va et vient lent et doux, déclenchant au creux de mon ventre des tourbillons indescriptibles. Je quittai alors ce monde des mortels pour aller vers ce je ne sais quoi de cotonneux, avec cette douce impression de lévitation sans plus aucun contact avec la réalité.
Ainsi ne réalisai-je pas que la lumière forte de la pièce fut éteinte laissant place a la pénombre créée par cette petite lampe de salon, ni même que le silence s'instaura, remplaçant les voix dont je ne comprenais plus le sens depuis longtemps.
Tout juste avais-je conscience que les boutons de ma robe étaient enlevés un a un, dégageant ma poitrine peu a peu, mais gardant encore cachés le bout de mes seins devenus durs.
Ryan plaça sa main gauche sur le bas de mon ventre, le pressant légèrement, en parfait rythme avec les pénétrations de ses doigts, à la fois profondes, lentes et douces. Il faisait cela en plaçant son pouce sur mon clitoris, qu'il massait en même temps, et j'avais peine à contrôler l'avancée de spasmes dont l'arrivée se sentait proche.
Une main se plaça sur le haut de mes seins, les caressant doucement, des doigts passant avec délicatesse sur leur bout, les enserrant parfois. Je souris a la pensée que Ryan n'avait que deux mains, et que cette troisième main là devenait identifiable. À la fois hésitante et ferme, cette caresse sur mes seins à laquelle s'ajoutait celle de Ryan m'amenait aux limites de ce que mon corps pouvait admettre. je voulais cependant que cela dure, car c'était terriblement bon.
Je déplaçai ma main qui souhaitait alors sentir le corps de mon homme, elle rencontra le haut du pantalon de Ryan qui fut vivement défait, libérant son sexe que ma main enferma, le serrant pour en ressentir la dureté
J'avais envie de lui en moi, terriblement.
Les mains de Harold s'étaient maintenant emparées du haut de mon corps, il s'était accroupi derrière ma tête, et me caressait de ses deux mains, ses doigts allant de ma bouche qui les mouillait jusqu'a mes bouts de seins, qu'il tenait entre deux doigts, les serrant légèrement.
Ryan se leva, me faisant craindre l'arrêt de ses caresses. Dans le même mouvement il ôta ses doigts de moi, et je le senti écarter mes jambes davantage pour se placer face a moi. Il m'embrassa en même temps que je senti son sexe, posé sur mon clitoris découvert de sa main. L'envie de lui se faisait maintenant impérieuse, mon corps le réclama d'un mouvement de rein.
Il me pénétra doucement, me faisant sentir son gland qu'il faisait d'abord passer sur le bout de mon clitoris, puis cette sensation de fermeté chaude qui entra en moi et qui me fit échapper un petit cri. Je senti alors son sexe, si dur, circuler jusqu'au fond de moi qui ne savais plus ni où j'étais, ni les limites de ce qu'on pouvait avoir comme plaisir.
C'est seulement au bout de cinq ou six mouvement du bassin que Ryan me fit jouir, faisant venir du fond de mon ventres ces spasmes incontrôlables et procurant un plaisir indicible que mon corps connaissait bien , mais me faisait découvrir encore , et encore.
Il s'arrêta, me laissant pantelante, en même temps que Harold m'embrassa doucement dans le cou.
J'eus l'impression de sombrer dans un état comateux qui me rendait complètement indépendante de la réalité de ce qui se passait alors dans la pièce.
Ainsi n'ai-je pu saluer l'ami de Ryan lorsqu'il partit.
Ce soir là Ryan rentra plus tôt que d’habitude.
Infiniment heureuse de cela, j'accueillis mon homme comme il se doit.
Sur la pointe de mes pieds nus et pendue a son cou, c’est d’un long baiser que notre premier contact de la journée se fit, depuis son départ du matin.
Il m'annonça la visite en soirée d’un ami qu’il avait plaisir a me présenter, ami de passage pour quelques jours dans la région.
Nous en parlâmes assez longtemps et le projet de dîner ensembles se dessinait donc simplement.
Le dîner serait simple, l'intérêt de la soirée se résumant plus aux retrouvailles qu'à un grand repas, et je m’en réjouissais.
Harold arriva donc vers 20 h, armé de la classique bonne bouteille de vin, ce qui me ravissait, car j’aimais cette gourmandise là, lorsque dans l’intimité elle me faisait très légèrement tourner la tête.
De plus , Harold était a la fois sympathique, avait de l’humour , et était fort bel homme , avouons le.
Les heures qui s'en suivirent furent très agréables, faites de bons mots, de rires, de bonne ambiance, et oserais-je le dire, franchement arrosée de quelques verres de ce bon vin.
Mes jambes croisées et mes pieds nus attiraient parfois le regard de Harold et je m'en amusais le vin aidant. C'était un jeu dont les effets produits étaient a double sens : Alors qu'apparemment cela pouvait plutôt exciter celui qui regarde, cela avait aussi sur moi cette sensation parfois presque du touché, que de savoir le regard intéressé d'un homme caressant des yeux mon anatomie.
Il devenait donc intéressant de décroiser mes jambes ou de les allonger au hasard d'une phrase, puis de les recroiser en des mouvements lents, laissant apparaître parfois mon entrejambe, plus ou moins haut, selon mon envie.
Je me rendis compte au fil de la soirée que le simple fait de poser ma main sur ma cuisse arrivait à troubler Harold, se manifestant par un léger bégaiement, ou une maladresse, un verre qui en touche un autre…
Le radar sensuel de Ryan détecta cette ambiance dont je savais qu'il se délectait, et le sourire qu'il m'adressait en signe de complicité me détendait davantage..
À un moment de la soirée, revenant d'un de mes allers retours a la cuisine, je m'approchai de Ryan et restait un instant debout près de lui, le verre à la main, écoutant distraitement les voix de ces hommes plus que le détail de ce qu'ils disaient compte tenu de la légère brume parfumée de vin qui commençait a m'envahir sérieusement. C'est à ce moment, que assis, il déposa négligemment sa main sur mon pied, et que du revers de celle ci, il la fit remonter doucement.
C'était agréable a l'infini, cette douceur de contact. Ryan faisait cela tout en parlant, n'interrompant en rien l'échange visuel et auditif avec Harold. Sa main remonta lentement d'un mouvement qui se prolongeait maintenant sur ma jambe. il ne s'arrêtait pas, et je fermai les yeux en bougeant un peu.
Je crois que c'est lorsque sa main atteignit l'intérieur de ma cuisse qu'un petit cri m'échappa.
Cela interrompit leur conversation , et c'est avec un peu de rouge aux joues que je répondis que “rien, tout va bien”, lorsque Ryan me demanda si quelque chose n'allait pas.
La caresse de Ryan ne s'arrêta pas, bien au contraire. Tout en continuant sa conversation avec un Harold qui s'exprimait de moine en moins, Ryan atteignit le haut de mon entrejambe, et je vis a son temps d'arrêt dans ses phrases que c'est lui qui fut surpris de constater du bout des doigts que j'étais un peu plus qu'humide.
Je me dandinais en oscillant d'un coté à l'autre, tout en laissant les doigts de Ryan commettre leur oeuvre . Dieu qu'il était pervers, ce garçon… la mains placée sous ma robe, invisible de l'extérieur, ses doigts légèrement actifs, passant doucement sur mon clitoris, me laissant croire a tous moments qu'ils puissent s'insérer en moi, le désirant un peu, mes jambes se serrèrent. en même temps que je me pinçai les lèvres, provoquant le regard de Harold, qui détaillait maintenant mon corps de bas en haut, en s'arrêtant sur mes seins dont il est vrai que les bouts pointaient maintenant au travers de ma robe..
Ryan dut répéter sa phrase me demandant de prendre une autre bouteille à la cuisine, car plus rien n'arrivait à mon cerveau. C'est plutôt le fait qu'il retire sa main qui me ramena a la réalité plus que sa demande en elle - même.
C'est donc dans une sorte d'état second que, d'un pas non alerte du tout, je ramenai cette autre bouteille. Mais cette fois je ne me sentis pas la force de rester debout, et je choisis de me mettre sur le canapé, à demi allongée aux coté de Ryan placé a ma gauche, tandis que Harold sur le fauteuil à ma droite commençait lui aussi a se dandiner un peu nerveusement , comme cherchant a trouver une position, ou peut être à masquer ce début d'érection sans nul doute provoquée par la petite séance de Ryan tout a l'heure.
Je m'allongeai a moitié, la tête placée sur l'accoudoir et mes cheveux effleurant la main gauche de Harold assis sur le fauteuil a ma droite.
Profitant d'un léger mouvement de Ryan qui servait a boire a son ami, j'allongeai mes jambes derrière lui, et c'est avec un naturel sans pareil qu'il reposa sa main sur ma jambe, la faisant remonter lentement sans jamais arrêter sa conversation.
Ma position était devenue stratégique car m'aidant du miroir en face de moi , j'avais vue sur Harold, qui cachait mal son…érection maintenant bien visible par le renflement de son pantalon.
Le contact des doigts de Ryan sur moi avaient cet effet que je connaissais bien , qui commençait a me créer cette petite douleur venant du fond de mon ventre. C'est a ce moment que je préférai m'abandonner en fermant les yeux à cette douce caresse, tournant la tete vers le dossier du canapé.
L'indécence de la situation m'excitait terriblement, la main de Ryan remontant sous ma robe sur l'intérieur de mes cuisses. Je relevai mon genou gauche, lui ouvrant la voie vers mon intimité faite maintenant d'une humidité qui ne se cachait plus. Il caressait doucement mon clitoris devenu dur, ses doigts descendant un peu s'insérèrent lentement en moi, faisant mes reins se cambrer sans que je ne puisse vraiment rien commander.
Il commençait a effectuer un va et vient lent et doux, déclenchant au creux de mon ventre des tourbillons indescriptibles. Je quittai alors ce monde des mortels pour aller vers ce je ne sais quoi de cotonneux, avec cette douce impression de lévitation sans plus aucun contact avec la réalité.
Ainsi ne réalisai-je pas que la lumière forte de la pièce fut éteinte laissant place a la pénombre créée par cette petite lampe de salon, ni même que le silence s'instaura, remplaçant les voix dont je ne comprenais plus le sens depuis longtemps.
Tout juste avais-je conscience que les boutons de ma robe étaient enlevés un a un, dégageant ma poitrine peu a peu, mais gardant encore cachés le bout de mes seins devenus durs.
Ryan plaça sa main gauche sur le bas de mon ventre, le pressant légèrement, en parfait rythme avec les pénétrations de ses doigts, à la fois profondes, lentes et douces. Il faisait cela en plaçant son pouce sur mon clitoris, qu'il massait en même temps, et j'avais peine à contrôler l'avancée de spasmes dont l'arrivée se sentait proche.
Une main se plaça sur le haut de mes seins, les caressant doucement, des doigts passant avec délicatesse sur leur bout, les enserrant parfois. Je souris a la pensée que Ryan n'avait que deux mains, et que cette troisième main là devenait identifiable. À la fois hésitante et ferme, cette caresse sur mes seins à laquelle s'ajoutait celle de Ryan m'amenait aux limites de ce que mon corps pouvait admettre. je voulais cependant que cela dure, car c'était terriblement bon.
Je déplaçai ma main qui souhaitait alors sentir le corps de mon homme, elle rencontra le haut du pantalon de Ryan qui fut vivement défait, libérant son sexe que ma main enferma, le serrant pour en ressentir la dureté
J'avais envie de lui en moi, terriblement.
Les mains de Harold s'étaient maintenant emparées du haut de mon corps, il s'était accroupi derrière ma tête, et me caressait de ses deux mains, ses doigts allant de ma bouche qui les mouillait jusqu'a mes bouts de seins, qu'il tenait entre deux doigts, les serrant légèrement.
Ryan se leva, me faisant craindre l'arrêt de ses caresses. Dans le même mouvement il ôta ses doigts de moi, et je le senti écarter mes jambes davantage pour se placer face a moi. Il m'embrassa en même temps que je senti son sexe, posé sur mon clitoris découvert de sa main. L'envie de lui se faisait maintenant impérieuse, mon corps le réclama d'un mouvement de rein.
Il me pénétra doucement, me faisant sentir son gland qu'il faisait d'abord passer sur le bout de mon clitoris, puis cette sensation de fermeté chaude qui entra en moi et qui me fit échapper un petit cri. Je senti alors son sexe, si dur, circuler jusqu'au fond de moi qui ne savais plus ni où j'étais, ni les limites de ce qu'on pouvait avoir comme plaisir.
C'est seulement au bout de cinq ou six mouvement du bassin que Ryan me fit jouir, faisant venir du fond de mon ventres ces spasmes incontrôlables et procurant un plaisir indicible que mon corps connaissait bien , mais me faisait découvrir encore , et encore.
Il s'arrêta, me laissant pantelante, en même temps que Harold m'embrassa doucement dans le cou.
J'eus l'impression de sombrer dans un état comateux qui me rendait complètement indépendante de la réalité de ce qui se passait alors dans la pièce.
Ainsi n'ai-je pu saluer l'ami de Ryan lorsqu'il partit.
Ryan - (Cliquer sur la Signature pour lui écrire)
Note de l'auteur :
Celui-ci autorise la copie et la publication (web uniquement) de ses textes à DEUX conditions expresses :
1-Être informé à cette adresse mail en cliquant ICI
2- Mentionner dans les pages web le nom de l'auteur et l'adresse de ces Blogs:
http://eroswan.unblog.fr http://epicuriennes.unblog.fr
Jeu 21 jan 2010
Aucun commentaire